Besoin De Toi [Correction]

CHAPITRE 4 :

PDV de Blake :

Une fois que j'ai fini de manger. Je monte dans ma chambre. Je m'allonge dans mon lit et allume mon ordi. Alors que je suis en Skype avec ma meilleure amie ma sœur Amanda rentre dans ma chambre sans même prendre la peine de frapper.

- Je te rappelle tout à l'heure ma belle, bisous ! Dis-je a Olivia.

Je ferme mon ordinateur. Ma sœur s'assoie sur mon lit. Je la regarde et lève un sourcil.

- Blake Je peut te demander un truc ?
- Bah ouais... Vas y.

Elle se tortille dans un peu dans tout les sens.

- Bah voilà, Il y a Clarisse qui organise une genre de boom se soir et Sophia et moi on voudrait y aller... Mais papa ne voudras jamais qu'on y aille sauf si...
- Sauf si quoi ?

Elle ne me réponde pas. Un silence plutôt pesant s'installe entre nous.

- Bon alors ?! Accouche ! Amanda sauf si quoi ? Lui dis-je.
- Sauf si tu nous accompagne...
- Quoi nan mais même pas en rêve ! J'ai autre chose à foutre que vous accompagnez à une boom avec vos potes à vous bourrer la gueule au jus de fruit !
- Mais allez s'teu plait ! T'es pas obliger de rester toute la soirée. Tu m'accompagne et après tu rentre. Me dit-elle.
- Ah ouais et si je rentre à la maison, tu croit pas que Papa va trouver sa chelou ?

Elle baisse la tête sans me répondre, puis j'ajoute :

- En plus il y a le collègue de papa qui vient dîner à la maison se soir. Alors je ne pense pas qu'il voudras bien qu'on sortent.
- Pff t'es vraiment pas drôle comme fille ! Tu m'étonne que t'as pas de mec.

Elle se lève d'un bon et sort de ma chambre en claquant la porte dernière elle. Nan mais c'est quoi sa ? Franchement moi à 15 ans je jouait encore au poupée *je rigole bien sûr*

Quelqu'un refrappe à ma porte. Je me lève. Si c'est encore Amanda je jure que je hurle. J'ouvre la porte sans prêter attention à qui est là.

- BON MAINTENANT TU ME LÂCHE OK ?! Je hurle.
- Hum' chérie, je...
- Merde. Papa désoler je croyait que c'était Amanda, dis-je désolée.
- C'est bon ça va. Tu descend nos inviter ne vont pas tarder à arrivés. Me dit mon père.
- Je fini de me préparer et j'arrive.

Je me passe un coup de brosse dans les cheveux et me remaquille légèrement. Mon père ne ramène jamais personne à la maison. Mais apparement aujourd'hui c'est un cas d'urgence. Un de ses collègues de bureau c'est fait quitter par sa femme, et du coup l'homme et son fils n'ont nul part ou aller et mon père, avec sa grande bonté d'âme, leur a proposé de s'installer à la maison quelques temps.

Alors que je m'apprêtais à descendre j'étendis la sonnette de la maison. Je descend donc lentement les escaliers. Mais au moment où mes yeux se posent sur les collègue de mon père et son fils je crois halluciner. Le fils du collègue de mon père n'est ni plus ni moins que l'autre abruti, qui est à coter de moi en maths. Mais qu'est qu'il fou la dite moi que ce n'est pas vrais. Mon père m'avait bien dit que son fils est dans le même lycée que moi, mais on est plus de 900 au lycée, et il fallait que sa tombe sur lui. Merde.