Release ✔

•Chapitre 43•

•LA FINALE•

•••

— Aller Wendy, c'est aujourd'hui. C'est maintenant ou jamais, tu as travaillé dur pour ça, alors je crois en toi.

J'affiche un sourire lorsque je me retourne vers Paige, la mère d'Edden, m'encourageant comme elle en as pris l'habitude.

— J'ai fait la connaissance de tes parents, ces deux grandes personnes sont formidables.

Mes parents sont ici, dans le public ? Whoua, même si je n'y pensez pas vraiment, rien que de le savoir, cela me met du baume au coeur. Je souffle pour évacuer le stresse tout en pratiquant quelques exercices d'échauffement.

— Tout le monde est derrière toi Wendy, pense juste à ta prestation, rien d'autre ne doit venir te perturber.

Je hoche la tête, essayant toujours d'évacuer le stress. On y été, c'était aujourd'hui, mercredi 1er juin qu'aller ce décidé mon destins. Vais-je réussir à me qualifier pour la dernière épreuve au International ? Je n'en est strictement aucune idée.

Après une dernière accolade, Paige partis rejoindre le public tandis que je jettais un coup d'œil par dessus mon épaule. Tout mon groupe étant en pleine préparation, entre maquillage, coiffure et costumes, ils étaient débordé.

Juste après ma prestation en solo, je n'aurais le temps que de quelques secondes avant de remonter sur scène, cette fois en groupe, pour également une grande finale.

— Alors Blondette, en forme ?

Je hausse les épaules, affichant une mine boudeuse, Edden souria alors de plus belle avant d'avancer vers moi.

Ses mains se posèrent délicatement sur mes deux joues, m'obligent à le regarder. Ses cheveux toujours en bataille retombé sur ses yeux qui sembler vraisemblablement fixé mes lèvres. Un sourire nias se forma alors sur celles-ci avant de finalement lier mes lèvres au siennes. Un baiser doux et timide à la fois.

— Mademoiselles Fiorlie ? C'est à vous dans deux minutes.

Je hoche alors la tête en directions d'un agent chargé de veiller à ce que tout soit parfait. Ce n'est pas comme les fois précédentes, des centaines de personnes sont venues pour assister aux deux finales, du personnel a été engagé en plus et nous traite comme de vrais stars.

Ils n'ont pas fait les choses à moitié.

Quand je tourne le regards vers mon voisin de pallier, je ne peut m'empêcher de rire. Il me regarde alors, interloqué par mon comportement, et, ce n'est que lorsque je me munie d'un miroir pour le lui tendre qu'il grogne comme une homme des cavernes.

Edden essaie tant bien que mal d'effacer la trace de rouge à lèvre que je lui est laisser sur les siennes, sous mon regard pleinement amusée.

Je décide finalement de lui tendre une lingette démaquillante, qu'il prend non sans me lancer un regard faussement noir ce qui à le don de me faire davantage rire.

Il se tourne alors, m'indiquant qu'il va rejoindre le public, mais, alors qu'il était pratiquement à l'autre bout du couloir, je décide de lui crier ;

— Je t'aime !

Il se retourne, me tendant son majeur avant de reprendre la parole.

— Moi non ! Crie-t-il avant de mimer un coeur avec ses deux mains.

Je lui tire alors la langue, avant de marcher en direction des coulisses. Se moment partager avec ce guiniol à eu le don de me détendre. Je le soupçonne d'avoir fait exprès, sachant très bien que j'étais en état de stress le plus total.