Chapitre 22

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1280 mots - Flicker par Niall Horan (alias la chanson que j'écoute quand je suis déprimé et quand j'arrive pas à dormir, l'album de Niall est un bon moyen pour s'endormir :') )

Chapitre en avance comme je suis malade que je m'ennui et que j'attends vos réactions donc voilà ❤️ PS: bientôt les 3K omgg❤️

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J'écris rapidement mais de ma plus belle écriture cette idée qui met soudain venu à l'esprit. Comme d'habitude j'ai trouvé une nouvelle idée pour le roman que j'écris mais évidement il a fallu que je la trouve au mauvais moment. Nous sommes en pleine marche en quête d'aventure avec Edward et ses cousins. A cause de moi nous avons du faire une rapide pause pour que je puisse écrire rapidement dans mon petit carnet. Je trimbale partout un carnet, où que j'aille. Je relève la tête et me relève rapidement de mon rocher. Les trois garçons se chamaillent gentiment et je souris. Mes premières vacances avec ses idiots et c'est vraiment parfait. Je trottine pour les rejoindre et nous reprenons notre route. Finalement nous finissons par nous arrêter au bord d'une falaise pour regarder le paysage californien. C'est absolument magnifique. Je ne me lasserais jamais de regarder se paysage. Le soleil brille et m'éblouie. Je regarde le paysage avec un sourire au lèvre. Je suis serein. Je me sens flotter, je suis si bien. Ça fait longtemps que je n'avais pas ressenti ce sentiment de bien-être. Le soleil se couche pour laisser place à la lune et aux étoiles. Je préfère largement la nuit même si j'ai peur du noir. C'est assez honteux d'ailleurs comme peur pour mon âge. Je regarde pendant ce qui me semble des heures le soleil s'échapper et la nuit tomber. Je m'assois au bord de la falaise et prend une profonde inspiration. Un brin d'air chaud vient fouetter mon visage et désordonne mes cheveux. Le spectacle nocturne que m'offre la nature est juste sublime.

Je ferme quelques secondes les yeux, profitant de cet instant paisible. Soudain je sens quelque chose me pousser. Etant tout près du bord de la falaise, les pieds dans le vide, je glisse en avant. Je pousse un cris strident et me raccroche à une pierre. Je cris à l'aide mais personne ne vient. Où sont les garçons ? Je continue de hurler, mes bras me font mal à force de tenir comme ça. Mon corps est trop lourd pour mes bras faiblement musclé. Je pousse un cris plaintif et fait tout mon possible pour ne pas regarder en bas. Il ne faut pas que je panique. Je deviens tout de suite joyeux lorsque je vois Edward s'approcher. Pourquoi s'approche-t-il aussi lentement ? Je ne vais pas tarder à lâcher. Je cris à Edward de se dépêcher et il me sourit diaboliquement. Une deuxième personne apparait derrière Edward, Charlyne. Mais qu'est-ce que c'est fille vient faire là ? Elle se tient comme une sangsue à Edward qui me regarde toujours aussi méchamment. Je suis putain de perdu. Edward finit par se poser juste devant moi, à quelques millimètres de mes mains. Je prend le risque de lâcher une de main mains et la tend à Edward. Mais celui-ci fait quelque chose de surprenant. Il écrase ma main de son pied sous les encouragement de sa copine. Je m'agrippe à deux mains mais Edward continues de me marcher dessus. Finalement je finis par lâcher. Je pousse un cris strident et tombe dans un trou noir.

J'ai l'impression de tomber durant des heures, j'ai l'impression qu'il n'y a pas de fin. J'atterri lourdement sur le sol et pleure de douleur. J'ouvre les yeux et je vois trois personnes. Je ne vois pas distinctement leur visage mais je sais de qui il s'agit, Edward, Mila et Iris. Je me lève d'un bon et mais reste figé. Je n'arrive plus à bouger. Ils me parlent mais je n'entend pas correctement ce qu'ils me disent. Ils me murmurent des choses différentes tous en même temps. Puis finalement Iris s'approche de moi.

-Tu sais que tu es vraiment pitoyable ? Heureusement que Valentin m'a ouvert les yeux.

Valentin apparait soudain dans ma vision et Iris lui saute dans les bras avant de l'embrasser langoureusement. Je voudrais hurler mais aucun son ne sort de ma bouche. Je n'y arrive tout simplement pas. Je ne comprend pas ce qu'il se passe.

-Rend toi à l'évidence, tu resteras seul pour toujours, continue Iris, personne ne voudras de toi, tu es un problème. Tu est pathétique. Tu ne pourras jamais rien faire de ta vie !

Une larme coule sur ma joue. Edward s'approche de moi suivie de ma sœur. Ils m'encerclent tous les quarte et me hurle dessus. Mon cœur se brise, ils disent tout ce que je ne veux pas entre, tout se dont j'ai peur. Ils continuent de hurler et finalement j'arrive enfin à hurler et à bouger. Je tombe à genoux, mes jambes ne supportant plus mon poids. Je me tire les cheveux en leur hurlant de se taire. Puis tout deviens noir. Je crois que c'est la goute d'eau qui fait déborder de vase. Cette fois je sanglote bruyamment.

-Non ! N'éteignez pas là lumière. Je vous en supplie. J'ai peur !

J'entend des éclats de rire et je pleure encore plus. Ils se moquent de moi. Je continue de leur hurler d'allumer la lumière mais rien arrive.

Je sors de ma trans en sanglotant. Quelqu'un hurle mon prénom en me secouant. Je pleure et ouvre les yeux. Mon cœur rate un battement, je suis dans le noir le plus complet. Je commence à trembler.

-Tout vas bien Aaron, ce n'était qu'un cauchemar, me rassure quelqu'un.

-Allume la lumière, s'il-te-plait, lui demandais-je faiblement. J'ai peur.

Je finit par entendre un petit « clic » mais pour être certain qu'il ai bien fait ce que je lui ai demander, je le lui pose la question. Il me confirme qu'il m'a bien allumé la lumière, mais je reste toujours dans cette même obscurité.

-Tu me mens je ne vois toujours rien, allume cette putain de lumière.

-Aaron il faut que tu te calmes.

Je continue de lui hurler dessus en pleurant. Je ressemble à un enfant tout ça parce que j'ai peur du noir. Pourquoi est-ce qu'il ne veut pas l'allumer ? La porte de la chambre grince et je reconnait la mère d'Edward ainsi que son père demander ce qu'il se passe. J'explique toujours en pleurant qu'Edward ne veux pas m'aider. Je leur demande de faire ce que mon ami en veut pas faire. Quelqu'un s'approche de moi et me sert dans ses bras. Je reconnais tout de suite l'odeur de la mère de mon ami. Elle essaie de me calmer mais je n'y arrive pas.

-Allumer la lumière. J'ai peur. J'ai besoin de voir.

-Aaron, mon chéri, essaie tristement Elise, c'est impossible. Les lumières sont allumé.

-Tu mens, pourquoi je ne vois pas alors.

-Aaron, respire doucement, il faut que tu te calmes. Tu as fait un mauvais rêve, il faut que tu reviennes à la réalité. Tu le sais que tu es aveugle.

Je me prend comme une grosse claque dans la figure. Comment avais-je pu oublier. Je me mets à sangloter doucement. Je suis vraiment trop con. Mais j'ai tellement peur. Je ferais tout pour voir au moins un rayon de luminosité. Je reste ensuite une bonne partie de la nuit à pleurer dans les bras d'Elise alors que tous essaient tant bien que mal de me calmer. Pendant une nuit, je retourne en enfance, à cette période ou j'avais peur du noir, où il m'était impossible de m'endormir sans lumière. Sauf qu'avant j'avais une veilleuse et je pouvais vaincre l'obscurité, aujourd'hui je ne peux rien faire, je dois vivre dans la noirceur des ténèbres, et pour toujours.

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Voilà un petit aperçu d'un Aaron très fragile. Que pensez-vous de ce chapitre?

Je sais qu'il est cours c'est pour ça que je posterais un autre chapitre dans de jours. Pour en quelque sorte me faire pardonné.

Si je suis le plan que j'ai fait pour mes chapitres, je devrais posté au moins 45 chapitres! Nous sommes donc à la moitié de l'histoire. En vrai j'ai hate de terminer cette histoire. Même si j'aime beaucoup l'écrire et vivre les aventures d'Aaron, j'ai hate de terminer l'écriture. Je pourrais enfin écrire ma nouvelle histoire qui me trotte dans la tête depuis deux ans!

ObscuritéWhere stories live. Discover now