Tokyo Revengers x Y/n (T/p), Compilation

Lemon Izana Kurokawa (présent) x Y/N Partie 1 --> le Roi

Cette vue est magnifique, tu ne t'en lasses pas, et n'échangerais ce doux moment de contemplation pour rien au monde. Une fois de plus, tu te retrouvais sur le toit de cet immeuble dans l'uniforme rouge du gang auquel tu appartiens. Le Tenjiku, non seulement le plus grand gang de Yokohama, mais aussi le plus craint. Tu avais admiré le spectacle du coucher du soleil jusqu'à l'apparition complète des étoiles, et maintenant, la nuit avait déjà bien avancé, en effet, il était 22 heures.

Tu n'es pas seule sur ce toit, un beau jeune homme de ton âge aux cheveux argentés se tenait près de toi, il s'agit du chef du Tenjiku, l'homme qui tient tout Yokohama dans sa poche. Il aimait énormément se tenir debout ici, à contempler son empire, et depuis récemment, il te demandait régulièrement de venir le rejoindre afin de partager la vue avec toi. Emerveillée par le paysage à chacune de tes visites, tu attendais chacun de ses appels avec impatience, à vrai dire, il n'y avait pas que la vue qui t'émerveillais, à tes yeux, il était ton Roi, avec un grand R, et tu voyais en lui, le plus bel homme sur terre.

Durant toutes ces retrouvailles seuls à seuls vous aviez eu l'occasion de beaucoup échanger, tu avais l'impression de presque tout connaître de lui, sa vie, son passé, ses rêves et objectifs. Tu pouvais lire dans ses yeux qu'à part ses objectifs précis, peu de choses animait son âme, il t'avais même confié se sentir vide, et ce discours de sa part fit naître un sentiment irrésistible de tout faire pour lui. Depuis ces rencontres régulières sur le toit, tu étais tombé sous son charme. C'est ton Roi, et rien ni personne ne parviendrait à te faire penser autrement.

D'habitudes vous vous teniez debout, or comme ça faisait un moment que vous étiez là, vous vous êtes assis, tes jambes pendaient dans le vide, et lui était en tailleur. Comme à votre habitude, vous parliez de tout et de rien, du gang, du passé et du futur, de choses anodines, ou au contraire plus importantes, à peu près tout ce qui vous passait par la tête à vrai dire. Tu levas la tête bien haut, le visage face au ciel, les mains posées sur le rebord du muret pour ne pas tomber en te penchant.

Y/n : Quel dommage, on voit peu les étoiles ce soir encore, à cause de toute la lumière des lampadaires et de la ville... (Ta voix s'était teintée d'une touche de mélancolie, un sentiment que tu aimais beaucoup partager avec lui).

Tu pouvais voir du côté de l'œil, sans forcément regarder, qu'Izana avait tourné la tête vers toi pour te regarder admirer le ciel. Tu émit un petit sourire bête, rien qu'un regard de lui te faisait réagir. Il leva à son tour sa tête vers le ciel.

Izana : Tu as raison...

Tu souriais encore plus. Durant plusieurs minutes vous êtes resté à fixer le ciel, appréciant la légère brise, avec les quelques bruits de la ville en contrebas, profitant de ce moment de tranquillité à deux. Tu bailla, rapprochement ta main de ta bouche, celle la plus loin d'Izana, puis reposa ta main. Il commençait à se faire tard, mais tu ne voulais pas partir, tu te sentais tellement bien avec lui.

Izana : Ne pars pas. Il posa sa main sur la tienne. Reste avec moi.

Il te regardait droit dans les yeux comme inquiet que tu ne le laisses seul, c'était rare que tu parviennes à voir des expressions concrètes dans ses yeux, mais là, tout de suite, tu pouvais ressentir qu'il te voulait réellement à ses côtés. Tu lui souries tendrement.

Y/n : Je n'y comptais pas.

Tes yeux lui lançait un regard très chaleureux, très amoureux, et tu pouvais sentir grouiller en toi, tout un tas de papillons dans ton ventre, ainsi qu'un frisson d'amour. Sa main était légèrement froide, mais très agréable, et tu espérais qu'il n'allait pas la retirer, car tu aimais trop être à son contact. A vrai dire, c'est la première fois que tu avais un contact physique avec lui, hormis quelques entraînements qu'il t'accordait pour t'améliorer. Tu n'avais jamais eu l'occasion de le toucher réellement, même si ici, c'est lui qui te touchais en l'occurrence. Tu baissa les yeux en direction de vos mains, admirant sa belle main teintée d'une peau si chaleureusement colorée, peau que tu aimerais tant découvrir...