Un Regard - Tome 2 - Kylian Mbappé

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Nous sortons du jacuzzi, on enfile nos peignoirs.

Moi : On fait quoi maintenant ?
Kylian : Je sais pas comme tu veux, moi j'ai quelque chose à faire, tu as cas aller à la piscine.
Moi : Comment ça ? On est là pour profiter tout les deux, tu va pas me lâcher.
Kylian : Je te lâche pas, j'ai quelque chose à faire, va à la piscine profiter et te détendre seule.
Moi : Tu va faire quoi ?
Kylian (rigole) : Arrête de vouloir tout savoir, va à la piscine.

Il m'embrasse et part, non mais il est sérieux ? J'ai même pas la carte pour entrée dans notre chambre, il est partis avec, il me laisse en plan comme ça alors qu'on été censé profiter tout les deux, je vais allez au bar, boire un petit verre, je mettrais ça sur la facture du séjour, il a décider de me lâcher alors franchement je m'en fous qu'il paye plus chère, t'façon il a de l'argent, la prochaine fois il me laissera pas toute seule.

Je me dirige vers le bar, je commande un cocktail sans alcool évidemment, l'abus d'alcool est dangereux pour la santé et encore plus pour les femmes enceinte, je regarde un peu dans la salle, j'observe les gens, des amoureux qui sont très tactile et joyeux, ça s'embrasse, je trouve ça hyper mignon, je m'imagine direct avec mon chéri et c'est de suite encore plus mignon que ce couple.

... : Vous êtes seule ?

Je regarde qui me parle c'est un homme avec un accent, il me sourit, je lui rend son sourire.

Moi : Oui, mon mari m'as abandonner.
... : Il a pas peur de ce la faire voler ?
Moi : Il a surtout aucune crainte à avoir.
... : Je m'appelle Luis, enchanté.
Moi : Bonjour.
Luis : Tu t'appelle comment ?
Moi : Loréann, t'es espagnol ?
Luis (sourit) : Oui, toi aussi ?
Moi : Non pas du tout, je suis française.
Luis : T'es marié depuis longtemps ?
Moi : Des années.
Luis : Tu fais quoi comme boulot ?
Moi : Je suis en congé maternité, mais mon mari est un très grand homme d'affaire, je suis son assistance, on s'est rencontrer au boulot, il adore faire de la boxe pendant son temps libre c'est sa passion.

Je souris rien qu'a tout les bobards que je balance, c'est pour lui faire peur c'est vrai puis comme il a pas l'air de me connaître c'est cool.

Luis : J'adore la boxe, c'est ma passion aussi, je pourrais le rencontrer ?
Moi : Comme je te l'ai dit, c'est un très grand homme d'affaire énormément convoité, il a peu de temps à consacrer pour les gens extérieur à sa vie privée, c'est assez complexe de s'en approcher.
Luis : Il travaille dans quel domaine ?
Moi : J'ai pas le droit de dire c'est confidentiel parce que c'est pas vraiment légal.
Luis (rigole) : T'es la femme d'un mafieux ou quoi ?
Moi : À vrai dire oui c'est exactement ça, j'éviterais de venir me parler, il est très jaloux et il ne supporte pas qu'on m'approche, il a déjà tuer parce qu'un mec m'as approcher de trop près.
Luis : Et t'as pas peur qu'il ce fasse tuer un jour ?
Moi : Non aucun risque, il est respecté de tout le monde et c'est certainement impossible à croire mais il a pas d'histoire avec qui que ce soit, il est réglo avec tout le monde.
Luis : Effectivement c'est incroyable, bon je vais te laisser, c'était un plaisir de te rencontrer.
Moi : Au revoir.

Il ce lève, commande un verre, je le sent me regarder, il sourit alors je le regarde.

Luis : Tu pourra dire à ton copain que je suis fan de lui, c'est mon idole avec Neymar.

J'éclate de rire, ok en faite il savait très bien qui j'étais.

Moi (sourit) : Aucun soucis je ferrais passer le message.
Luis (sourit) : Ceci dit c'était bien sympathique ta petite histoire, je comprend pourquoi tu es auteure, beaucoup d'imagination dans ce cerveau.
Moi : C'était crédible ou pas ?
Luis : Ça aurait pu l'être si t'avais pas autant abusée vers la fin.
Moi : Ok, je prend note alors pour les prochains mec qui veulent me draguer.
Luis : Je te draguer pas, j'aime les hommes.
Moi : Tant mieux même si c'est double honte pour moi, ça reste entre nous promis ?
Luis (rigole) : Je sais pas franchement, après le gros mensonge si tu veux que je me taise, ça mérite un cadeau contre mon silence, surtout que c'est pas tout les jours qu'on a une histoire aussi folle à raconter.
Moi (sourit) : Ça va j'ai compris, je te les ferait rencontrer au club, donne ton insta pour que je puisse te contacter.

Il sourit, demande un crayon, le barman lui en donne un, il écrit son insta sur sa serviette et me le donne, je le prend et le range dans la poche de mon peignoir, il me lance un « merci », prend son verre puis quitte le bar, je souris à ce qui vient de ce passer, c'est beaucoup trop drôle comme situation même si je me suis afficher sévèrement.