Ça fait déja une semaine que j'ai retrouvrer Bilal, je fais que des aller retour entre.
Hopital psychiatrique > Chez moi, Chez moi > Hopital psychiatrique.
Ça en devient saoulant a force, pas les déplacement mais le fait de le voir dans cet endroit, c'est un suplice pour moi.
Il n'a rien a faire la bas.
Je vois bien que lui aussi commence a en avoir marre d'être enfermer entre quatre murs avec juste quelques minutes pour se promener.
D'autant plus qu'il n'a pas encore totalement digeré la trahison d'Ayman.
Ça fais trop de truc, mskine il souffre mon bébé.
Je viens de sortir de mon batiment et la je vais aller le voir.
Et c'est comme ça depuis une semaine, chaque jour que dieu fait.
A vrai dire, j'aurai pas pu rester chez moi, comme si de rien n'était alors qu'il est dans un hopital psychiatrique. Ma consience ne me le permet pas.
Et aussi je ressens constament l'envie de le voir, c'est comme une drogue. Je sais même pas comment j'ai fait pour pas devenir fou lors de sa disparition.
Je prend le tram, je dois passer en ville faire quelques course, il lui manque plein de truc...
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J'entre dans sa chambre, je le trouve entrain de lancer une balle sur le mur en face de son lit, qui rebondit jusqu'a lui. Comme le fait les prisonnier pour faire passer le temps.
Je deposse ce que j'ai acheter sur la table et je vais vers lui, je lui fait la bise.
Je sais c'est bizarre de faire la bise a son(sa) mec(meuf) mais bon, j'evite au maximum trop de contact avec lui, tant que nous serrons dans cet endroit.
Çe ne fait qu'éveiller en moi des pulsions que je ne pourrais assouvir...
Bilal- je t'attendais, dit il avec un sourir en coin.
- je t'ai manquer Hadil? Le questionnais avec en me moquant de lui.
Bilal- arrête de m'appeler comme ça, wAllah tu fou la haine.
En faite depuis que j'ai decouvert le nom complet de bæ, je fais que le taquiner, j'aime le faire chier par moment.
-mais pourquoi tu reagis comme ça? J'aime bien moi, je vais te renomer comme ça dans mes contact tient!
Il me lance un regard trés noir qui ne m'inpressionne pas le moins du monde.
On se chamaille encore un moment puis un blanc s'installe, je suis allonger a coté de lui et on regard le plafond sans un mot.
Bilal- elle m'enerve la psy la
Ah oui, il a accepter de voir la psy de l'hopital et la ils en sont a sa cinquiéme scéance.
Fallait vraiment qu'il coopére pour pouvoir sortir d'ici le plus vite possible.
-ah ouais pourquoi?
Bilal- elle me pose des question au quel je repond, mais a chacune de mes reponse j'ai l'impression qu'elle me voit comme un fou. Elle sort des phrases qui me mettent au pied du mure, aprés je me sens tout bête. Ça me vénére.
-patience Bilal, patience.
Bilal- je peux faire quoi d'autre a part patienter? Demande t-il froidement.
-ohh calme toi, je suis la pour t'aider moi, y a pas a s'enerver contre moi, a croire c'est de ma faute.
Bilal- vas y casse pas les couilles, j'ai dis ça même?
- t'as pas dis ça mais tu le montre.
Bilal- tu devient parano toi.
- dis le mec interné!
Bilal- tu parle a qui?
- a toi! Tu vas faire quoi?
On commence a s'embrouiller de ouf, on s'est lever et il est en face de moi, entrain de faire de grands gestes, fut un temps ou j'avais peur de lui, mais la c'est plus le cas.
Bilal- vas y bombe, je vais te mettre une baffe dans ton oreille tu vas rien comprendre.
-tu crois trop tu me fais peur, vas y nashave, t'impressionne personne avec tes menaces a deux balles la.
Il se mord le point et commence a tourner en rond comme pour de se retenir de me taper, mais je m'en bat les reins, je vais plus le laisser mettre ses nerfs sur moi.
Je n y suis pour rien moi dans cette histoire.
Bilal- et tu sais quoi? Casse toi wAllah, je vais te tapper comme mon enfant
- c'est ce que j'allais faire t'façon, t'as cru j'allais rester avec un malade comme toi? T'es un baisé!
Bilal- vas y continue a parler mal, ici t'as la bouche? Attends que je sorte wAllah je vais te choper.
-ouais bref hasta luego!
Je sors de sa chambre en claquant la porte fortement.
Je sens que je vais exploser a tout moment, ça y est il m'a saouler.
Il devient irrité de jour en jour, le pire c'est qu'il s'enerve sur moi sans aucune raison et trés soudainement comme un bipolaire.
Cette situation le saoul, moi aussi j'essaie pas de me canaliser donc je riposte et ça part souvent trés vite en couille.
Je vais revenir le soir s'il le faut, le temps qu'il se calme un peu parceque la, on va finir par se fight si je reste.
Les vigiles me regardent bizarrement, surement parceque chaque je sors a 22h or que la il est a peine midi.
Bah ouais, on s'est pris la tête, bæ et moi, pensais je.
Je vais pas rentrer chez moi la, j'ai envie de prendre l'ai un peu.
Donc je marche sans aucune destination, jusqu'a un parc a coté, trés mignon, des personnes agées sont assise sur les banc.
Ça donne une ambiance chaleureuse.
Je marche en reflechissant, de tout et de rien, je sors mes écouteurs et je met un peu de musique.
Jul ft Sch - Mother f*uck.
D'un coup quelqu'un le touche l'epaule, je sursaute avant de le retourner.
Alors la ptdr.
Inna, ma sœur ainé.
Deriére elle, il y a son marie Adnane. (#😂Youness, Hakim vous avez capter?).
Il me regarde sans aucune expression sur le visage, cet homme la a toujour été un mystére pour moi, il ne laisse paraitre aucun sentiment.
Le bad boy qui a fait chavirer le cœur d'Inna.
Je me reconcentre sur ma sœur, elle a embelli et c'est avec surprise que je découvre son ventre rond.
Je vais être tonton!
Je ne lui montre pas que je suis surpris et je reste de marbre.
Inna n'est pas la sœur avec la quel j'étais le plus proche mais on n'etait quand même en bon.
Dans les familles Africaines on se doit de respecter ses ainés, vous savez de quoi je parle.
Donc c'est un peu méchant de le dire mais, le fait qu'elle me boycott ne m'a même pas un peu fait mal.
Je m'en tapais.
Donc la elle me veut quoi?
