𝐄́𝐏𝐇𝐄́𝐌𝐄̀𝐑𝐄

Da lookingforshe

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La mort frappait dans l'ombre. Elle n'avait jamais été vue, elle n'avait jamais été entendue, arrachant des â... Altro

NDA
Prologue
1. De passage
2. Visiteur surprise
3. Séance fantôme
4. L'article
5. Game Over
6. Illusion
7. Cadeau empoisonné
8. Jamais vu, jamais entendu
9. Dixième échec
10. Mens moi
11. Une question de chance
12. Rêve ou réalité
13. Démon(s)
14. Double face
16. Confiance
17. Q
18. Sombre solitude
19. Questions et tourments
20. Vraie nature
21. Jeu de regard
22. Destin
23. Descente aux enfers
24. Respire, Zara
25. Calvin
26. À ta place
27. Avertissement
28. Tornade Clifford
29. Qui est-tu ?
30. Âme
31. Sans émotions
32. Photos
33. Destins liés
34. Désir mortel
35. Poison
36. Attirance interdite
37. Infiltration
38. Besoin de contrôle
39. Une minute
40. Monstre
41. Silence
42. Victime et mercenaire
43. Le même ciel
44. Vague de déni
45. Étoile filante
46. Souvenirs
47. Mauvais écho
48. Bonne nuit
49. Pour toujours et à jamais
50. Deux frères
51. Jusqu'à la fin
52. Tic Tac
53. Seuls contre tous
54. Mr. Curtis
55. Regardez-moi

15. Promis.. ou pas

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Da lookingforshe


Vingt-deux heures.
Appartement de Zara. Manhattan.

Mon regard restait fixer sur la glace brisée et les fragments de verre ainsi que le céramique éparpillés sur le sol, n'arborant aucune expression sur mon visage à peine guérie.

J'avais peur de la colère de mes parents, mais je craignais encore plus la mienne.

Mon reflet était brouillé et je me levai tirer les rideaux opaque de ma chambre.

La nuit était tombée et je n'avais ni la force, ni la lucidité de ramasser tout ça maintenant.

Kassie n'allait pas rentrer de toute façon. Je ne savais où elle était passée, ça pouvait attendre demain.

J'ôtai mon pull avec difficulté, puis mon pantalon avant de tirer les draps et de m'y faufiler à l'intérieur.

Je frissonnai au contact de draps froids et déposai ma tête contre l'oreiller. 

Le silence n'était jamais plein alors que je tentai d'ignorer le bruissement de mes oreilles et fermai les paumières, avides de sommeil.

Mon matelas semblait se balader dans la pièce, faisant monter progressivement la nausée et je laissai un juron m'échapper.

Toujours un problème avec toi.

Je recouvra mon visage des paumes de mes mains et souffla en me redressant finalement.

Je retirai ma couverture à contrecœur et marchai difficilement vers le salon, m'accrocher toujours aux murs afin de ne pas rencontrer le sol par accident.

J'allumai la lumière puis m'approchai de la cuisine ouverte pour y prendre un verre d'eau et n'importe quel médicament qui pourrait calmer mon esprit.

Un somnifère, de l'aspirine, peu importe.

Quelque chose qui lui ferait fermer sa gueule.

Le placard était vide.

Fait chier.

Je claqua d'un coup sec la porte et passa une main sur mon front en sueur avant de venir m'assoir sur le plan de travail.

Mes sourcils se tortillaient alors que je retenais ces foutues larmes de couler pour la énième fois en l'espace de quelques jours et je fixai mes jambes qui se balançaient dans le vide.

Je voulais dormir.

J'avais besoin de me reposer. De penser à autre chose, non.. de ne penser à rien du tout. Je ne demandais que quelques heures de répits mais j'imagine que ça aussi, je n'y avais pas le droit.

Mon corps ne coopérait pas, mon esprit non plus. Ils avaient tout les deux décidés de se rallier contre moi alors que ce dont j'avais le plus besoin en ce moment même était du soutien. Une main à laquelle s'accrocher. Une corde à laquelle se hisser. Une bouée à laquelle me maintenir la tête hors de l'eau.

J'avais été ma propre main, ma propre corde et ma propre bouée après le décès de Sabrina, mais si moi-aussi, je m'abandonnais à mon tour, tout cela n'aurait servi à rien.

Je serai morte avec elle. Même si une partie de moi l'avait effectivement rejoint ce soir là.

Je consommai une nouvelle gorgée d'eau et humidifiai mes lèvres gercées. Je ne me souvenais à peine de la dernière fois que j'avais manger ne serait-ce qu'un repas pour être honnête.  Peut-hier, ou alors avant-hier, j'en sais trop rien.

Je n'en ressentais pas le besoin et n'y remédiais pas non plus.

C'est presque un miracle si je tiens debout aujourd'hui.

Enfin debout, c'est une façon de parler.

Je quitta le plan de travail et frissonna lorsque le parquet froid entra en contact avec mes pieds nus, m'incitant à aller enfiler un haut ainsi qu'un bas si je ne comptais pas m'endormir dans l'instant.

J'extirpa mes vêtements de mon armoire puis les enfila lentement avant de m'approcher de mon téléphone déposer sur ma table de nuit qui venait de s'illuminer.

Mesa : Soirée de merde. Je peux venir chez toi ?

Je lis le message d'Andy qui apparu au sommet de mes notifications et empoigna mon cellulaire afin de lui répondre :

Moi : Oui.

Je reposa mon téléphone et me dirigea vers ma salle de bains avant d'enclancher le robinet et de passer de l'eau sur mon visage.

Andy n'assistait jamais aux soirées que les autres étudiants avec qui il cohabitait organisaient.

Peut-être qu'il ne les aimaient pas, ou peut-être que ce n'était tout simplement pas son truc.

Encore une fois, j'en savais rien mais, l'appartement lui était toujours ouvert s'il en avait besoin.

Il ne s'était jamais vraiment entendu avec les garçons de sa sororité et honnêtement, je le comprenais.

C'était une belle brochette de fils de putes.

Le genre de garçon irrespectueux envers tout et tout le monde, particulièrement la gente féminine.

Ceux que Kassie aimaient.

Pourquoi ? J'en sais rien.

Je ne comprenais pas non plus ce foutu fantasme de se faire traiter comme de la merde. Se faire insulter, rabaisser à longueur de journée.

C'était peut-être pour ça qu'elle ne restait pas plus d'une semaine avec la même personne.

Chaque bonne chose avait une fin. 

Je passa une main à travers mes cheveux sombres et sursauta lorsque la sonnette de l'appartement retenti.

Je fronça les sourcils en entamant ma marche vers la porte d'entrée et déposa ma main sur la poignée, doutant quelques secondes de l'identité de la personne qui se trouvait derrière la porte.

J'avais parler à Andy il y a quelques minutes, comment est-ce que-

Ouvre la porte connasse, je me les caille.

Ok, j'ai rien dis.

J'empoigna ma clé et la fît tourner dans le sens inverse avant de tirer la porte, me faisant comme habituellement bousculer par le grand brun qui retira rapidement ses chaussures.

Je leva les yeux au ciel et claqua la porte dernière moi. Le brun déposa une boîte en carton sur le plan de travail et vint s'assoir sur le canapé où je le rejoint nonchalamment.

J'ai volé une pizza, affirma-t-il en désignant la boîte du menton. Prends-en.

Comment est-ce que t'es arrivé aussi vite, le questionnai-je sans grand intérêt tout en prenant place à ses côtés.

Il retira ensuite sa veste mouillée par la pluie et passa une main à travers ses cheveux humides avant de me jauger du regard.

Bon ok.. j'étais déjà là ! Répondît-il finalement après un instant de blanc.

Je ricana en levant une nouvelle fois les yeux au ciel et l'observa ôter son pull lui aussi trempé par le mauvais temps puis le jeter en boule dans un coin du canapé.

Andy était et avait toujours été un beau garçon, je devais me l'avouer. Il était le type de tout le monde et ne le cachait sûrement pas.

Mais il n'était pas aussi beau qu'Eden.

Oui, cet homme était doté d'une beauté presque insolente, mais il m'avait ouvertement menacé de mort plus d'une fois alors le simple fait de penser à lui ainsi me faisait culpabilisé.

Les deux iris bleues de mon ami me fixaient dans le silence et je secouai la tête afin de virer toutes ces pensées de mon cerveau bientôt saturé.

Elle est où la blonde ? Me dit-il en détournant le regard vers la pièce.

Excellente question.

Kassie n'avait pas pointé le bout de son cul depuis des jours maintenant.

Ce n'était pas la première fois qu'elle me faisait ça, je ne m'inquiétais donc pas plus que d'habitude. Kassie était Kassie et c'était une grande fille.

Et j'avais surtout inondé cette salope de messages qu'elle n'avait même pas daigner ouvrir.

J'en sais rien.

Je me leva de ma place et parti chercher la boite de pizza que le brun avait apporté avec lui, volé ou pas puis la déposa sur la table basse tandis qu'il allumait la télé.

Il se rendit par la suite dans ma chambre et revint avec un plaide entre les mains qu'il me lança rapidement avant de me rejoindre sur le canapé.

La lueur de la télé était notre unique source de lumière, me permettant de voir mon ami du coin de l'œil qui semblait me fixer avec attention.

Tu sais Zara, commença-t-il alors que je soufflais discrètement.

Bordel.

Chaque phrase débutant par ses trois petits mots annonçaient déjà la couleur de la conversation. Une conversation qui n'allait certainement pas me plaire.

Tu sais Zara, ce n'est pas la faute de ton père.

Tu sais Zara, tu m'avais fait des avances.

Tu sais Zara, tu peux me faire confiance.

...Tu devrais vraiment te rapprocher de-

Boom.

Un bruit retentit soudainement, coupant de ce fait la phrase d'Andy qui observa tout comme moi en direction de ce son.

Celui d'un objet qui tombait.

Non. Celui.. d'une balle ?

Un objet.. c'est un objet.

Dans ma chambre.

Le brun retourna lentement son visage vers le mien, n'osant à peine prendre une inspiration de peur qu'elle soit trop bruyante et je fronçai les sourcils, tendant une oreille vers le silence.

Za-

Je plaqua ma main sur la bouche de mon ami et attendis quelques secondes au cas où un nouveau son se manifesterait.

Cela pourrait être un simple objet qu'Andy aurait effleuré en allant chercher la couverture.

Ou alors lui.

Je secouai de gauche à droite la tête et rencontrai les yeux peu serins de mon ami qui semblait vouloir se cacher immédiatement sous le canapé. Je retirai ma main de sa bouche et me redressai en éloignant certaines hypothèses qui incluaient les jumeaux ou même le criminel.

Parce que oui, tout était possible, mais rien que d'y penser me donnait envie de m'échapper par la fenêtre.

Ne compte pas sur moi pour aller voir dans ta chambre Diaz, affirmait le brun en chuchotant. Je vais me pisser dessus..

Je regarda de nouveau vers les cieux après avoir vu le brun gigoter dans tout les sens et réfléchis le temps d'une seconde avant de tirer Andy avec moi.

Zara bordel.. Pesta mon ami en tentant de me retenir.

Arrête tes conneries, répondis-je en traversant le couloir en sa compagnie. C'est rien.

Ou pas.

C'était une balle.

Non. Un objet.

..Pas de balle. S'il vous plait.

J'arrivai rapidement devant la porte de ma chambre, seconder d'Andy qui n'osait à peine jeter un coup d'œil à la poignée et inspirai discrètement une grande bouffée d'air avant d'ouvrir lentement la porte.

Je la poussai afin qu'elle s'entrouvre totalement puis analysai la pièce dans les moindres coins et recoins à la recherche de quoi que ce soit que j'espérai de tout mon cœur ne pas trouver.

Des yeux bleus polaires.

Des cheveux rouges.

Une peau brulée ou alors des cheveux blonds.

Je pénétrai dans la pièce, non sans déglutir et arrivai en plein milieu où j'effectuai un tour sur moi-même, ne trouvant aucun des quatre pour mon plus grand soulagement.

Seulement une pièce sombre.

Le soufflement de soulagement de mon ami atteint mes oreilles et je restai figer en fixant le parquet marron de la chambre.

Bordel..je me suis jamais autant chier dessus depuis Conjuring, dit-il en passant une main à travers ses cheveux humides.

Il frotta ses mains sur ses yeux puis reprit le chemin vers le salon en m'incitant à en faire de même tandis que je gardai le regard agrippé au sol.

Les pas réguliers de mon ami resonnèrent dans ma tête comme le seul son capable de franchir ma conscience et je tentai de m'y accrocher pour ne pas rencontrer le sol.

Parce qu'il n'y avait personne dans la pièce, non.

Mais quelqu'un était passé.

Une trace rouge débutant devant ma fenêtre se prolongeait tout le long de ma chambre, passant de mon lit où mon miroir y était toujours éparpillé en morceaux, à ma salle de bains puis de nouveau à la fenêtre qui menait à l'escalier de secours que j'utilisai habituellement pour fumer.

Quelqu'un était entrer dans ma chambre, visiblement blessé ou alors enduit de sang et s'y était balader avant de repartir en l'espace de quelques ridicules minutes entre le passage d'Andy et le bruit.

Ce quelqu'un, je m'en doutais.

Et c'était bien ça le pire.

Le lendemain matin.
Appartement de Zara. Manhattan.

La lumière aveuglante du jour m'extirpait lentement de mon sommeil et je fronçai les sourcils tout en amenant mes mains à mon visage.

Un corps était affalé sur le mien et j'ouvris les yeux pour voir Andy à mes cotés, toujours plongé dans les bras de Morphée. Nous nous étions tout les deux endormi sur le canapé qui ne pouvait à peine accueillir un corps adulte et j'ôtai les bras du brun afin de me redresser et de quitter ma place malgré mon corps tout engourdi.

Je me dirigeai vers ma chambre après avoir jeter un coup d'œil à l'heure afin de ne pas arriver pour la énème fois en retard à l'université et étirai ma nuque qui avait beaucoup trop subit durant cette nuit peu confortable.

Physiquement et mentalement.

Je poussai la porte avec mon pied au cas où quelque chose ou alors quelqu'un s'y trouverait et m'autorisai à reprendre le cours de ma respiration.

T'es paranoïaque maintenant ?

La ferme. C'est pas toi qui a dû essuyer une flaque sang inconnue en pleine nuit.

Je déglutis difficilement à la remémoration des évènements de la veille et abaissai le regard vers mes mains. Mes yeux s'écarquillèrent violemment et je fonçai vers la salle de bains avant de passer mes mains sous l'eau chaude et de frotter comme si ma vie en dépendait.

Pour effacer les dernières traces du bordel que j'avais nettoyer hier.

Un bordel qui était sûrement le sien.

Ce n'était pas tous les jours que ma chambre se transformait en scène de crime, et ce n'était pas n'importe qui qui en était capable.

Je coupa le filet d'eau et releva le regard vers mon reflet.

Je ne savais même pas ce qu'Eden était en réalité. Un tueur en série, un mercenaire ?

Non, de toute façon, c'est pareil. Il arrachait des vies et me suivait probablement de près.

De très près.

Pourtant je ne savais pas ce qu'il me voulait, je n'allais en aucun cas parler de notre rencontre avec qui que ce soit, il n'avait aucune raison de revenir.

J'ai mal aux brunes, pesta mon ami qui longeait le couloir pour me rejoindre, me dit pas qu'on a dormi sur le canapé..

Ses cheveux ébouriffés et les marques sur ses joues me confirmèrent qu'il avait également passé une mauvaise nuit et je me figeai discrètement en remarquant la petite trace rouge qui me narguait vicieusement dans le coin de son tee-shirt blanc.

Je l'avais forcement touché après m'être absenter pour nettoyer ce bordel et je priai pour qu'il ne remarque pas la tâche, en tout cas, pas maintenant.

Si, répondis-je en décelant mon regard de lui. Prépare-toi Mesa, on décolle dans une demi-heure.

Il souffla en guise de réponse puis s'enferma dans la salle de bains, me laissant un léger lapse de temps pour vérifier que toute ma chambre était en ordre et qu'il n'y avait plus de trace ou bien de morceaux de verre au sol.

Quelle idée d'exploser le miroir toi aussi..

Arrête, ça aurait pu être pire.

Je m'assis sur mon lit après vérification puis me munis d'un ciseau afin de rompre les bandages qui couvraient les paumes de mes mains depuis plusieurs jours maintenant.

Les traces n'étaient plus autant visibles que ça, en tout cas c'était largement mieux qu'avant.

Après qu'Alex et son frère m'aient poursuivi.

En parlant de lui, il s'était littéralement fait coffré par la police la dernière fois que je l'avais vu, j'espérai qu'il l'était toujours. 

Il avait essayé de me kidnapper, putain.

Qu'est-ce qui serait arrivé si ce garçon avait réussi à m'attraper. Cette question me hantait, comme celle de ce qui aurait pu arrivé si le criminel avait décider d'écouter la proposition de Rome.

Je serai tout simplement morte et enterrée.

J'empoigna les deux bandelettes salies par mon sang à présent séché et les lança dans la poubelle adjacente mon armoire puis m'habilla rapidement avant de partir pour NYU avec mon ami.

N'oubliant pour le moins du monde de fermer les fenêtres et la porte d'entrée à double tour.

. . .

Université de New-York. Manhattan.

Je rangeai avec difficulté mes affaires tout en mouvant ma nuque de gauche à droite afin d'atténuer la douleur que ne semblait pas s'envoler.

Le cours était terminé, de même pour ma matinée et je m'empressai de sortir de la salle où Andy était supposé me rejoindre pour aller déjeuner.

Mes pensées étaient plus lucide désormais mais, j'avais l'impression que quelque chose manquait.

Qu'un détail important m'avait échappé, et ça avait le don de me stresser un cramp plus haut.

Je vis de loin le brun qui s'approchait à grandes enjambées et lui souriais à mon tour tout en m'approchant de lui.

Mais, ma marche se fit de courte durée lorsque deux bras s'enroulèrent autour de mon cou par derrière, faisant presque bondir mon cœur de ma poitrine.

Des mèches blondes entrèrent dans mon champ de vision et j'essayai de faire ralentir les battements de mon cœur, en vain.

— ZARA ODESSA DIAZ !

Le corps de mon amie s'agita de tous les côtés alors que je reprenais rapidement conscience de ce qui se passait.

C'était Kassie, pas eux.. pas..

Putain tu veux me buter toi aussi ?! Pestai-je en appuyant une main sur l'emplacement de mon cœur.

Elle ignora royalement ma remarque et secoua un morceau de papier devant mes yeux avec un sourire collé aux lèvres.

— Ferme la et lis ça !

J'empoigna ce qui semblait être un journal et coupa soudainement ma respiration alors que j'analysai l'article qui figurait sur la première page.

Le tueur de New-York, jamais vu, jamais entendu.

Oh putain.







__

comme elle le dit si bien : oh putain.

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