Parce-que certain sourires ne sont que des masques. Que le manque d'une personne s'infiltre doucement dans les veines et qu'un jour, sa fini par te bouffer le coeur. Qu'à force de croire une personne forte, on en oublie qu'elle est la plus fragile...
J'étais en plein déboulé lorsque je percute ma table de nuit, mon petit cadre qui était posé dessus s'écrase contre le parquet et je retiens mon souffle lorsque je le ramasse. Grace à ma bonne étoile, le verre n'est pas briser et la photo est intacte. Je le remet à sa place initiale un sourire en coin, je râle ensuite constatent que la musique a laissé place a une nouvelle interview entre notre chère monsieur Peretta et son adversaire, j'ai nommé : Cradle !
- "Pauvres élèves ! Ils vont devoir présenté deux prestations dans la même journée, ce ne sont que des premières années, c'est les jeté dans la gueule du loup et remettre par intermédiaire, la renommé de notre université !"
Je monte le volume de la radio par curiosité, monsieur Cradle vient de me rappelé que le concours de dimanche a été déplacé a Samedi ce qui fait que nous avons l'avant première le matin et le premier concours de la saison l'après-midi même.
- "Ces élèves de premières années sont de vrais prodige, vous n'avez pas encore vus les talents de la classe élite ! Il vont clairement géré la pressions et écrasé toute les autres universités du pays ! De plus, nous avons la chance de concourir a domicile."
Le concours et l'avant première ce déroule à exactement cinq petit kilomètres d'ici, les deux ce font dans le même bâtiment mais sur deux scène différente.
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- «J'espère que vous avez au moins commencé à réfléchir au sujet posé. Passons au cours maintenant.»
Horatio s'assoit à côté de moi pendant que je soupire, lundi matin plus cours d'histoire ne font jamais bon ménage.
- «Tu es avec qui en binôme toi ?
- Figure toi que samedi j'ai appris que j'étais avec une fille extrêmement polis.»
Je fronce les sourcils puis me retourne quand je vois Horatio lancée un regard ironique à la jeune fille derrière lui, je l'observe quelques seconde, elle est vraiment belle. Certes, elle a un style particulier mais ça lui va bien, ses cheveux blanc glace font ressortir ses yeux gris. À coter d'elle ce trouve Edden alias le mouton. Son regard est concentré sur sa feuille où il a noté déjà tous que le professeur a pus dirr. Après ça, il dépose sa tête contre ses bras replié et posé contre le bureau.
Je fait de même, je n'ai qu'une envie ; continué ma nuit.
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Lorsque j'entre dans les vestiaires, je me dépêche d'enfiler mes collants, mon justaucorps noir ainsi que mes fidèles pointes. Horatio et moi poussons les portes du studio en même temps, nous sommes tout les deux en retard et le regard glacial d'Archimed en dit long sur l'enchaînement que nous allons devoir exécuté. Il tend son bâton vers le centre de la salle nous indiquant de nous placé.
Les autres élèves de ma classe son à la barre et s'échauffe sous un air de musique classique. Iliana, debout face à nous, je la surprend à fixer mon collier. Quand son regard croise le mien, elle se détourne vers notre professeur.
- «Bien, Wendy et Horatio, ce sera un enchaînement basique aujourd'hui, déboulé, trois tours sur pointe, saut écart et réception sur plat. Je commence à croire que cela vous plaît.»
Je rouspète silencieusement lorsque Sacha se moque ouvertement de moi. Archimed lui, se met à compté et nous commençons l'enchaînement.
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Après de longue série d'enchaînement, le torsoinaire reprend le cours normale en nous faisant faire des diagonales, consistant à ce mettre dans un angle de la pièce et par deux nous devons traversé le studio en répétant un même mouvement ou parfois des enchaînements. Je me place au côté d'Athénaïs et commence les piquets-pirouette
- «Sois droite Wendy ! Tu n'est pas stable, tient toi bien bon sang !»
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Du point de vue d'Edden.
- «Edden tu m'écoute ? Je te parle depuis tout à l'heure ! »
Le jeune bouclé relève la tête vers son amie qui râlais encore une fois sur leur professeur de droit. Comme à son habitude, Edden écouté que d'une oreille, il jouer avec la longue mèche de cheveux blanc glace de son amie le regard vers le ciel étoilé. C'était une fâcheuse habitude qu'il avait, il adorait ses cheveux et savais que cela la faisait ronchoné. Après tout, il l'a connaissais depuis longtemps mais ne c'était jamais confier à elle, il ne lui a jamais raconté une seul fois sa journée où alors parlé de sa famille. Le muet était son surnom, les rares fois ou il parlait, c'était pour râlais.
Il faut dire que la jeune fille n'avais pas encore trouvé le sujet de conversation qu'il aimais tant. Elle savait qu'il était passionné par l'histoire mais n'avais encore jamais abordé le thème alors que le jours d'avant, il avait débattu sur le sujet avec sa voisine de pallier.
Il s'était retrouvé en binôme avec elle à cause justement, de son amie à la chevelure de glace. Lorsque le professeur prenait note des groupes qui se formait, la jeune fille c'était montré insolente avec lui ce qui lui a valu la colère de Monsieur Lonson. Il a alors décidé qu'elle était avec un certain Horatio et comme il ne restait plus que deux personnes sur sa liste pas encore répartis, il les avaient mis ensemble.
Voilà comment les deux voisins de pallier c'était retrouvé ensemble.
Il ne connaissait pas son prénom et pourtant, il avait aimé lui expliqué en détail le cours qu'elle avait raté ou encore débattu avec elle sur ce qu'est l'égalité entre les Hommes. Elle l'avait même surnommé mouton, peut original mais cela l'avais fait sourire, ce n'est pas tout les jours que l'on a l'occasion de parlé à une personne qui a toujours la banane. Même quand il lui avait fait la morale lorsqu'elle était arrivé en retard, elle n'a pas perdu sa bonne humeur et ça, Edden en avait été surpris. C'était sa technique à lui, faire fuir les filles qui s'approchait de trop près mais elle, elle avait fait tomber ce mur en un temps record.
Évidement, dès l'instant où ils avaient fini leurs travail du jour, il était partis de son côté sans un mot de plus.
Son côté aigris été revenus aussi vite qu'il était partis, après tout, il n'aimer pas les gens qui faisait partis de la filière d'art, selon lui, la danse ou la musique n'était pas un métier, un simple loisir mais pas une profession, où les seul débouché n'était que du malheur et pourtant il se trompé. Et ça, Wendy Fiorlie été bien décidé à le lui prouvé.
