•Du coté de Idriss•
Je rentre chez moi a bout de force, jawad avais dis juste en bas mais il m'a trainer dans tout le cartier, me voilà avec des mots de pied, je suis en gros fragile. J'ai eu le temps de passé au Kébab, je me suis pris un petit a bouffer, j'ai rien dans le frigo, va falloir que je refasse les course.
Je m'assois sur mon canapé et je mange tranquillement et seul comme d'habitude. Je finis ma dernière bouchée et j'emballe les ordures puis je me lève et part vers la cuisine. Je prend toutes les ordures et descend les jetter.
Je fais vite dans le couloir, y'a pas de lumière. Non j'ai pas peur du noir mais je veux juste pas me prendre un mure.
J'arrive en bas et me dirige vers la benne a ordures, je sens comme une présence derrière moi, je me retourne et vois deux ombres. Je m'arrête pour les faire face, même si j'ai peur et que mon cœur peut lâché a tout moment je vais affronté ces trois personnes.
Les deux individus arrivent a ma hauteur et la je me rend compte de qui il s'agit.
Putain, je suis dans la merde.
Samba- je t'avais dis qu'on allait te choper.
Antonio- il est pas la aujourd'hui ton garde du corps.
Eux c'est des gars de la cité voisine, un jour on revenait de boite Jawad et moi, il avait insisté pour qu'on y aille. Au retour j'étais un peu ivre, j'ai bu sans le faire exprès du coup on les a croisé et je les ai insulté, je sais même pas pourquoi j'ai fais ça, depuis ils me laisse pas tranquille, j'ai beau leurs dire que j'étais pas dans mon état normal mais il ne veulent rien entendre du tout, heureusement que la plupart du temps je suis avec Jawad parceque sinon, ils m'aurais tuer depuis bien longtemps.
Je n'ose même pas parler, je recule de deux pas et me voilà dos au mure.
Samba- mdr tu vas ou sale tapette?
Antonio- il croit qu'il va nous échappé.
j'aimerai bien courir parceque je suis sure de les semé, je cour vite. Mais ils m'encercle. Je vois Antonio s'écraser contre le mure derrière moi et Samba se prendre un coup de genou dans le ventre. L'homme cagoulé attrape Antonio qui est au sol par le gorge,il soulève sa cagoule, il est de dos j'arrive pas a voir son visage, Antonio change de couleur et devient rouge d'un coup, a croire il a vu un monstre. Samba se lève et cour, l'homme cagoulé lâche Antonio et il s'en va en courant lui aussi.
Je ferme les yeux en attendant mon tour, quelques instants plus tard, je sens une respiration sur mon nez. Son haleine sens la menthe. J'ouvre les yeux et regard l'homme, il est plus grand que moi et sens terriblement bon, il est aussi très proche, son torse touche le mien, sa main est calée contre le mure dérriere moi. Son autre main se lève et je ferme les yeux croyant qu'il va le gifler, mais non il me caresse la joue, sa main est noire, donc je sais déjà que c'est un renoi, c'est un bon début. Sa main descend de ma joue a mon coup, elle descend encore lentement et elle se pose sur mon fessier, j'ai peur de me débattre, ça pourrait l'enerver. Il me cole a lui, je sens une chose dure sur mon ventre, une grosse chose même. Il empoigne bien ma fesse, j'ai presque mal. Et la il m'embrasse au coin de la lévres avant de disparaitre dans l'obscurité.
Je me pince pour vérifié si je ne rêve pas et devinez quoi? Je ne rêve pas. Je touche la zone ou il m'a embrassé, son odeur est encore très présente autour de moi. Je secoue la tête et jette vite le sac poubelle avant de rentrer chez moi a toute vitesse.
Arrivé a l'intérieur, je ferme bien la porte et par dans la salle de bain me laver les dents, ensuite je vais me coucher, immédiatement mes pensées se dirigent vers l'homme cagoulé, je repense a comment il m'a touche et je bande bien fort. Qu'est ce qu'il me prend de bander sur un homme dont je ne connais même pas le visage, je perd la tête. Je remonte la couverture et je dors enfin.
•Du cote de Bilal•
Je regardais par mon petit écran, je le vous qui va aller jeter les poubelles, je me lève et prend ma veste et ma cagoule avant de sortir de l'appart qui se trouve a deux pas de chez lui.
Chaque fois qu'il part jeter les poubelles je le regard discrètement par l'arriéré de son bâtiment, il ne me vois pas mais moi je le vois bien, ça ne dure que quelques minutes a chaque fois mais ça me suffit quand même.
Je vois deux gars s'approche de lui, c'est Petite salopes qui l'embête a chaque fois, j'oublie toujours de leur régler leur compte aujourd'hui c'est parfait, il me connaissent en plus, ça va être plus facile.
Je le vois se reculer et eux avancé, j'enfile ma cagoule et m'avance a pas de loup vers eux, je donne un coup au latino la et il s'écrase au mure, l'autre se dirige vers moi mais je lui donne un coup de genoux dans le ventre, j'attrape l'autre par la gorge et lui montre mon visage, il prend peur et s'enfuit avec son pote la.
Je me retourne vers mon Idriss, il respire fort, je m'approche de lui, il est tellement beau , j'ai envie de le bouffer. Je lui caresse la joue, puis tout son corps et je finis sur son fessier.
Il me rend fou.
Je le rapproche de moi et lui embrasse prêt des levres et je m'en vais avant que ça n'aille loin.
Je me met dans un coin sombre, je me calme et appuie pour mon érection. J'ai faillit le prendre contre le mure.
J'allume mon tel et le regarde, je suis même connecté a sa caméra a partir de mon tel. Il dort enfin je monte chez lui et j'ouvre doucement la porte et je retire la caméra dernière la télé. Je vais dans sa chambre je le regarde un peu et je m'en vais.
