Chapitre 5 : Un nouveau jour

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Sa mains effleura ma peau avec douceur sans jamais aller plus bas que mon nombril. Sa mains semblait s'attarder assez souvent au niveau de mes inexistant pectoraux. J'osais enfin poser la question : 《 Dis-moi, comment ce fait -il que l'on parle la même langue ?

- Alors si je me souviens ça dates de bien avant la création de la Fédération. C'était une aventurière du nom de Louise qui appartenait à l'espèce des reptiliens. Celons la légende elle eut un fils nommé François qui serait devenu roi et qui a fait de la langue de sa mère la langue nationale.

- François Premier était un reptilien et les reptiliens existent ça c'est bien incroyable.

- Bon je vais te reposer ma question de tout à l'heure dans une langue que tu comprends. Comment t'appelles-tu jeune garçon ?

- Ryan et toi ?

- Nocteris et je ne suis pas médecin mais scientifique.

- Ton nom est mignon et me rappelle le nom de fleur que l'on...

- La belle de nuit, la pervenche et le tamaris, que l'on retrouve sur Terre. Mes parents ont étudié il y a longtemps la flore de chez toi et adorait ces trois fleurs.

- Je viens d'y penser, peut tu me détacher et me rendre mes affaires.

- Pas de soucis et tes affaires sont dans mon appartement où tu vas loger le temps que ta situation financière ce stabilise et surtout sois existante.》

Je ne relevai pas le fait que j'allais vivre à ses côtés et je sentis les entraves être retirer jusqu'à celle sur mon torse. Il enleva le bracelet avant de défaire la sangle qui passait sur mes tétons légèrement comprimées. Il me semble qu'il passe derrière moi pour desserrer l'appareil qui maintenait ma tête. Je m'assois sur la table médicale tandis qu'il passe dans mon angle mort. Je le sens qu'il s'assoit dans mon dos avant de m'enlacer. Ce n'est qu'à ce moment que je pu voir ses mains. Elles sont d'une couleur orange pâle et ressemble beaucoup au mienne au niveau de la forme. Étonnamment, une bonne odeur s'en dégage. Il me demanda de fermer les yeux et j'obéis. Quelque secondes s'écoulent avant que je puisse enfin voir. Je le vis assis face à moi, il ressemble beaucoup à un humain physiquement bien que sa peau devient jaune doux au fur et à mesure que l'on remonte ses bras. Ses cheveux sont fin comme des fils et léger comme du pollens tout en étant d'une couleur rouge pétant. Ses derniers lui tombent vers les épaules. Son sourire est bien plus lumineux que n'importe qu'elle source de lumière dans l'univers tant il déborde de bonne humeur. Ses yeux eux, ses yeux, ils sont comme deux saphirs auxquels on aurait incrusté un splendide brasier arborant les couleurs d'une gemmes de jade polie par le meilleur des orfèvres avec dans le centre de ces trésors vivant un trou noir changeant de taille celons la lumière. Nocteris porte sur lui un pantalon très fin de couleur gris claire avec en guise de veste une blouse blanche à manche courte avec aucun bouton fermé laissant voir son torse dénudé. Nous prenons la décision d'aller dans ses appartements pour me permettre de me reposer dans un environnement plus accueillant. N'aillent pas toute mes force, je passe mon bras droit derrière son épaule et nous sortons de la petite salle blanche. Celle-ci débouche sur un couloir avec des vitres à gauche permettant de voir des sortes de tubes avec à l'intérieur des corps endormis et dans un sale état. J'ose poser la question sur l'utilité de ses appareils. Mon porteur m'explique que ce sont des tube de cryogénie médico-régénératrice permettant de fermer en quelques jours des plaies grave ou de soigner certains cancers. La plus part des corps à l'intérieur serait des blessés lors de la bataille de Verkanya et vu leur couleur de peau ils viennent de mon ancien camps pour la majorité d'entre eux. Nous sortons de cette espèce d'hôpital et nous voici dans un couloir avec un vitrage donnant sur le magnifique vide spatial. Nous marchons une dizaine de mètres dans ce calme silencieux et chaleureux m'accueillant dans les bras du courant d'air du système d'oxygène. Cette courte marche nous permet d'aller dans un ascenseur et de monter cinq étages depuis le vingt-cinquième. Après encore trente mètres de couloir, nous arrivons enfin devant une porte métallique qui après la vérification d'identité grâce à un badge s'ouvrit en coulissant dans le mur de droite à gauche. Cela m'offrit une vue sur un grand salon avec vue sur l'espace avec un grand téléviseur et un canapé chic. Dans la grande pièce se trouve aussi une table qui étonnamment me rappelait quelques choses. Mais oui c'est la table à manger Mörbylånga de chez Ikea. Sous les quatre pied de cette incroyable trouvaille se trouve une plaque qui permet de la faire léviter, tout comme les chaises, qui elles ne sont pas terriennes vu leur niveau technologique. Mon hôte me guide jusqu'à une petite pièce aux murs gris sombre avec une lumière basse et feutrée lui donnant un air poussant à se déshabiller. Ce qui est tout à fait normal pour une salle de bain. Il me laissa seul. Je retirai la serviette qui me servait d'unique habit pour prendre une douche, une bonne douche. Je constate que cette agréable sensation m'avais manqué. J'enfile à la hâte les vêtements que ma laissé Nocteris sur l'évier pour le rejoindre dans la grande pièce. Je le vois me présenter un bon plat avec uniquement des légumes tandis qu'il se serre un grand bol de ce qui à l'odeur et à la couleur semble être du café bien corsé. Nous nous remplissons copieusement la bedaine sur la table venue de très loin. Ensuite nous allons nous installer le canapé et je remarque grâce à une subtil étiquette que lui aussi est de la marque suédoise. Nous regardons la télévision silencieusement car le journal présenté par une vielle dame parle de l'actualité sur notre base me permettant d'en savoir plus sur le lieu où je me trouve. Soudain elle parla des postes à promouvoir et l'un d'eux attira mon attention. Elle disait que le chercheur en sociologie Nocteris a besoin d'un "noyassane de type sci". Je me retourne vers le principal concerné qui me répond immédiatement : 《 Si ça te dis tu pourrais prendre ce poste.

- Ça consiste en quoi le travail de noyassane ?

- Ce nom tout comme chercheur est un caste de profession. Les noyassane sont des assistants classifiés par des abréviations. Les sci aide les chercheur tout comme les admis vont aider les administrations. En général, les sci notent les observations mais moi j'ai surtout besoin de quelqu'un pour participer à mes expériences.

- Et en quoi consistent tes expériences ?

- Elles permettent de remplir le registre de compatibilité sexuel interracial.

- En gros tu fais baiser entre eux plusieurs espèce et tu voix lequel vont le mieux ensemble.

- Tout en gardant un œil sur le bien-être et une très large panoplie de paramètres médicale. Ce registre peux te paraître stupide voir inutile mais il fait partie des trois demandes les plus importante au référendum annuel.

- C'est une étrange idée mais je comprends que deux espèces, d'un point de vue génital ne peuvent pas forcément coucher ensemble. En tout cas l'idée me plaît et comme tu m'héberges je ne peux qu'accepter.

- Merci beaucoup tu m'hottes une sacrée épine du pied.》

Étonnant j'ai à la fois très envie de commencer mon étrange travail mais d'un certain côté il m'effraie un peu car bien que j'ai déjà eu un rapport avec un alien, le fait d'être loin de la Terre va peut-être me bloquer un peu. Nous regardons la télévision un petit moment avant d'aller nous coucher bien que pour mon cas je suis éveillée depuis deux heures seulement. Sa chambre est une pièce moyenne de vingt mètres carrés avec un placard et un lit. Ce dernier est un lit non Ikea mais il a quand même l'air confortable. Nous nous couchons l'un contre l'autre sans faire de chichi. Comme le sommeil ne nous gagne pas, il décide de me préparer psychologiquement à mon emploi qui commence demain. Nous nous déshabillons face à face. Mon regard ce bloque sur ses parties qui sont deux belle jumelles bleu dépassant légèrement d'une large fente où devrait se trouver un pénis. Ses deux glands m'hypnotise et mon voyeurisme ne semble pas passer inaperçu et lui arrache un rire amical quand il voit que ma tête vient de rougir. Nous nous installons de nouveau sous la couverture mais cette fois ci nous ne sommes pas dos à dos mais torse contre torse. Je constate que notre intimité se touche et cela nous provoque un long fou rire. Nous nous faisons un bisou sur la joue avant de fermer nos yeux dans une posture très intime et très réconfortante.

Violet SpatialWo Geschichten leben. Entdecke jetzt