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2013

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«Harley, j'espère vraiment que tu vas aimée ta nouvelle chambre. Il y a un balcon et un grand placard et elle est beaucoup plus grande que ta chambre dans notre ancienne maison...Harley! Harley Lizbeth Quinn!»

Tirant les écouteurs hors de ses oreilles et en baissant la musique de son iPod, elle a finalement portée de l'attention à sa mère qui était sur le siège passager avant, discutant à quel point leur nouvelle maison était génial, alors franchement, Harley s'en foutait. Sa mère était une femme au foyer typique avec une joyeuse attitude qui portait toujours un sourire sur le visage.

Son attitute était l'exact opposé de sa fille Harley.

Harley roula des yeux, agacée. «Oui, Harleen.» elle appelle souvent sa mère par son prénom pour l'ennuyer. «Je suis sûre que je vais l'aimée.»

Elle voulait juste revenir à écouter de la musique.

«Tu sais que tu n'es pas censé m'appeler Harleen. Je suis 'maman' pour toi. Ou 'Man'.» madame Harleen Quinn grondait sa fille rebelle. Puis elle a continuer presque instantanément son discours sur la nouvelle maison. «Et nous avons fait un grand jardin afin que Billy puisse pratiquer ses habiletés au soccer.» sa mère a ajoutée avec enthousiasme.

Billy se moqua d'amusement. «Tu penses vraiment que Harley va être heureuse de quelque chose? Il y aura un jour froid en enfer avant que cette fille ne réussisse à sourire.»

«Pouah, fermes-là Billy!» Harley mit un coup de point sur l'épaule de son frère durement, le faisant grimacer de douleur.

Billy était le frère aîné de Harley, qui était plus vieux de seulement de onze mois et était dans la même classe qu'elle à l'école, car ils étaient nés dans la même année; Billy est né en Janvier et Harley était un bébé de Noël. Billy était comme ses deux parents, toujours heureux, toujours souriant, le type parfait de la ville. Ce qui explique pourquoi Harley ne s'est jamais sentit comme si elle correspondait avec sa propre famille, les Quinn.

Comme ils conduisait dans leur nouveau quartier vers leur nouvelle maison, Harley regardait par la fenêtre le paysage devant elle.

Un quartier urbain, normal, avec des maisons de la classe moyenne supérieure.

Elle n'a pas été impressionnée du tout.

Pour elle, il ressemblait à n'importe quel autre quartier de Sydney.

Les gens semblaient tous instruits et pittoresque. Il y avait de jolies femmes prête pour un jogging, un couple marchait avec leur race cher de chien et les enfants jouaient ensemble dans la cour avant d'autres maisons.

Harley se sentait malade de les voir tous si heureux.

Elle a toujours gardée pour elle-même et est restée à la maison plutôt que de passer son temps après l'école à sortir avec des amis ou à pratiquer une sorte d'activité sportive comme son frère Billy à fait.

Son père a arrêté le Dodge Caravan blanc dans l'allée de leur nouvelle maison et éteint le moteur. Ne voulant pas entendre sa mère parler sur la nouvelle maison une minute de plus, Harley a ouvert la porte de côté et sortit du véhicule aussi vite qu'elle le pouvait.

Portant deux de ses sacs, elle était la première à entrée dans la maison vide.

Son premier geste a été de monter l'escalier jusqu'à la chambre qui allait être la sienne.

Comme par instinct, elle a fait son chemin dans le couloir sombre qui a immédiatement suivi le chemin qui conduit à l'escalier et elle s'arrêta net dans son élan quand elle était face à un adolescent debout à la fin de la salle sombre, les traits assombrit par les ombres qui ont été créés dans le passage faiblement éclairé. Elle a remarquée qu'il y avait une lueur verdâtre à lui et ses yeux étaient sombres. Il la regardait s'approcher de lui sans parler, c'était comme si il pensait qu'elle ne pouvait pas le voir.

«H-hey!» soudain effrayée, sa voix tremblante demanda, «Qu-qui es-tu?»

Le visage du garçon est devenu effrayé et il se retourna, marchant vers la droite, où se trouvait la chambre de Harley. Harley le suivit lentement et a été secouée de voir, quand elle est arrivée quelques instants après, que personne n'était dans la pièce.

Elle était complètement vide.

Ses bottes de cuir noirs sonnaient sur le sol en bois, comme ele a inspectée toutes les parties de sa nouvelle chambre avec prudence. Pour tout ce qu'elle savait, il aurait pu être un meurtrier ou un SDF qui vivait ici avant que la maison a été vendue. De folles théories ont couru dans son esprit. La chambre avait l'air d'être complètement vide à l'exception d'un grand miroir doré qui se tenait contre le mur de l'autre côté.

Prenant quelques mesures à travers la pièce, vers le miroir, elle fut surprise de ce qu'elle a vu dans la réflexion.

«Qui êtes-vous?» elle a demandée à la figure inhabituelle d'un adolescent debout au delà du miroir avec son propre reflet. Dans la reflexion, il semblait qu'il se tenait juste derrière elle, mais quand elle jetait un coup d'oeil par-dessus son épaule, elle remarquée qu'elle était seule. Ses doigts fins caressaient le verre froid du miroir devant elle.

Il la regarda, les yeux ouverts sous le choc que la réalisation a frappée. Quelqu'un pouvait le voir réellement. Il avait déjà joué le scénario une fois dans sa tête.

«Comment...comment est-ce que tu peux me voir?» il a demandé à la filles aux cheveux et aux yeux bleus dans un haut jack daniels noir, haut exposant son nombril avec un piercing et un short noir 'cut-off' qui montrait ses longues jambes.

«Je ne sais pas.» répondit-elle honnêtement, tout aussi confuse comme il en avait l'air.

«Personne n'a put me voir pendant plus de cinquante ans.» il respire, encore sous le choc.

Ses cheveux bleus électriques en cascade dans son dos, elle étudiée le jeune homme devant elle. Elle le regardait et se rendit compte qu'il était habillé d'une manière qui rappellait le début des années 60 ; t-shirt noir avec une veste en cuir noir au-dessus, un jean foncé aux pattes droites et un bandana bleu délavé poussant ses boucles d'or en arrière. Elle se demanda quel âge il avait exactement.

Je dois être folle, pensa-t-elle admirant ses fonctions. Il était grand, beaucoup plus grand qu'elle. Son visage était apparemment parfait et ses yeux vert-noisette se détachait sur le hâle naturel de sa peau.

Mais la question suivante a jailli de sa bouche avant même qu'elle ait eu la chance de s'en empêcher. «Sinon tu as un nom? Ou puis-je t'appeler l'homme dans le miroir

Il rit à son commentaire, «J'ai un nom, merci. Je suis Ashton.»

«Je suis Harley.»

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Voici le premier chapitre tadaaam ! Je m'excuse d'avoir prit un temps fou pour le traduire mais depuis que je suis en vacances je suis toujours avec mes amis ou ma famille, mais on s'en fou maintenant je prends le temps de traduire, d'ailleurs le second chapitre est bientôt terminé donc il sera en ligne très prochainement, je pense même poster un chapitre ou deux par semaine voir plus si j'ai de l'avance. En attendant dîtes-moi ce que vous en pensez ! @CauseImHappiness ce chapitre est pour toi sachant que tu aimes cette histoire ! :-) xoxo

MAN IN THE MIRROR (ashton)Where stories live. Discover now