Chapitre 17 : Eros

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Le temps reste figé. L'œuf en or que ma donner Nyx se met à briller avant de se disloquer en une trainée de poussière dorée qui disparaît en montant vers le plafond. Une vive lumière m'aveugle quelques secondes. Quand j'ouvre les yeux, je découvre devant moi un splendide garçon bronzé aux cheveux d'or avec pour unique vêtements une belle toge blanche couvrant une seul épaule. Son œil bleu me regarde tendrement et calmement. Une petite couronne de laurier trône au milieu de ses cheveux en bataille. Il vient palper mon corps avec son regard avant d'enfin parler : 《 Tu es bien mignon. Ton partenaire à une chance incroyable d'être avec toi.

- Merci.

- De rien. Mon nom est Eros dieu de l'amour. Je suis là pour faire de toi l'homme le plus heureux de ce monde mais aussi pour te permettre de réaliser ta lourde tâche. Mais avant tu vas passer par un doux réconfort.

- À trop tard Nyx ma déjà mit en couple.

- Je le sais et je suis là pour ton avenir.

- Je vais coucher avec lui ?

- J'espère que tu le veux car il est important que ce soit fait ce soir.

- Pourquoi donc ?

- Dans trois jours tu le seras.

- Bon je mis prend comment ?

- Laisse le mener la dance car les loriandes détestent ne pas avoir le contrôle, ça les perturbes. Ils ont l'air autoritaire mais en réalité ils sont très soucieux du bien-être de leur partenaire et lors d'un acte le fait de diriger leur permet de prendre soins de l'autre.

- Je ne les pensais pas si intentionnés.

- Lyedgel fait partie des Voranes qui ont l'habitude d'être des beaufs de Cabu qui se vante de tout pour rien donc pas d'amalgame. Bref laisse le te prendre mais surtout passé un moment inoubliable.

- Volontiers.》

Il sort de la pièce et réactive le temps. Mon amour reprend vie et me regarde. Je tente un truc que j'ai vu au restaurant dans le livre que Nocteris m'a offert et que j'ai feuilleté en attendant le plat. J'attrape son cerlis et j'émets dans ma tête la précieuse question " Veux-tu aller en moi ? ". Ces yeux abordent le noir diopside qui m'a rendu amoureux. Je lui dis mentalement que je le laisse faire avant de lâcher la longue membrane. Je me relâche complètement et je le laisse me déshabiller lentement. Il se déshabille rapidement avant de me guider vers le lit sur lequel il me fait m'allonger. Il vient se mettre sur moi et se met caresser mes joues jusqu'à ma bouche avant de m'offrir un baisé passionnel. J'abandonne mon corps pour me laisser devenir l'objet de ses mains douces. Ses doigts, tel des empereurs se mettent à conquérir lentement chaque parcelle de mon corps. Il passe sous mon menton avant de descendre sur mon torse. Il s'assoit sur mes jambes allongées pour palper mes pectoraux peu existants contrairement aux siens qui me laissent deviner qu'il était sans doute soldat par le passé. Je le vois traduire mes balayages de regards et il me fait passer sur lui pour que je découvre son corps fin et bien bâti. Sa peau sèche lui donne un air puissant qui lui va bien. Je n'y avais pas prêté attention hier mais bien que sa peau soit violette, ses deux boutons ornant son torse sont quasi identiques au mien par leur forme. Cependant ils abordent les splendides couleurs d'un saphir rose. Je les caresses tendrement provoquant l'allongement de son souffle et un léger plissement de ses beau yeux diopside. Je parcours son ventre plat qui semble très tactile car chaque caresse le fait réagir. Je gagne enfin son jardin secret caché par un caleçon volontairement laissé pour rendre son trésor protégé plus désiré que jamais. Mais je n'ai le temps de goûter à se délices que nous reprenons nos places de départ. Dès qu'il me surplombe de nouveau, sa tête tel un aigle plonge sur mon torse pour lécher mes tétons qui semble lui plaire. Il y passe beaucoup de temps à les léchouiller tout en les mordillant de temps en temps. Toute ses stimulations me font frémir de bonheur et de plaisir sous son sourire tendre et un peu niais dans cette situation. Il descend langoureusement vers mes abdominaux où il passe peu de temps. Je vois bien dans son regard noir qu'il préfère aller vers mon caleçon. D'un mouvement sec mais néanmoins précis, il retire ma derrière barrière avant la nudité en me regardant droit dans les yeux avec un sourire ambitieux. Il découvre mon intimité qui semble autant l'émerveillé que l'intrigué. Je laisse le toucher, le palper, le fixer avec curiosité et avidité. Il finit par se laisser emporter par sa curiosité. Il commence par renifler dans les moindres recoins ma pilosité qui a un peu poussé avant de sentir mon sexe pour se retrouver au final sous mes bourses. Toujours point rassasié, il commence à lécher tout mon appareil dans sa totalité avant de commencer à prendre mes valseuses dans sa bouche. Sa frigide température se ressent immédiatement sur mes bourses lorsque sa lange vient se collé contre elles. Ce changement brusque de température me fait pousser un gémissement de surprise sans pour autant lui faire relâcher ma paire sensible. Lorsque qu'il en finit avec mon paquet, il commence à faire de même avec mon gland qu'il tête en douceur tout en jouant sur la durée des contacts avec ses chairs frigorifique. Avec sa langue, il vient caresser en tournoyant tout mon pénis. Je le vois s'allongé de dos sur moi de tel sorte que son entrejambe me sois accessible. Je passe au-dessus et lui retire son dernier vêtement. Je découvre un pubis virilement velu où trône un appareil similaire à celui de Lyedgel bien qu'un peu plus long de quelques centimètres après le bulbe érectile. Je découvre sur cette zone une odeur légèrement musquée et masculine surtout sous sa belle poche bien garnie par deux boules plus grosse que des balles de ping-pong. Je peine à prendre entièrement dans ma bouche cette dernière ce qui lui provoque un petit fou rire très mignon. Sa peau elle est légèrement salée et froide mais elle est délicieuse au point qu'elle pourrait entrer dans la liste des drogue sur Terre. Je la savoure longuement avant d'enfourner son sexe désormais dur dans ma bouche jusqu'à la moitié. Je reste un long moment impressionné par le goût de son pénis qui est légèrement salée et agréable à garder en bouche malgré le fait que sa température soit en dessous de zéro. Je suce goulûment son sexe sous ses gémissements d'extase naissant. Soudain il retire ma tête avec ses mains et reprends son souffle. Il revient au-dessus de moi et m'embrasse longuement. Un fois cela fait, il me met à quatre pattes tandis qu'il vient se placer calmement face à mon ouverture. Je sens soudain sa langue venir caresser mon ouverture avec patience. La rencontre entre sa langue et ma chaude intimité provoque un orage dans mes neurones et vient balayer tel un cyclone mes angoisses. Puis sa langue rentre en moi intensifiant cette ouragan de sensation et sa salive lubrifie les premier centimètres de mon collons. Sa langue s'en va et je sens deux doigts rentrer en moi pour étirer et échauffer mon long tube de muscle. Il passe environ cinq minutes à jouer avec ses doigts avant d'en rajouter un autre pour passer à trois. Après la même durée d'exercice plus tard, un quatrième doigt vient me préparer à son braquemart. Lorsque qu'il les retire, sa pointe vient se placer contre ma rondelle, prêt à rentrer. Il n'a même pas besoin de forcer pour que son organe reproducteur rentre en moi. Comme lors de ma première fois, le bulbe érectile vient se bloquer quand il tente de rentré entièrement dans mon corps. D'un simple mais puissant coup de butoir, la grosse boule finit par rentré et se loger entre mes muqueuses. Son immensité est agréable et ne me tiraille même pas. Il se lance à faire des petits à-coups pour compenser son incapacité à faire des vas et vient. À chaque mouvement, ses testicules viennent toucher les miennes dans un petit entrechoc agréable. Je l'entends grogner son plaisir telle une bête en rut tandis que de petit gémissement de plaisir s'échappe et la mienne. Tout à coup, je sens tout son membre gonflé tandis qu'il accélère les à-coups dans mes intestins avant de donner un coup de butoir final dans un orgasme puissant dont je sens en moi chaque long jet inondé mes parois. Son éjaculation dure quelques minutes qui passent comme une éternité au paradis. Cependant, je constate que son gland est fourré dans ce qui semble un trou dans mes boyaux qui pourrait être l'entrée de ma matrice. Son souffle saccadé vient mourir en se jetant sur ma nuque. Je tourne un peu la tête pour le voir et je découvre un Latiota épuisée mais heureux, dont la chevelure est perlé de sueur. Il sort de mon corps dans un "plop" qui libère son bulbe érectile. Soudain j'entends un merci traverser le ballet des souffles. Cette voix est douce mais ferme et vient de derrière mon dos. Je l'embrasse fougueusement avec la fierté de l'avoir fait parler et soigner. Je pars immédiatement à l'assaut du membre encore dur et je le fais entrer de nouveau dans ma cavité buccale. Je lui pompe le sexe avec douceur sur dix bon centimètres tandis que de temps en temps sa pointe pénètre légèrement dans ma gorge. Son souffle reprend un rythme saccadé et son sexe expulse sa semence une seconde fois. La quantité est si importante que ma bouche finit par déborder. Je découvre avec les yeux un liquide similaire au miens à l'exception qu'il est bleu phosphorescent. Latiota retombe sur moi épuisé et s'endort. J'avale tout le liquide glacial d'une seul traite qui provoque mon éjaculation dons le sperme atterrit sur son dos. Je ferme moi-même les yeux tandis que peu de liquide sort de mon corps, le grand reste sortira plus tard dans la nuit.

Violet SpatialWhere stories live. Discover now