PARTIE 1 L'ange (BxB)

By 18secretsetplus

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Les anges existent! Vous ne me croyez pas? Pourtant il y en a un dans ma classe. Ils existent je vous dit et... More

L'ange
Preuve 1 Environnement
Preuve 2 Politesse
Preuve 3 Niveau social
Preuve 4 Famille et maison
Autre cover qu'on ma proposé
Preuve 5 Bénévolat
Infiltration
Preuve 1 que mes amis sont con
Preuve 6 Pacifique
Confession
Preuve 7 Investit d'une mission
Mise en garde
Preuve 8 la voix d'un ange
Promesse
DANGER
Preuve 9 Généreux
Preuve 10 Adorable
Peut-être qu'il n'est pas un ange finalement
Peut-être qu'il ne se souvient pas qu'il est un ange
C'est juste que j'ai besoin de croire qu'il peut me sauver
Preuve 2 que mes amis sont con
Aidez-moi
Preuve 11 Pur
Preuve 12 Compliment
Preuve 3 que mes amis sont con
Preuve 13 Incapable d'identifier le danger
Preuve 14 Il aime sans considération
Easter egg
Un peu de repos avant de dégénérer
Être dans la merde jusqu'au cou
L'enfer
Preuve 15 Plus fort que tous
Procès
Preuve 16 Humour
Sa mission est terminer, va-t-il rester à mes côtés?
Là pour aider tous ceux qui en éprouve le besoin
Comment corrompre un ange?
Le démon

Un ange trouvé au porte d'une église

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By 18secretsetplus

"Un bébé? Je croyais que nous nous étions convenu de ne prendre que des enfants en haut de 5 ans."

"Oui, mais la travailleuse social dit qu'il est un ange. Il fait déjà ses nuits complète, ne pleure jamais et ne demande presque aucune attention."

"Un bébé de trois semaines qui fait déjà ses nuits et ne pleure pas? J'ai de la difficulté à y croire."

"Chéri, je sais que nous n'avons pas ce qu'il faut pour l'accueillir et que nous avons déjà atteint notre limite d'enfant à charge, mais pouvons-nous au moins aller le voir?"

La femme et le mari s'observèrent un moment, puis le mari hocha la tête

"Ce que femme veut, femme aura." Dit-il en lançant un tendre sourire à son épouse.

Il demandèrent donc au fils du voisin de garder les enfants. Du haut de ses 12 ans, il pouvait très bien surveiller trois jeunes âgé entre 5 et 8 ans. De toute façon, le couple connaissait la mère de ce dernier pour être tellement après son fils, qu'elle viendrait faire des tours à tout les 30 minutes s'assurer que son garçon ne perde pas le contrôle. Et puis le petit Martin serait heureux d'avoir de l'argent de poche et allez s'acheter des bonbons avec.

Ils allèrent donc au centre de la protection de la jeunesse et une femme vient leur remettre un nourisson, qui n'avait même pas atteint son premier mois de vie. Le petit observa la femme avec de grands yeux d'or et ria avant de tourner le regard pour observer autour de lui.

"Il est tranquille. Il n'a pas peur des étrangers."

"Du tout. C'est ce que je vous disais au téléphone. À peine il est arriver ici qu'il ses mit à babiller et sourire à tout le monde."

"Vous l'avez depuis quand?"

"Il est arriver ce matin. On essai de le placer dans une famille le plus tôt possible."

"Alors comment vous savez qu'il fait déjà ses nuits? J'ai un travail très demandant, je ne peux me permettre de me faire réveiller par les pleurs d'un enfant." Dis l'homme qui avait déjà néanmoins craquer pour le garçon qui avait émis un cris de joie en le voyant.

"C'est le prêtres qui ma la amener qui m'en a informer."

"Un prêtre." Demanda la femme en serrant le garçon contre elle.

"Il la trouver abandonner au pied de l'église hier en soirée. Il dit qu'il était là quand il a fermer l'établissement et qu'il a faillit ne pas le voir en quittant. Un ange lui aurait dit de tourner la tête pour voir l'enfant dans son lange. Il la ramener chez lui et la garder pour la nuit. Dés l'ouverture du centre, il est venus le porter. Selon lui, il n'a pas pleurer une fois. Personnellement je crois qu'il couvre l'une de ses paroissiens, mais bon. Je ne suis pas la police."

"Qui peut abandonner un si joli garçon devant une église?" Demanda le père qui avait tendu le doigt vers le petit qui l'avait réclamer pour le serrer entre ses petites main.

"Qui sait. J'ai prévenu la police évidemment. Il vont ouvrir une enquête et le coupable sera trainer en justice, mais en attendant, il lui faut un foyer."

"On le prend!" Dit la mère qui faisait déjà des grimaces au bébé pour le faire rire.

Le mari soupira amusé.

"Chérie, nous n'avons rien pour accueillir un si jeune enfant."

"Nous acheterons tout ce qu'il a besoin."

"Pour possiblement devoir sans départir d'ici à ce qu'on vient le réclamer?"

"Exact. Comment il s'appelle?" Demanda la femme à la travailleuse social.

"Il n'a pas de nom. Nous n'avons aucune information sur lui. Il ni avait que son lange et lui devant l'église. Le prêtre dit que ses l'enfant d'un ange." Ajouta-t-elle en levant les yeux au ciel.

"Pouvons-nous le nommer?"

"Et bien d'ici à ce qu'on trouve des informations sur lui, il lui faudras effectivement un nom."

"Alors si c'est un ange, ont va lui donner le nom d'un archange. Gabriel." Dit la femme en se tournant vers son mari qui hocha la tête pour dire que ce choix lui appartient.

Les deux ne croyaient pas en la religion, mais trouvais que la situation était de mise.

"Parfait. Venez remplir les papiers et vous pourrez partir avec lui."

Ils retournèrent à leur maison avec le petit qui c'était assoupis dans les bras de la mère. Le mari offrit un billet de vingt dollars au fils des voisins qui retourna chez lui à la course pour se faire gronder par sa mère, qui l'attendait. Elle n'aimait pas voir son fils courir ainsi, car il risquait de ce faire mal.

Bien vitez ils se rendirent compte qu'on ne leur avait pas mentis. Le garçon dormait pronfondément chaque nuit, ne pleurait jamais et ce même quand l'un de leurs autres enfant à charge le bousculait un peu trop. Il babillait, comme pour vouloir parler à tous et tendait les bras vers n'importe qui pour se faire prendre.

Dés que l'un des adultes se mettait à parler, il arrêtait tout pour observer la personne, puis il y répondait avec ses gargouillis habituelle. Il fallait avouer que ce n'était pas un nourrisson habituel. Jamais la police n'a trouver des informations sur lui. Personne n'avait plaider sa disparition. C'était comme si personne ne savait qu'il existait avant d'être abandonner devant cette église.

Au bonheur du couple qui pu le voir grandir à leur côté sans adieu déchirant comme avec certain des jeunes qu'on leur confiait.

Le jeune garçon était maintenant âgé de quatre ans et, assis au comptoir, pigeait dans un bol de framboise qu'on lui avait donner comme collation. La femme le regardait faire amuser par ses petites mains qui tentait d'aggripper la baie pour le mettre dans sa bouche. Soudain une fillette de 8 ans arriva en faisant voler ses nattes.

"Je peux écouter la télé?"

"Tu as écouter la télé aujourd'hui?"

"Non. Du tout. J'ai fait de la peinture et du vélo." Énuméra Myriam impatience qu'on lui dise oui.

"D'accord, mais pas plus d'une heure. Ensuite je veux que tu retourne jouer dehors ma grande. Ça te va?"

Elle fit signe que oui, avant de s'approcher du comptoir pour voler une framboise dans le bol. Fidèle à lui-même, au lieu de s'insurger, Gabriel prit une framboise et la tendit à la fille en souriant. Elle le prit et partit vers le salon sans dire merci, pendant que Gabriel l'observait s'éloigner. Il tourna ensuite son regard d'ambre vers sa mère qui lui souriait.

"C'est gentil d'avoir partager Gabriel. Merci."

Il fini le bol avant de descendre du tabouret et de l'amener à sa mère pour qu'elle le lave, elle aggrippa un linge pour lui nettoyer la bouche et les mains, puis il s'éloigna vers le salon. Souriant, la femme nettoya le bol pour le mettre à sécher et alla se promener dans la maison. Elle retrouva Gabriel debout à côté de Myriam qui regardait la télé les sourcils froncer. Au sol, une feuille de papier déchirer en quatre avec dessus, des dizaines de coeur. Gabriel prenait l'un des morceaux de papier et le tendit à Myriam.

"Lâche moi!"

"Myriam, s'il te plait. Soit gentil avec ton petit frère."

"C'est pas mon petit frère. Pis tu es pas ma mère. Il est toujours après moi, il gosse."

La femme vient ramasser les feuilles au sol pour les donners à son garçon.

"Il t'aime, soit gentil si tu veux le rejeter."

La gamine tourna son regard vers Gabriel qui lui retendait les feuilles. Elle les prit et les déposa à ses côtés.

"Merci, maintenant va-t'en jouer ailleurs. J'écoute la télé."

Gabriel lui offrit un sourire avant de partir dans une autres pièce.

"Tu as parler à ta mère au téléphone, hier. Comment ça c'est passer?"

"Elle sort de prison. Faut qu'elle aille faire une thérapie, pis après à vient me chercher pour m'amener voir des dauphins." Énuméra la fillette.

"C'est ce qu'elle ta dit."

"Oui, pourquoi?" Demanda la petite fille en regardant celle qui s'occupait d'elle depuis maintenant presque deux ans.

"Pour savoir. Je suis très heureuse de savoir que tu pourras bientôt être avec ta mère, je m'inquiète juste que tu te fasse de faux espoirs.'"

"Ma maman elle va venir me chercher pour m'amener voir des dauphins qu'elle a dit!" Répèta la fillette.

La femme lui sourit avant de venir lui embrasser le front. Puis elle entendit un bruit de verre briser et se dirigea en vitesse vers le son. Les trois garçons se trouvait dans la pièce. Le plus vieux de 12 ans, celui de 9 et Gabriel qui était à l'écart et les regardait de ses grands yeux. Un vase était éclater au sol et les deux plus vieux observait la femme apeuré. Puis lui de 9 ans pointa Gabriel du doigt.

"C'est lui qui l'a fait tomber."

Il reçu immédiatemment un coup du plus vieux qui marmonna un: même pas crédible.

"Les garçons ne vous battez pas. J'ignore qui est responsable, mais j'aimerais votre aide pour nettoyer. Si vous alliez me chercher un balai et une poubelle, se serait apprécié."

Les deux plus vieux partir à courir chercher les objets demander, pendant que la dame vient s'agenouiller proche du dégats en soupirant. Elle n'avait plus l'énergie de s'occuper de quatres enfants.

"Besoin d'aide mamou?" Demanda la petite voix de Gabriel qui arrivait derrière elle.

Rectification, de s'occuper de trois enfants. Gabriel ne demandais aucun effort.

"Ne t'approche pas. Je ne veux pas que tu te blesse mon coeur. Ça peut être très coupant."

Elle plongea son regard dans les yeux de son fils et lui offrit un sourire réconfortant. Les deux autres garçon revient avec les objets demander et aidèrent à ramasser.

Lorsque son mari revient du travail, une bouffée de nostalgie la traversa. Elle aimerait reprendre son travail de vétérinaire qu'elle avait mis sur pause pour venir en aide aux enfants délaisser, mais le faire signifierait de les abandonner de nouveau et elle ne savait pas si elle en aurait la force.

"Ça ne va pas, chérie?" Demanda son mari comprenant immédiatemment la détresse dans son regard.

"Oui et non." Elle lui expliqua son désir et sa peur d'abandonner les enfants et d'un baiser rassurant son mari trouva la solution.

"Nous pouvona arrêter quand nous voulons. La mère de Myriam n'est pas censer retrouver sa garde bientôt? Et puis la travailleuse social ne nous a pas informer d'un developpement dans le dossier des deux frères? Si tu veux, à leur départ on ce retire comme famille d'accueil et tu pourras reprendre ta carrière."

"Mais Gabriel, personne ne va venir le chercher!" S'inquièta la femme qui ne voulait pas voir le garçon qu'elle avait élever depuis son plus jeune âge aller dans une autre famille.

"Alors adoptons-le." Proposa l'homme qui réceptionna immédiatement sa femme qui lui sautait au cou.

Il durent donc dire au revoir à leur trois autres enfants à charge qui partirent rejoindre des membres de leur famille biologique durant les mois qui suivirent et signèrent les papiers d'adoption pour leut petit ange déposer au pas de l'église.

👀

Intéressant comme début de vie Gab😈 trouvez sous le porche d'une église par un prêtre avertit par les anges 😏

On y croit?

J'espère que vous croyez qu'il a fini en famille d'accueil comme ça, c'est ce qui c'est passer!!!

Je voulais dire: On y croit que c'est un ange maintenant? 😏

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