Chapitre 8 - Des débuts éprouvants

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[HEY ! Ceci est la version pré-définitive du texte ! On change pas mal de choses, pour le meilleur et pas pour le pire. Cependant, tout n'a pas été corrigé à 100%, il risque donc d'y avoir encore quelques fautes d'orthographes, de frappe... Merci d'en tenir compte ! Par ailleurs, si vous souhaitez signaler une erreur, vous pouvez le faire en commentaire en citant le paragraphe en question, suivi d'un avis sur l'histoire (pas obligatoire :p). Encore merci, et bonne lecture !]

L'ordalie. Une terre et un édifice vétuste, mais pas abandonné. De toutes les directions, hommes et femmes s'installe, et s'emploi d'arrache-pied à faire de ses terres un lieu luxuriant. Cela n'aurait pu être envisageable si personne ne s'était porté volontaire pour reprendre ce flambeau rouillé, mais aussi sacré.

Cette personne aujourd'hui séjourne dans un espace bien à elle : bien que sa chambre ne soit pas encore prête, le bureau est déjà utilisable. L'inquisitrice s'était donc assise sur sa chaise pour la première fois, avec l'idée rapporter à l'encre ce qui avait été fait, ce qui était en cours, et ce qu'il devra être fait.

''6 décembre de l'année 455 ;

Ces quatre derniers jours ont été plutôt difficile, mais je peux enfin en voir leurs premier bienfaits ; Premièrement, j'ai... Nous avons enfin réussi à convaincre mon père de nous fournir les fonds nécessaire à l'installation, des gardes volontaires, provisions et surtout des travailleurs. Après un appel d'offre strict, nous avons délogé les familles de réfugier les plus honorables pour leurs accorder à chacun un petit patelin de terre. Tous auront le soutient de leurs proches pour bâtir leurs propres fermes et ils pourront même embaucher leurs propres paysans. Seule condition ; les récoltes retourneront exclusivement à la forêt d'Austrélia et y nourrir les habitants. Evidement, personne n'a refusé cette offre en or, ils parlent même de travailler la terre tout cet hiver pour être sûr de pouvoir fournir quelque chose à l'arrivé des belles saisons.

En ce qui concerne l'Ordalie même, les ouvriers était déjà présent le jour suivant mon arrivée : Le paladin Brall Roqueciel les avaient déjà payés deux jours à l'avance, à croire qu'il avait la certitude de pouvoir me convaincre... leurs travaux est effectivement fantastique, car... bien que ce vieux manoir n'ai toujours pas bonne mine, il est sûr qu'il ne s'effondrera point. Toutes les poutres ont été passées aux cribles, et les tuiles défectueuses sont changées une par une, du mortier est remis un peu partout, les pierres craquelé consolidées, les portes craquantes ont étés remplacés... que dire de plus ? Tout est en merveilleuse voix. Même ma chambre, la pièce la moins importante, risque d'être splendide, meilleur que chez moi. Quand à ce bureau, il possède tout le charme et le cachet suffisant à me gonfler le moral à chaque fois que je trébuche sur quelques lignes.

Rénover entièrement l'institut n'est plus qu'une question de semaines. Tout ce qu'il me manque, c'est une équipe de chercheur. Brall est justement sortie en ballade se matin même quérir notre premier mage. Il ne m'a pas donné de détails sur lui, si ce n'est son jeune âge pour cette profession. J'estime qu'il devrait approcher la trentaine, mais ce ne sont que des suppositions.

Pour l'heure, je n'ai pas touchés aux travaux présents, car tout simplement absent. Le paladin m'a dit sur ce sujet, que les documents avaient été récupérés par les mages à leurs démissions, il espère en récupérer une partie en même temps que ce mage.

Pour autant, j'ai tout de même appris que certains résidents étaient sous l'effet de sédatifs, expliquant leurs comportements aussi dociles, ainsi une bonne moitié d'entre eux seulement sont capable d'accomplir des tâches simples. Ma première résolution donc à été d'envoyer ceux volontaire s'appliquer au ménage des pièces, et pas mal ont répondu à l'appel. Bien qu'il soit en permanence surveillé, ils sont heureux de se rendre utile, c'est un fait. Moi-même, j'ai maintenant honte d'avoir pensé ne serait-ce une seconde qu'ils n'étaient plus digne de porter ce titre fondamental qu'est ''l'humanité''.

Bloody Reaper [Tome 1] - Un monde sans hérosWhere stories live. Discover now