Chapitre 3: Lettre...

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Fred et moi venions de rentrer dans la cuisine. On avait prévus d'annoncer nos fiançailles ce soir.
Les Wesley au grand complet (même Ron) y était. Ce dernier ne semblait guerre ravis de manger en ma compagnie de moi ou celle de son frère mais on n'y fit pas attention. Je m'assis entre Fred et Ginny.
Le repas se passa s'en encombre à part les regards meurtriers de Ron que je m'efforçais d'ignorer et que Fred lui rendais bien. Une fois les parts de gâteau distribuer Fred se leva et déclara:

- S'il vous plaît ! Il y a une semaine nous vous avons annoncer notre amour. Et ce soir ! Nous vous annonçons. Nos fiançailles. Et non vous avez beau croire que c'est précipité, sa ne l'ai pas. Quatre années à s'aimer. Malgré nos haut et nos bas nous avons passé la tempête et nous sommes plus unis que jamais. Nous nous aimons énormément et rien ni personnes. Je dis bien personnes ! (Dit il en regardant Ron) Ne pourras se dresser entre nous.

Ron partit tellement vide et brusquement qu'il fit tomber sa chaise mais il ne daigna pas la ramasser. Une fois arrivé dans e que je pensais être sa chambre il claqua la porte.

- Félicitation ma chérie. Dit ma mère en me prenant dans ses bras. Mais attention pas de mioche maintenant vous êtes trop jeunes. Me chuchote-t-Elle.

- Maman !... m'exclamais je attirant l'attention de mon fiancer.

Il comprit et sourit. Je me séparais de ma mère en lui chuchotant un t'inquiète pas.

Nous continuâmes de manger puis un hibou arriva. Un hibou qu'on ne connaissais pas. Il fit tomber une enveloppe dans mon assiette où il restait quelque miettes de gâteau. Il y avait écris « Hermione... »

- C'est quoi cette lettre ? Me demande Fred.

- Je sais pas... répondis je.

«  Hermione Granger... ou devrais je dire Hermione Everdeen... je pense que tu sais rien. T'es parents nous avaient bien dit qu'ils ne pourraient t'annoncer ça. Qu'ils diront qu'ils étaient tes parents biologique. Mais ce n'est pas le cas. Tu t'appelle Hermione Everdeen. Nous t'avons abandonnée car les conditions de vie ici sont très dure. Mais nous t'aimons énormément sa ne l'oublies pas. Je pense aussi qu'il est important de t'annoncer que tu as une jumelle. Oui tu te demande sûrement pourquoi t'avoir abandonner toi et pas elle. Et bien nous devions faire un choix. Très dure. Je ne peux tout t'expliquer en lettre. Sache juste que nous habitons aux États Unis. Et que nous t'aimons.
T'as famille. Prime-Rome, Catniss, Charlotte Everdeen... »

Je pleurais. Je posais délicatement la lettre sans effacer mes larmes. Je lançais un regard noir à mes parents.

- Pourquoi ? Demandais je d'une petite voix tremblante qui se voulait forte.

Ils pâlirent d'un coup en comprenant de quoi je parlais.

- Mione. Il faut que tu comprenne...

-... Que je comprenne quoi !? Que vous êtes une bande de lâche qui n'ose pas dire à leur fille qu'elle a été adoptée !?

Je laissai plané un blanc ou tout le monde avait cesser de manger pour nous regarder en mode «  c'est vrai ? »

- Non pardon c'est vrai !? Je ne suis pas votre fille !?

- Mione !...

-... NE M'APPELER PAS COMME ÇA ! Hurlais je.

- Hermione... repris ma mère. Nous avions peur qu'en te l'annoncent tu parte les retrouver. Comprend nous. On ne voulais pas perdre notre fille.

- Si vous me l'aviez dit j'aurais toujours été votre fille. Mais maintenant ! Je ne sais même plus à qui je peux faire confiance !

- Mione... retenta mon père.

Je dégainais ma baguette et la pointais vers lui en lui disant que si il m'appelait comme ça encore une fois je le tuais.

- Ma chérie calme toi ! Dit ma mère paniquer.

Je pointais ma baguette vers elle.

- Ni l'un ni l'autre ne peux m'appeler par des prénoms affectif comme avant.

Une main se posa sur la mienne. Et abaissa ma baguette. Fred me murmura dans l'oreille:

- Tu ne voudrais pas leur faire de mal...

Je posais violemment ma baguette sur la table. Me séparais de l'étreinte de mon fiancé et me dirigeais vers la porte.

- Mon cœur !? Tu vas où !? Me crie Fred inquiet.

- Prendre l'air. Et personne ne me suit c'est clair ? Personnes.

Je courais jusqu'à dans la forêt. Le vent froid me fouettais le visage. J'avais la respiration haletante, des glaires dans la gorges etc... j'avais froid. Et pourtant je continuais de courir dans l'hiver glaciale. Au bout de trente minute non stop mes jambes se dérobèrent sous moi et je m'écroulais par terre. Je ne savais pas ce qu'il m'arrivais. Je commençais à avoir mal à la tête puis je ne sentais plus mes mains etc... finalement je fini par fermer les yeux et « m'endormir » oui entre huiler puisque je pense plutôt avoir perdu connaissance à cause du froid.

PDV Fred:

Une heure. Une heure que ma fiancée était partit. Elle ne sortais jamais autant de temps sans nous donné de nouvelles. Et sans nous dire où elle allait.

Je commençais sérieusement à m'inquiéter. George essayait de me rassurer en me disant qu'Hermione savait ce débrouiller et que c'était la misse je sais tout. Mais j'étais bien trop têtu. Ok je le suis tout le temps. Mais bon. Il fallait que je vote par moi même si elle allait bien.

- Il faut la retrouver. Dis je.

- Tu as raison. Dit Ginny et George en même temps.

Les autres hochèrent seulement la tête. Nous nous séparâmes dans la forêt. Nous crions son nom mais zéro réponse. Nous avions convenu que le premier ou la première qui la retrouvais devait envoyer des signaux rouge avec sa baguette. Plus le temps passait plus je m'inquiétais. C'était très mauvais signe. Même fâcher elle se montrerait et nous enverrais pètre. Seulement seul le silence répond à nos appelles désespérés. Finalement des signaux rouge dans le ciel m'alertèrent. Je couru jusqu'à l'endroit indiquer. Et je vis ma mère penchée au dessus d'Hermione.

- Elle est gelé. M'annonce t'elle.

Je me met à leur hauteur et prend la main d'Hermione. Avec le froid qu'il faisait et sa peau glacé il ne faisait aucun doute qu'elle était en hypothermie.  J'enlevais ma cape et enroulais ma belle a l'intérieur. Entre temps tous les autres étaient arrivé.

- Il faut l'amener au chaud. Dis je.

Cependant je n'attend aucune réponse et transplane. Une fois au terrier j'allonge Hermione dans le canapé, et la recouvre avec toutes les couvertures que je trouve et allume la cheminée.

- Bas dis donc frérot ! T'es sur que t'as mis assez de couche sur Hermione ? Demande mon double un petit sourire au coin des lèvres.

Je lui lance un regard noir et il comprend que l'heure n'est pas à la plaisanterie.

- T'inquiète Feddie. Elle va s'en sortir. Se rattrape t'il.

Je hoche la tête pas convaincu. Les autres me laisse et après avoir regarder pendant un petit moment ma lionne préférée dormir je me glisse sous les nombreuses couettes que j'avais poser sur elle la prend dans mes bras, repositionne les couettes et m'endors.

Hermione EverdeenDonde viven las historias. Descúbrelo ahora