Chapitre-88 : Tu souffres, moi aussi !

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Mais je m'arrête devant le sur qui j'ai tiré, je me rends compte qu'il fait partit de notre équipe.

Voix : Me laisse pas, s'il te plaît, montres que tu es mieux que moi !

Il est allongé sur le ventre donc je le retourne et lui enlève sa cagoule et son casque et je découvre...

Alizée : Malik !

Malik : Tu ne voulais pas m'écouter donc je devais bien te protéger mais à ce que je vois tu n'as pas besoin de moi.

Alizée : Non, je n'ai besoin de personne et profites parce que c'est la dernière fois que tu me protégeras comme tu le dis.

Je lui parle tout en le relevant.

Alizée : Elle est où ?

Malik : Dans le genou

On a encore cette connexion qui fait qu'on a pas besoin de parler pour ce comprendre.

Malik : Tu m'as pas loupé mais tu ne m'as pas tué

Alizée : C'est dommage 

Malik : Pourquoi ?

Alizée : Comme ça tu fermerai enfin ta gueule !

Je suis méchante avec lui, je le sais mais si je suis comme ça avec lui c'est qu'au fond de moi je suis blessée, moi aussi je souffre mais pas de la même manière que lui.

Alizée : Aller, t'es prêt à 3 on se lève, 1, 2, 3.

J'arrive à le mettre debout mais apparemment pas sens douleur. 

Malik : Ah putain !

Alizée : Tu comprends ce que c'est la douleur et, bah, moi j'ai ça mais à l'intérieur de moi à cause de toi !

Malik : J'ai mal putain !

Alizée : Et tu crois que moi j'ai quoi ?!

Malik : Mais toi ça n'a rien à voir ! Toi tu t'en fous c'est pas grave !

Alizée : C'est pas grave ! T'es qu'un connard et tu sais quoi, tu mérites ta balle même tu devrais en avoir une deuxième !!!

Au moment où c'est mots sortent de ma bouche, une balle viens se loger dans son deuxième genou. Je le lâche,il s'écroule part terre puis je me retourne, je découvre enfin ce connard de chef de la mafia Brésilienne.

Alizée : Alors on a perdu ses cojones, on tire dans le dos maintenant.

Voix : Señor !

Le chef se retourne, c'est le bon moment, il veut se la jouer coup bas alors on va jouer pareil, je le tue d'une balle centrée dans le dos. Quand je me retourne et regarde Malik part terre qui baigne dans son sang qui se mélange avec ce lui du chef adverse. Je lève la tête et découvre tout les mafieux colombiens et japonais sont là. 

Alizée : Emmenez-le à l'avion et on décolle !

Mafieux : Si !

Ils le portent et on monte dans l'avion, les infirmières avaient pris en charge Raphaël et elles prennent directement Malik en urgence parce qu'il est en train de se vider de son sang et qui dit pu de sang dit mort assurée.

Alizée : Direction Paris !

Je m'endors très vite, il doit être 5h du matin à Paname. Je me réveil une heure et demie plus tard, je me change et vais voir les infirmières.

Alizée : Alors ?

Infirmière : Le deuxième est sauvé et l'autre il va bien.

Alizée : Ok

Infirmière : Ils sont réveillés, si vous voulez aller les voir.

J'hoche la tête en signe d'accord et je me dirige vers l'espèce d'hôpital qui n'en est pas un et je découvre Malik effectivement réveiller ainsi que Raphaël.

Alizée : Ecoutez les gars, c'est fini...

Qu'est-ce qu'est finit ? Tu me fais peur Alizée...      

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