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nda - je dédie ce one-shot à la ligue anti-angst soukoku, n'hésitez pas à la rejoindre et à en parler autour de vous, de toute façon leurs campagnes de pub sont si efficaces que leurs slogans vont se planter dans vos cœurs, ou plutôt dans vos dos ;)) enfin, _S00MIN_ , je ne sais pas si tu veux rejoindre cette ligue, mais voici, comme demandé, un texte rempli de fluff sur eux deux !
j'espère que tu apprécieras !
(désolée si c'est cringe, j'ai toujours eu du mal à faire du fluff pas trop cliché ,,)

Encore merci à tous ceux qui votent et commentent, je ne fais pas de remerciements détaillés comme sur 01643 mais le cœur y est aussi 💕💕

je cherche désespérément la personne ayant réalisé ce superbe gif, si vous la connaissez, donnez moi son nom s'il vous plaît ;; Texte basé sur le headcanon "Les bandages de Dazai cachent les cicatrices des blessures infligées par Mori pour le form...

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je cherche désespérément la personne ayant réalisé ce superbe gif, si vous la connaissez, donnez moi son nom s'il vous plaît ;; 
Texte basé sur le headcanon "Les bandages de Dazai cachent les cicatrices des blessures infligées par Mori pour le former"
(et non c'est pas du angst promis)

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« Aïe ! »

Dazai retira vivement son bras, manquant au passage de cogner le nez de Chuuya qui se décala brutalement. Dans son mouvement brusque, il renversa la bouteille de désinfectant posée en équilibre sur la table à leurs côtés, jura, et utilisa son pouvoir pour l'empêcher de se briser sur le carrelage de sa salle de bain.

« Arrête de faire l'enfant ! râla-t-il.

– Tu m'as fait mal ! répliqua son partenaire.

– C'est du désinfectant, c'est normal ! » Le brun afficha une moue boudeuse et Chuuya soupira. « Tu devrais avoir l'habitude.

– On s'habitue pas à cette douleur atroce ! »

Le rouquin roula des yeux en maudissant intérieurement son partenaire. Cela faisait plus d'un an qu'il s'occupait de ses blessures, pourtant le jeune prodige de la mafia se comportait toujours comme un enfant de trois ans lorsqu'il tentait de désinfecter ses coupures.

« Tu me laisses terminer ou je te laisse mourir d'une infection ? Déclara-t-il d'un ton toujours égal.

– L'option mourir me tente bien, mais je veux mourir sans souffrir alors je suppose que je vais essayer de survivre à la douleur procurée par... Aïe ! » Avant même qu'il ait terminé sa phrase, Chuuya avait saisi son poignet et recommencé à le couvrir de désinfectant. Il attrapa ensuite un rouleau de bandages et le tendit à son partenaire.

« Je te laisse t'en occuper pendant que je fais le dos ?

– Tu n'as pas fini ? » protesta le mafieux brun.

– Tu demanderas au parrain de se restreindre la prochaine fois ! »

Le rouquin regretta immédiatement ses paroles, prononcée sous le coup de l'agacement. Son camarade ne dit cependant rien, et se contenta d'enrouler silencieusement le bandage autour de son poignet droit. En se giflant mentalement, Chuuya s'assit derrière son partenaire et commença à désinfecter les nombreuses coupures qui couraient sur son dos.

Au fil du pinceau | ʙᴜɴɢô sᴛʀᴀʏ ᴅᴏɢsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant