Pouvoir du feu

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        J'ouvris mes yeux avec difficultés, je vis un plafond blanc, je tirais sur mes mains, elles étaient attachées, je me calmais. Allez, Lindsey, réfléchis. Comment sortir dans ce... Je regardais au tour de moi. ...cette chambre. Je réfléchissais, puis je regardais le lit, elle était confortable et neuf, les draps étaient rouges, la chambre était luxueux. Je voyais une commode à côté de moi, près du lit, il n'y avait rien qui pouvait m'aider. Je tirais sur les menottes, je commençais à avoir mal, je regardais mes poignets, ils saignaient. J'entendais des pas, je regardais la porte, il s'ouvrit, l'homme était habillé d'une chemise rouge, une cravate noir et un pantalon noir. Dans ma situation, je lui trouvais très séduisant.       - Mais qu'est ce que tu dis Lindsey? C'est ton ennemi, cria une voix. - Oui, mais quand même faut l'avouer, pensais-je en lui répondant. 

        Mais c'est vrai, je dois me reprendre, je regardais ailleurs, il s'approcha de moi et s'assoit sur le lit. Le drap en soie caressait mon corp, j'étais choquée, je n'avais même pas remarqué que j'étais nue. Je sentais le rouge monter aux joues, il me souriait. Le salop, il avait remarqué.

        - Alors ma louve, bien dormie? demanda-t-il en jouant avec une mèche de mes cheveux.

        - Je ne suis pas votre louve, gronais-je en tirant sur les menottes.

        - Oh! Tu te fais mal ma chérie, dit-il en s'approchant de mes poignets, 

        Je sentais son odeur de son eau de toilette, je voyais sa chemise coller sur sa peau, je detournais du regard, je regardais mes poignets, il lécha ma blessure, je fus surpris. Je voulais dire non, mais je ne pouvais plus rien dire, je devais me concentrer, je bougeais pour lui pousser. Sa main me plaqua sur la lit et caressait mon corps. Je devais lutter, il descendait et lécha mon cou. Je lachais un grondement, il souriait, j'étais essouflée. 

        - Alors ma louve, tu es intéressé par moi, affirma-t-il en s'éloignant de moi.

        - Salopard, prononçais-je en grinçant les dents. Pervers.

        - J'ai ma réponse, sourit-il en lèchant le sang sur ses lèvres. Tu es très délicieuse. 

        - Vous allez le regretter, criais-je.

        - Je ne regrette jamais ce que je fais, dit-il en s'approchant de mes lèvres. Tu seras à moi et ta meute aussi, sourit-il en se levant. Bon! Ce n'est pas que je ne t'aime pas mais je dois y aller, dit-il en sortant.

        - Comment vais-je faire pour sortir de ce pétrin, marmonnais-je avec mes yeux qui picottaient.

        Je restais sur le lit, je réfléchissais quand je repense à la louve, mais bien sûr mes pouvoirs. Je fermais les yeux, je tenais mes menottes, je dois croire en mes capacités et en moi. Je répétais, j'imaginais les menottes d'argents fondrent. Je sentais une chaleur qui se dégageait de ma main, ils fondaient, je cassais facilement et me levais. Je fouillais dans l'armoir, il y avait que des chemises, je mis une chemise noir, je regardais dehors, on était devant la forêt et il y avait des gardes dehors. J'ouvris en douceur la porte et il n'y avait personne. Je me trouvais dans un salon, je le traversais en silence mais je m'arrêtais devant un tirroir, je regardais dedans, il y avait un couteau. Je le pris, je regardais dans le couloir. Je traversais le couloir, je descendais les escaliers en silence, je me trouvais dans une sorte de prison, le sol était humide, je voyais moyennement avec mes yeux, je touchais le mur. Je m'avançais, je touchais enfin une porte, tapais doucement. 

        - Scott! chuchotais-je en essayant d'ouvrir.

        - Lindsey? cria Léo. 

        - Shutttt, tu vas me faire remarquer, dis-je en chuchotant toujours.

        - Scott n'est pas là, ils l'ont emmener dans un autre cellule, intervena William.

        - Je vais essayer d'ouvrir la porte.

        Je mis ma main sur le poignet de la porte en fer et chauffais le poignet. J'ouvris sans difficultés, je voyais Léo, William encore concience mais Light était par terre. Je m'approchais de lui, je touchais son poux, il était encore vivant, je chauffais les chaines et les cassais. Léo et William furent surpris.

        - Je contrôle à peine mes pouvoirs, me justifiais-je en souriant.

        - Jolie chemise, commenta Léo.

        Je rougissais et détachais les autres. Nous sortîmes, William et Léo portaient Light en passant un bras de chaque autour de chaque épaule. Je tendais le couteau à William en lui disant qu'il pouvait s'en servir mieux que moi, il le prit. Nous continuons à plonger de plus en plus dans le noir de la prison. Soudain on vit un homme en train de dormir sur la table, c'était un garde, Scott ne devait pas être loin, je pris une planche et m'approchais en douceur. 

        - Eyh! criais-je en le réveillant.

        Il tourna vers moi et je lui donnant un coup de planche dans la tête, il tomba par terre. Cela me faisait un bien fou. Léo et William déposèrent Light sur une chaise et essayaient de lui faire boire de l'eau qui se trouvait dans une petite bouteille sur la table. Je pris le trousseau de clé, je cherchais dans les cellules, il était vraiment sombre. Je pus identifier quelqu'un, je m'approchais, je vis Scott qui était dans un coin ne bougeait pas. J'ouvris et descendais dans la cellule. Je m'avançais en douceur.

        - Scott? Regard, je suis là.

        J'entendais un grondement pas du tout amical, je reculais en le regardant, il s'approchait de moi tel un animal en rager. Dans ces yeux, on ne voyait plus rien d'humain mais d'un animal. Sa peau était couvert de sang. Il sauta sur moi, nous tombions par terre, il serra sa main autour de ma george, j'essayais de tirer ma main mais il était trop fort. J'essayais de le pousser, il ne bougeais pas. Il me jetta contre un mur, j'eus une douleur atrosse. Je lachais un cri, j'entendais des bruits de pas, Léo arriva et cria le nom de son frère qui ne controlait plus son animal. Lorsque Léo vit ses yeux, il était stupéfait, il l'avait remarqué. Scott avait l'oeil sur Léo, il allait l'attaquer. Je courais vers lui et le pris dans mes bras. 

        - Scott, ne fais pas ça, dis-je avec une voix douce. C'est ton frère, je suis désolée, je m'en veux tellement mon amour, pleurais-je avec un poid au coeur. Tu...Tu te rappeles le jour où je t'ai offert ma chaine, lui rappelais-je en touchant la chaine. Je t'avais dit que je te perdrerais pas et quand tu t'ais battu avec le loup brun, il allait te tuer mais j'ai sauté sur lui sans agir comme une folle.

        Il commença à se calmer, je caressais ses cheveux en me mettant face à lui, son frond collé au mien.

        - Et la discution dans la voiture. Quand je t'ai promis que je vous protègerais et quand je t'ai dit que j'aimais le Scott que je connais et ce Scott ne poserait pas un doigt sur ses frères, souriais-je en caressant toujours ses cheveux.

        - Linsdey...prononça-t-il en me serrant contre lui. Je t'aime tellement. 

        Il m'embrassa, je lui rendis son baiser. Nous nous levons, Léo toujours en haut en train de nous regarder, Scott et moi sortîmes de la cellule. Scott s'excusa au près de son frère qui souriait. 

        - Tu as passé de bon moment avec elle, plaisanta Léo.

        - Tu gardes toujours l'humour à ce que tu vois. répétais-je.

        

Le loup mystérieux TOME 1Where stories live. Discover now