Un Regard - Tome 2 - Kylian Mbappé

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Après notre round 2 nous voilà à nouveau affaler dans les bras l'un de l'autre, il me caresse le ventre, je souris, c'était vraiment une soirée magique.

Kylian : J'espère que c'est pas une fille dans ton bidou.
Moi (sourit) : Tu veux un garçon ? J'espère que c'est pas juste pour le foot.
Kylian : Non, même si c'est une fille elle sera loger à l'enseigne du foot, c'est juste que si elle tient de sa maman, je vais suer beaucoup par rapport aux mecs, si elle joue de ses charmes autant que toi je vais avoir à faire peur à beaucoup de gars.
Moi : Alors j'espère pour toi, qu'elle n'aimera pas le sexe comme moi.
Kylian : Va falloir que je surveille toute ses fréquentations.
Moi (rigole) : On sait même pas le sexe et le bébé n'est pas naît chéri, et puis vive le cul, c'est trop bon pour s'en priver.
Kylian : Ouais je suis d'accord, vive le cul mais pas avec ma fille, je croise les doigts pour qu'elle n'aime pas le sexe.
Moi (rigole) : T'es un mec et en tant que mec tu sais combien le sexe c'est important et qu'il faut que ta copine aime ça, alors imagine son chéri, imagine si j'avais été d'une froideur à ce que tu me touche qu'une fois par mois.
Kylian : C'est pas mon problème, pas de sexe tant qu'elle sera sous notre toit.
Moi : Et si notre fille me ressemble ? Imaginons toi en tant que papa, ta fille avec son copain elle ce comporte comme moi avec toi en intimité, tu te dit quoi ?
Kylian : Je me dit que je l'ai pas bien éduquer.
Moi : Donc t'es entrain de dire que j'ai été mal éduquée ?
Kylian : Oula, on part sur un terrain glissant.
Moi : Pas du tout répond juste.
Kylian : Non tu n'as pas été mal éduquée, t'es pas ma fille.
Moi (rigole) : Merci pour cet précision, c'est bien de préciser qu'après des centaines de coucheries et un bébé dans le ventre que tu n'es pas mon père.
Kylian : Tu m'as compris, je m'en fous des autres moi, mais ma fille je refuse, toute façon aucun mec ne s'en approchera.
Moi (sourit) : En tant que fiancé protecteur je doute pas un seul instant que tu sera un papa protecteur, l'inverse m'aurais même étonnée mais si tu veux des petits enfants faudra bien qu'elle ait un chéri ou même une chérie.
Kylian : Putain j'ai pas pensée au meuf, alors je dois aussi faire peur aux filles et me méfiez d'elles ?
Moi (rigole) : Prend pas de risque, enferme là dans la cave pour qu'elle ait contacte avec personne.

Il me donne une pichenette à l'oreille, je me plains en mettant ma main à mon oreille, je lui donne un coup au torse.

Moi : Ça fait mal connard.
Kylian (sourit) : C'était la tout le but de ce que je viens de faire.

Je lui fais un doigt d'honneur, je vais lui rendre sa pichenette il va moins rigoler.

Kylian : Enfonce le dans ta chatte.
Moi : Je vais l'enfoncer dans un autre trou et ce sera pas ma chatte, tu risque de le sentir passer au niveau de ton anus mon coco.
Kylian (rigole) : Ouais dans tes rêves, bref t'a fait quoi cet après-midi ?
Moi : J'ai picoler au bar évidemment sans alcool mais ça te fait des ajouts à payer sur la réservation, je me suis venger parce que tu m'as laisser toute seule, j'ai pris les cocktails les plus chères.
Kylian (rigole) : WoW quel vengeance atroce, je vais en cauchemarder cet nuit tellement ça me déchire le cœur ta cruauté. Et donc ta fait que picoler comme une grosse pochetrone ?
Moi : J'ai noyer mon chagrin à ma façon, j'ai du m'adapter à ma santé.

On rigole comme deux débiles, je décide de lui raconter ma petite rencontre de cet après-midi, je lui raconte dans les moindres détails et sans rien oublier, il finit par éclater de rire de la situation.

Kylian (rigole) : Il a raison t'es pas auteure pour rien toi, quel imagination débordante.
Moi : Plus c'est gros, plus ça passe.
Kylian : Ouais fin la t'as abuser, je suis un mafieux dangereux qui a tué parce qu'on s'est trop approcher de toi, au contraire un mec s'approche de près de toi, je te laisse volontiers, ça me fera des vacances de pas t'entendre.
Moi : Tu va dormir par terre si tu continue.
Kylian : C'est quand même moi qui a payer, j'exige au moins avoir le confort.
Moi : Tu me bassine Kylian, je vais me réserver une autre chambre si tu continue.
Kylian : Avec quel argent ?
Moi : T'en a pas marre de te la péter avec ton pognon ?
Kylian : Rooh trésor ça va je rigole, je me la pète pas.
Moi : Si quand même, on s'en branle de ton fric, je vais te le faire bouffer. C'est pas en ramenant ton fric toute les 20 secondes que nos gosses vont avoir la conception de l'argent.
Kylian : Ok ça va, je ferme ma gueule.

Je lui sourit en acquiesçant, on s'enlace, je ferme les yeux.

Je suis réveillée par la sonnerie de mon portable, Kylian ronchonne, je prend mon téléphone, je vois que c'est mon éditeur, je me racle la gorge et décroche.

Éditeur : Bonjour Loréann.
Moi : Bonjour, comment tu va ?
Éditeur : Très bien, je t'appelle pour t'annoncer une très bonne nouvelle.
Moi (sourit) : Ah, du genre ?
Éditeur : Les milles exemplaires ont tous été vendu, ont a reçus beaucoup de demande donc on est entrain de produire d'autre exemplaire d'ici quelques jours, d'autres ouvrages seront en vente.

Je me met à crier, je suis trop contente, je me tourne vers Kylian en le secouant, il ronchonne en posant sa main sur mon visage pour le pousser, je continue mon appel dans la salle de bain pour laisser Kylian continuer son sommeil.

Je retourne dans la chambre après avoir raccrocher, je lui saute dessus.

Kylian : Putain laisse moi dormir.
Moi : J'ai vendu tout les exemplaires du livre, ils sont entrain d'en rééditer pour les commercialisés à nouveau.
Kylian : Sérieux ?

Il me sert fort contre lui en m'embrassant, je pose ma tête contre son pectoraux, il me caresse la joue.

Kylian : Je suis fier de toi trésor.
Moi (sourit) : Tout ça c'est grâce à toi.

Je me sers contre lui, on ce souris tendrement.