Chapitre 40 Bonus : Probabilités

2.1K 188 135
                                    


Note Spéciale : Bonsoir à toutes et tous ! Je reviens avec un chapitre bonus inédit. Ce chapitre est « canon », c'est à dire que ce qui est noté ici s'insère dans l'histoire.

Pourquoi ce fragment ? Pour vous remercier ! Voilà maintenant trois ans que nous avons commencé ensemble l'aventure « A la Moldue », et hier soir, Faaan'Taaas'Tiiique signait la 500ème review  sur le site FFNet. Un chiffre symbolique et inespéré que je voulais célébrer.

Je voulais donc vous remercier, vous qui commentez, likez, partagez. Vous m'avez accompagnée et motivée comme jamais ! Il m'est souvent arrivé de douter, d'avoir envie d'arrêter quand j'avais l'impression que je racontais mon histoire dans le vide. Et puis... Et puis l'un/une de vous trouvait les mots.

Alors... En attendant les 1 000 reviews là-bas, ou notre succès ici, voici pourla 500ème un court chapitre qui raconte la conversation entre Albus et Severus, lorsque le premier annonce son plan au second (avant le prologue, donc). Cela raconte le court instant avant que « La Moldue » ne rencontre « Le Sorcier »... J'espère que cela vous amusera. En attendant : Merci à toutes et tous de faire vivre cette histoire, et très bonne lecture !

 En attendant : Merci à toutes et tous de faire vivre cette histoire, et très bonne lecture !

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

(Image source : Derpy Owl by Culpeo-Fox)


« J'ai l'intention de renforcer les protections de Poudlard. Les élèves sont en grand danger, que cela soit ceux d'origine moldue ou les proches d'Harry. Par ailleurs, il ne m'étonnerait guère que Tom tente quelque chose contre sa vieille école.
— À cause de son droit de propriété ? demanda Snape, en plissant des yeux.
— Précisément ! Si Poudlard cherchera toujours à protéger ses étudiants, l'école ne peut pourtant pas s'opposer trop longuement à la volonté de ses propriétaires légitimes. Voldemort a imprimé sa marque en ces lieux et gardera toujours une certaine emprise sur eux, ajouta Dumbledore, semblant signer ici une référence précise à un élément inconnu du Potionniste.
— Et que comptez-vous faire pour remédier à cela, Albus ? Ouvrir aux enchères Poudlard pour lui trouver de gentils acquéreurs ? Vous lancer dans une quête épique à la poursuite des autres descendants ? »

Le Directeur éclata bruyamment de rire, déclenchant une vague de frustration de la part de son collègue qui détestait avoir la désagréable impression de ne jamais rien savoir. Snape le laissa à son hilarité, touillant d'un air boudeur son thé, et attendant, avec le peu de patience qu'il lui restait, de pouvoir enfin prendre ses vacances. Mais le vainqueur de Grindelwald détruisit à néant tous ses rêves de paix, en même temps qu'il aiguisa sa curiosité :

« Mon garçon... Ma quête épique est terminée. Nous partons sur-le-champ pour ramener l'héritière de deux maisons ! »

L'espion avala son thé de travers, et fronça les sourcils en jetant un regard incertain à son mentor par-derrière la petite tasse brûlante qui menaçait désormais de s'échapper de ses mains. Il tremblait légèrement, et cela acheva son humeur déjà bien massacrante. Les pensées tourbillonnaient dans sa tête. Était-ce parce que le vieil homme parlait d'une personne issue de deux hauts-lignages ? Parce qu'il semblait manifestement acté que c'était à lui de s'en charger... ? Ou tout simplement parce que c'était une femme, car l'homme en noir voyait mal comment convaincre ce qui devait probablement être une mère et une épouse de tout quitter pour les aider. En lieu et place de ses inquiétudes, il opposa à son supérieur un rictus dédaigneux, et susurra :

A la MoldueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant