Two Sides

Adossée à un vieux mur délabré, je regarde la boutique d'un antiquaire en ruine dont les vitres brisée par la négligence urbaine offre une vue supplémentaire sur l'interrieur des lieux. Au dessus, d'anciens immeubles vides, du moins je le suppose puisque les bruits habituels de vie n'en émane pas, sans doute due à la rusticité des lieux qui n'avait sans doute pas servit depuis plusieurs années. Les quelques seules personnes restantes dans les rues pressaient le pas, je peux les entendre entré doucement leurs clefs dans les serrures brouillées dans le noir, exécuter un vif mouvement déverrouillant la porte pour, ensuite, la refermer en silence après y être subtilement entrer. C'est avec la peur au ventre que je les sens avancer, il faut dire que depuis quelques jours, Liverpool n'est plus aussi paisible que dans le passé. Les attaques nocturnes multipliées par trois, c'est John Bannerman, le serrurier du Quartier Est qui était content! Lui a vue ses ventes monter en puissance en l'espace d'une semaine. Je pense qu'il n'as jamais fait autant de chiffre d'affaires depuis que la persses parle d' «Attques surnaturelles» ou encore de «Morts inexplicables».

Les liverpuldiens sont bien naïfs, je dois l'avouer, même Barry Bennet, le gros magouiller trafiquant d'on en sais quoi, n'ose plus sortir le soir. C'est que sa leurs fait de l'effet aux petits bourges pleins aus as! Temps mieux, ils ne méritent pas beaucoup plus. Dans mes mains se tient encore le journal de la veille, pour gros titre nous avons «Liverpool, encore en état de choque après l'attaque du square.». Il faut dire que celle là, elle était réussite. C'est sans compter sur le témoignage bidon de Laurette Weaver que l'article c'est construit, elle n'était pas sur les lieux, je suis assez bien placée pour le savoir! Elle a raconté qu'une bête briscarde avait sauter sur Tony Shields, la victime, pour ensuite lui avaoir saisit les membres et arraché un bras. Il vrai, je doit l'avouer, que le bras à bel et bien était arraché, mais en aucun cas il ne s'agit d'une bêt, et encore moins briscarde! Laurette avait enchainer en disant que le fauve d'une grandeur surnaturelle avait voulut s'en prendre à elle, mais qu'elle s'était réfugiée sous un bac à l'entrée du square, là, elle ne pouvait pas l'atteindre. Balivernes. Ce bel article n'était qu'un tissue de mensonges, fondé sur les dires de la plus excentrique des vielles peaux du villages. Et dire que tout le monde y à cru.. à cette histoire de bête biscarde, de fauve immense à dormir debout. Bien tôt ils nous sortirons quoi? Qu'un crapeau géant avec des pouvoirs magiques à assieger Liverpool? Ils ne sont pas aux bout de leurs peines, les iniard.