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XXXTENTACION - Before I Close My Eyes
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PDV KYLE :
Comme prévu je dors sur le canapé, la mère de Mélissa est tellement bien vaillante vis à vis de moi même si elle me lance quelques piques que j'encaisse, pour le bien de tous. Pendant le dîner, Mélissa n'est pas descendu, Catherine lui a apporté un plateau dans sa chambre. J'aurais aimer la revoir, lui parler quelques minutes pour lui dire que j'ai tout fichu en l'air mais que je l'aime et que si j'ai fait tout ça, c'est parce que j'avais peur de mon amour en ver elle. J'avais peur qu'il grandisse beaucoup trop et prenne des trop grande proportions; je suis amoureux de Mélissa et cet amour est inconditionnel : il est tellement puissant que j'avais peur de la détruire et d'ouvrir les yeux pour assumer que je l'aimais éperdument. Quel con !
Je tente de chasser mes remords et ferme les yeux pour essayer de m'endormir mais en je n'y parviens pas. Je tourne puis retourne, sans trouver la bonne position, surtout que, j'ai sous estimé le temps ici : il fait froid, extrêmement froid même et je me retrouve sans vêtement de rechange puisque les portes de la voiture sont bloquées et que je n'y ai plus accès. Je me retrouve donc en sous-vêtements torse nu, la poisse. Je sers, le plus possible la couverture contre moi pour tenter de me réchauffer au mieux. Je souffle agacé de la situation mais entend des bruits étranges : je me redresse légèrement et tente d'écouter, mais je n'arrive pas à déterminer de quoi il s'agit. Je me rallonge puis quelques minutes plus tard j'entends des bruits de pas, au début je ne bouge pas puis réalise que les bruits sont de plus en plus près. J'attend qu'il cesse puis me tourne ver la source, je distingue une silhouette dans la pénombre et la reconnais de suite, c'est Mélissa.
C'est le moment où jamais de lui parler et de tout mettre à plat, je me redresse tout doucement puis me lève pour la rejoindre. Je sais d'avance qu'elle va crier et je n'ai pas envie de déranger Catherine donc une fois arrivé à son niveau, je recouvre sa bouche par ma main, pour l'empêcher de crier et tente de lui chuchoter à l'oreille, malgré qu'elle se débatte :
- Shhhuuuuuuuutttt, calme toi c'est moi Kyle. Sentir, sa peau, son odeur m'avait tellement manqué, si nous étions ailleurs et dans d'autre circonstances, je l'aurais directement, prise sur place puis aurais déjà découvert chaque parcelle de son magnifique corps en prenant soin d'y déposer des longs et doux baisers. Alors que je fantasme sur la situation, Mélissa enlève violemment ma mains posé contre ses lèvres et recule:
- Me touche pas ! Dit-elle énervé puis allume une faible lumière, je réalise qu'il s'agit de la lumière de la hotte. Apparaît ainsi, son visage et son corps qui sont éclairés par les lueurs faibles de la lumière : ses cheveux bruns sont mouillés montrant qu'elle vient tout juste de se doucher, son visage est toujours aussi doux et éclatant. Mon regard descend sur son corps et je vois, qu'elle n'a pas perdu sa magnifique habitude, de porter de large T-shirt, je la re-imagine dans mes t-shirt, les l'en demain de soirée, qu'on passait rien que tout les deux. Je vois bien qu'elle est enceinte, la démarcation sur le t-shirt, de son ventre rond le prouve. Ce détail me comble tellement que j'ai envie de la prendre dans mes bras, pour la serrer le plus fort possible contre moi, tout en l'embrassant. Je comprend, au vue des circonstances le fait qu'elle ne m'ait pas dit, qu'elle était enceinte mais maintenant, j'ai envie de l'entendre, de sa propre bouche, venant d'elle même.
La voyant apeuré, je m'approche doucement puis tente de la rassurer :
- Je ne voulais pas te faire peur Mélissa. Mais elle met sa mains pour me stopper.
- N'approche pas ! Et surtout ne prononce plus jamais mon prénom ! M'interrompt-elle brusquement. Je vois bien qu'elle ressent du dégoût en me voyant mais je peux pas la laisser me rejeter comme ça et tente une nouvelle approche :
- Attend Mélissa, je ne voulais pas te faire de mal, je suis vraiment désolé... je...je sais que j'ai fait le con mais pardonne moi.
- Désolé de quoi, hein!? Tu es désolé pour tout le mal que tu m'as fait !! Tu ne voulais pas me faire de mal mais tu m'as détruit, tu as ruiné ma vie, tu ne m'as jamais aimé et c'est pour ça que tu n'as jamais voulu reconnaître se qu'on était nous deux. Putin mais j'ai vraiment été trop conne pour te croire, tu ne vaux rien. Tu veux que je te pardonne, mais t'étais où pendant ces cinq mois ? À pardon monsieur était beaucoup trop occupé, à faire mumuse avec d'autre fille, comme il l'avait fait, au par avant avec moi et se n'est, plus que maintenant, qu'il c'est dit : «Ah bah tient, et si j'allais rendre visite à Mélissa, pour voir à quel point je lui est détruit ça vie ! ». Tu t'es peut être dit que j'étais assez conne pour te pardonner hein ! Mais désolé, tu as fait ce chemin pour rien puisqu'il n'y a plus l'ancienne Mélissa ! Me lâche-t-elle sarcastiquement. La vérité me fait mal, beaucoup trop mal même. Je tente de me calmer puis sers les poings mais je n'arrive plus à me retenir puis tape mon poing sur le comptoir et tente de la convaincre en entant le plus sincère :
- Oui j'ai fait n'importe quoi, j'ai été un vrai connard...mais...mais je t'ai aimé et je t'aime encore putin. J'insiste sur mes deniers mots car oui je l'aime et je l'aime plus que tout et si l'un des moyens, pour la reconquérir est de lui crier mon amour, je le ferais jusqu'à ma mort. Voyant qu'elle ne réagi pas à mes paroles, je commence à perdre patiente, voyant qu'elle ne m'a toujours pas avoué être enceinte, surtout que, son ventre ressort encore plus puisqu'elle a les bas croisés, venant ainsi redessiner les contours de son ventre; je lui pose calmement l'ultime question qui me travail l'esprit :
- Pourquoi tu ne m'a pas dit que tu étais enceinte ? Après quelques secondes d'hésitation, elle me répond froidement :
- Je ne voyais pas l'intérêt de le dire, puisque tu n'as même pas été capable d'être « assez » mature pour assumer une relation, donc endosser la responsabilité d'un enfant ça aurait été encore plus compliqué à assumer !
C'est bon, elle vient de le dire, donc tout ça est vrai:
- C'est donc mon enfant. Chuchotais-je, réalisant se qu'elle vient de dire. Ses paroles sont blessantes je ravale, bien que mal, ma fierté mais cela confirme les dire d'Angel, se qui veut aussi dire qu'elle a tenté d'avorter. Cette idée me rend triste, mon poing posé sur le comptoir retombe le long de mon corps. Les larmes montent et certaines s'échappent mais je suis obligé de savoir :
- Et c'est vrai que tu allais avorter ? Ma voix se brise, je ne résiste plus. Je la vois verser des larmes mais elle les essuies du revers de la mains.
- Oui c'est vrai car je ne voulais pas mettre au monde l'enfant d'un être au quel j'avais consacré tout mon amour pour rien et qui m'a en retour, détruit ! Mais après, je me suis dit que c'était aussi mon enfant et qu'il n'avait rien demander de tout ça et qu'il méritait de venir au monde. J'ai changé d'avis en réalisant qu'il me permettrait d'avancer dans la vie et que je ne pouvais pas refuser, de lui donner la vie juste parce que son géniteur n'était qu'un lâche ! Mais ne t'en fais pas je n'ai pas besoin de ton consentement, ta pitié ou encore ton argent, je m'occuperais toute seule de mon enfant ! Ses paroles sont des coups de massue. Je reste figé devant se qu'elle me dit, elle a voulu avorter à cause de moi, à cause du mal que je lui avais fait. Melissa part et je n'arrive pas à prononcer un seul mot, je ne parviens pas à l'arrêter, comme la dernière fois. C'est comme si mon corps était en mille morceaux, je n'ai plus aucune force : mes muscles m'ont lâchés. C'est donc comme ça qu'elle me perçoit, comme un 'lâche'. Je la laisse partir, comme à chaque fois, c'est vrai que, c'est lâche et égoïste de ma part, je suis vraiment qu'un vaut rien. Mais je ne dois pas commettre mon erreur une énième fois : je décide donc de me ressaisir et cette fois si partir derrière elle.
Je gravi les marches à toute vitesse oubliant qu'il est tard la nuit. Je ne sais pas qu'elle porte est celle de la chambre de Mélissa, j'ouvre la première porte et par chance c'est la sienne. Je la vois allongée dans son lit et entends ses sanglots, se qui me fend le coeur. Melissa m'étend entrer et se relève rapidement, se positionnant alors, à quelque mètre, en face de moi:
- Qu'est-ce-que tu fais ? Sors de ma chambre ! Dit-elle apeurée, en m'indiquant de sortir, je ferme la porte et allume la lumière.
- Mélissa, je veux juste parler, juste un instant et après je partirais. Je m'approche d'elle calmement et fais les gros yeux. Je sais que malgré elle ça va marcher. Je la vois hésiter, elle essuie ses larmes puis prend la parole :
- D'accord mes fais vite ! Je vois bien qu'elle tente d'être indifférente envers moi mais c'est le moment pour moi, de prouver que je peux réparer mes erreurs et être quelqu'un de bien pour elle. Je lui souris chaleureusement pour la remercier.
- Tu as raison j'ai été quelqu'un de lâche, d'immature mais je n'ai jamais mais jamais douté de ton amour et s'il te plaît ne doute jamais de mon amour pour toi. Je t'ai aimé plus que tout au monde et je t'aimerais toujours, t'es la seule à qui je me suis ouvert, à qui j'ai dit que je l'aimais; tu es la seule, qui, ne serait-ce qu'un peu, est parvenu à me faire changer. Et tu sais quoi, j'aime que tu parvienne, à faire de moi quelqu'un de bien, j'aime, être avec toi, et si tu pense que, je ne veux pas de cet enfant tu te trompe. Comme tu dis cet enfant est un souffle de renouveau pour toi mais aussi pour moi ! Laisse nous une seconde chance, laisse cet enfant nous unir de nouveau parce qu'on le mérite Mélissa. Pendant ces cinq mois, j'ai sombré dans l'alcool et la drogue: te quitter m'avait tellement détruit et j'avais l'impression que tu me haïssais et que tu ne voudrais plus jamais me revoir. Mais Angel, m'a tout raconté et j'ai compris que t'avais besoin de moi et que moi aussi j'avais besoin de toi. Assume le Mélissa, toi et moi on se complète... je m'approche encore plus d'elle et tente de lui prendre la main du bout des doigts et poursuit : Mélissa s'il te plaît, si il te reste un soupçon d'amour pour moi, pardonne moi. Ma voix se brise, je la fixe droit dans les yeux et tente de la convaincre. Elle me regarde et tente de digérer tout se que je viens de lui dire.
PDV MÉLISSA :
On mon Dieu ! Comment ne pas craquer ?! Je n'espérais pas qu'il entre dans ma chambre et qu'il me dise tout ça, bien sûr que tout ça me touche et fait plaisir à entendre. Surtout qu'il tient ma main, se qui me met vraiment mal à l'aise. Mais est-il vraiment sincère, je sens qu'il pense sincèrement à tout se qu'il dit, l'entendre reconnaître l'enfant est la chose qui me touche le plus. Il a peut être raison, cet enfant est peut être un dons du ciel pour nous réunir de nouveau et si c'était le cas dois-je le pardonner aussi rapidement. Il a encré ses yeux dans les miens et je sais qu'il attend de moi une réponse, mais ça ne peut pas être aussi facile, je ne peux pas le pardonner aussi rapidement après tout se qu'il m'a fait. Je peux tout simplement lui dire que, j'accepterai ses excuses mais qu'il me faut du temps, pour digérer tout ça et re-avoir confiance en lui. Alors que je réfléchis à se que je dois dire, je me sens prise de contractions, se qui me fait gémir de douleur. Je m'empresse de m'écarter de lui en posant une de mes main, sur mon ventre tout en soufflant doucement puis avec mon autre main je m'agrippe, par réflexe à l'avant bras de Kyle, ne le lâchant plus je sers tellement fort son bras qu'il grimace légèrement.
- Qu'est-ce qu'il y'a Mélissa ? Tu as mal quelque part ? Kyle est inquiet et s'approche un peu plus de moi. Je ne parviens pas à lui répondre et continue à respirer profondément, tout en gémissant de douleur. Sans que je m'y attende, Kyle passe son bras sous mes jambes puis encercla ma taille pour me soulever et me déposer délicatement sur mon lit.
- Attend je vais réveiller ta mère. Dit-il en se redressant. Je l'attrape de nouveau par le bras et l'arrête :
- C'est...c'est...juste...le bébé qui bouge...ça ne sers à rien....de réveiller....ma mère....je vais bien. Entre chaque mots, je prend une grande respiration puis souffle.
- T'es su..me dit-il inquiet mais je le coupe et répond sèchement :
- Oui je suis sur! Je continue à prendre de grande bouffer d'aire, je sais que ça va passer, c'est rien ça va aller.
- Dis moi se que je dois faire, tu veux que je t'emmène à l'hôpital.... Kyle insiste de nouveau inquiet en faisant des signes avec le bras. Cette situation et drôle et mignonne à la fois. Mais je tente de le calmer de nouveau et lui donne des indications tout en gémissant de douleur :
- Kyle, Kyle calme toi et écoute moi, va chercher mes antidouleurs dans le tiroir de la cuisine. D'accord !? Je le regarde calmement.
- D'accord, d'accord j'y vais tout de suite attend moi ne bouge pas d'accord ! Dit-il affolé avant de partir en courant. Malgré la douleur, je ris doucement.
Après plusieurs minutes je sens le calme revenir, Kyle et assis sur la chaise près de mon bureau et maintient sa tête à l'aide de ses mains. Ses jambes trembles, montrant son stress, j'ai presque eu l'impression d'avoir accouché ou que ça a été lui d'accouché, vu toute la panique qu'il a suscité. Cette idée me fit rire.
Kyle entend mon rire et relève immédiatement la tête me regardant au début avec inquiétude puis avec de l'incompréhension. Je lui souris et pour la première fois j'ai envie de faire preuve de gentillesse : toujours adossé contre la tête de mon lit, je lui fais signe de s'approcher. Il fronce les sourcils puis se pointe lui même du doigt pour être sûr que c'est bien à lui que je dis de venir, je lève les yeux au ciel tout en soufflant puis le menace :
- Oui gros bêta, c'est à toi que je dis de venir. Mais si tu ne veux pas tu n'es pas obligé de venir ! Je fais comme-ci j'étais indifférente mais Kyle se lève aussitôt et dit en s'approchant :
- Si, si je veux venir. Il me sourit puis j'indique la place vide sur mon lit, à côtés de moi pour qu'il vienne s'asseoir.
Une fois assis, je prend sa main et viens la déposer sur mon ventre. Il me regarde avec incompréhension mais après une micro seconde, ses yeux s'illuminent et je les vois s'humidifier. Le bébé donne des coups et c'est se que sent Kyle en se moment, à chaque coup, ses yeux s'illuminent davantage, il vient alors poser sa seconde mains pour mieux ressentir. Il approche même l'oreille et se chuchote des choses que je n'arrive pas à comprendre mais cette situation me fait sourire et je me met à verser des larmes car c'est comme ça qu'on devrait être : sans conflit, sans rupture. On devrait continuer à vivre avec le sourire jusqu'à ce que la mort nous sépare. J'ai envie de le pardonner mais je ne peux pas, tout se que j'ai fait sans lui n'aurait plus aucun sens, si je le pardonner maintenant, il me faut du temps pour reprendre confiance.
Kyle enlève ses mains puis relève la tête avec le sourire. Je m'empresse d'essuyer mes larmes.
- Merci pour ce moment. Me dit-il ému.
- Ça ne signifie pas que je t'ai pardonné. Dis-je simplement. Son visage se décompose mais il me sourit tristement et dit :
- Je sais que tu as besoin de temps et je vais te laisser, autant de temps que tu souhaite. Il approche son visage du miens, se qui parvient à me déstabiliser puis après m'avoir déposé un baiser furtif sur ma joue il me chuchote : je suis là maintenant et je ne partirais plus jamais. Il se décale de moi alors que je reste paralysé par son geste qui me procure toujours autant de frissons. Je dois me ressaisir et ne pas flancher, je sais qu'il m'attire, qu'il m'attire beaucoup même mais je dois résister, pour mon bien. Kyle se lève puis prend un air séducteur avant de se diriger ver la porte. Une fois au seuil de celle-ci , il dit :
- Je vais te laisser te reposer, bonne nuit beauté, fais de beau rêve. Il garde son sourire séducteur au coin des lèvres puis sort de ma chambre et prend la précaution d'éteindre ma lumière.
Mon cerveau ainsi que mon corps tout en entier est sur le point d'exploser, tellement ils sont en surchauffe. Je ne comprend plus rien on est passé de violente dispute à un sourire séducteur et un baiser sur la joue. Il ne rigole pas, quand il dit qu'il veut me récupérer, mais je dois le combattre et le mener à bout. Je connais bien son jeux, il joue sur la carte de la séduction pour m'attendrir et se faire pardonner mais je suis encore plus vicieuse que lui et si il veut jouer sur ce tableau je compte bien lui faire manger la poussière. Je vais prendre ma revanche petit à petit, je vais le torturer psychologiquement. Puisqu'il m'aime encore et que je l'attire toujours autant, je vais en profiter et tout mettre en œuvre pour qu'il me prouve tout ses regrets. Laissons ça de côtés il est temps pour moi de dormir, mon corps et mon esprit y ont bien besoin. Je tente de me ressaisir puis me glisse sous mes draps et tente de m'endormir.
Quel soirée, je ne m'attendais pas à tout cela. Espérons qu'il parvienne à se faire pardonner.
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Hey les guys !
Ce chapitre vous a-t-il plus ? Une nouvelle confrontation mais cette fois-ci, le fil conducteur est Kyle. Il a présenté ses excuses et Mélissa a été mise à l'épreuve, par son dernier geste; va-t-elle pouvoir résister et le faire payer ? À voir dans les prochains chapitres.
Hésitez pas à me dire en commentaire vos ressentis et oubliez pas de voter pour les chapitres cela m'encourage vraiment ;)
Sur ceux, coeur sur vous❤️🧡💛💚💙💜🖤🤍