nda - hello ! publier m'apparaît plus important que réviser - hum hum le bac blanc qui commence demain - donc voici un petit texte soukoku, parce que ça faisait longtemps et que c'est la commande deautaru owo désolée pour l'attente, j'espère que ça te plaira ! :)
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ÉVIDENCES
« Où est... cet abruti de suicidaire ? »
Le cri de Chuuya s'accompagna d'un grand bruit de fracas lorsque sa chaussure cirée entra en contact avec la porte de l'Agence des Détectives Armés et l'ouvrit de façon peu conventionnelle. Pour autant, aucun des détectives présents à l'intérieur ne releva les yeux de son travail immédiatement, chacun terminant sa phrase ou son activité avant d'accorder son attention au mafieux qui venait d'entrer.
« Monsieur Chuuya, bonjour ! le salua Atsushi en esquissant une petite courbette, imité rapidement par Kyôka.
- Dazai est parti se jeter du cinquième étage du bâtiment derrière nos locaux, l'informa ensuite Kunikida en réajustant ses lunettes.
- Et les prix pour la porte d'entrée ont encore augmenté. » ajouta Ranpo en souriant d'un air innocent.
Chuuya soupira avant de hocher la tête. Il allait devoir se retenir de défoncer cette porte à coups de pied, car les prix ne cessaient de monter, le fabriquant étant exaspéré par la demande incessante de l'Agence. Enfin, si l'autre idiot arrêtait un peu de l'emmerder, il n'aurait pas besoin de se rendre chez ses ennemis tous les quatre matins pour l'engueuler.
« Alors, c'est pour quoi cette fois ? » s'enquit Yosano en sortant de son bureau, alertée par le bruit familier. C'était presque devenu une habitude pour eux de le voir débarquer, songea le mafieux aux cheveux roux. Bientôt, il aurait une table juste pour lui.
« La dernière fois, c'était la moto repeinte en bleu, la fois d'avant, il avait rempli trois bouteilles de vin d'eau salée avant de vous les offrir, énuméra Ranpo. A-t-il mis la barre plus haut aujourd'hui ?
- Oui ! » fulmina le rouquin en tentant de reprendre son calme. Il ne voulait pas hurler, si l'autre abruti de suicidaire revenait de sa tentative ratée et qu'il l'entendait de loin, il aurait tout le temps de fuir avant qu'il ne puisse l'étriper.
« Je suis presque curieuse. » avoua le médecin de l'Agence.
Alors que le capitaine de la mafia portuaire essayait de calmer ses nerfs, la porte s'ouvrit sur le coupable, qui, insensible à tous les regards qui convergèrent vers lui dès qu'il entra, continuait une litanie qu'il devait avoir commencé en redescendant de son fichu bâtiment.
