•Chapitre 38•

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•CHANCE OU MALCHANCE ?•

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Du point de vue de Wendy

Je soupire avant de me laisser tombé sur ma chaise, shit.

Je ne m'attendais pas à cette réponse. Ce petit merdeux avait calculé son coup. Il était clair, je me sentais prise au piège comme un poisson dans les filets de pêcheurs. Mais, malgré tout, je m'y attendais et je ne lui en voulais pas vraiment. Edden s'était déjà livré à moi tandis que je refuse toute discussion sur mon passé. C'était évidement qu'un jour ou l'autre, il craquerais.

Mais putain qu'es-ce-que sa me faisait mal d'être mise au pied du mur.

— Wen', écoute, j'ai assez attendus, je veux savoir. Dit moi, tu mens à longueur de journée avec ton faux sourire, fait moi confiance putain.

Je sursauta lorsqu'il avait hausser le ton. Ses yeux me supplier tandis que sa main posé sur ma cuisse attiré mon attention. Bordel pourquoi suis-je aussi compliqué ?

Peut être que finalement, le fait d'en parler me ferrait le plus grand bien. J'avais vus le soulagement dans les yeux de Yona lorsqu'elle s'était livré à moi. Moi, même si on en avait parlait, j'étais loin de lui avoir dit la vérité. Non, j'avais omis le fait de lui dire que je vis toujours dans le passé, que je garde ces foutu souvenirs à porté de main me rappelant chaque jours, chaque heure et chaque seconde que je les est perdus.

Ouais, j'avais mentis comme je mens tout les jours avec ce sourire stupide. Tout le monde y croit d'ailleurs, lui au moins, il le savait quand je mentais et même si c'était rare, il s'en apercevait à chaque fois que ce rictus n'était qu'un faux. Ce rictus faux qui d'ailleurs, ne berné pas Edden comme il me l'avait dit précédemment.

— Je hum.. c'est.. compliqué.

Je n'eu pas le temps de continuer qu'une sonerie retentis dans tout le rayon. Je baissa alors le regard vers mon téléphone qui m'indiquait le nom de Yona.

[-Entrainement dans la salle B avec Archimed et Ana dans cinq minutes]

Sérieusement ? On devaient être en repos ce matin ! Le directeurs nous avaient accordé la mâtiné pour se reposer et ces putain de spycopathe programme un entraînement ?!

Je me lève à contre cœur, j'étais prête à me confier, j'étais prête à tout avoué. C'est trop tard, mon quart d'heure de folie est repartis aussi vite qu'il est arrivé. Ugh, je me sens autant frustré que la dernière fois, lorsque nous nous étions embrasé pour finir par être intérompu par son téléphone. Encore et toujours un téléphone.

— Je dois y aller.

Je ne donne pas plus d'informations et fini par quitter la bibliothèque. Sur le chemin, je chasse toute les pensé ce rapprochant de près ou de loin au prénom d'Edden. Non, à la place, je lance un mini débat dans ma tête sur le sujet Iliana. Tout à l'heure, son attitude et ses paroles était tout sauf normal. Je ne sais toujours pas de quoi elle parlait, mais j'ai quand même découvert dans tout ça qu'elle avait été adopté.

Je me rappelle vaguement d'une interwie que j'avais lus qu'elle avait donné après une prestation à coupé le souffle, l'une des plus belle d'ailleurs. On y voiyait tout la hargne et l'émotion de colère mélangé à de la tristesse sur son visages, ses expressions et le moindre de ses mouvement.

Release ✔Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt