Chapitre 26

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Salut!

Je suis de retour héhé !! Désolée pour ce petit temps de retard ^^'

Enfin bon, le chapitre est là, c'est le principal. D'ailleurs si vous voulez (ATTENTION PUB!)  j'ai une amie qui commence les Newtmas et elle à fait une mini-fiction, c'est plutôt cool et elle est gentilleuh ... *bam bam* C'est WritersWik voilà voilà :D

Bon allez bonne lecture

NG

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Ce fut assez drôle pour Thomas mais, lorsqu'il arriva à l'hôpital cet après-midi là, Newt ne lui fit pas pleins de bisous comme il l'avait promis, pour la simple et bonne raison qu'il était endormi. Thomas attendu une bonne heure, allongé sur le second lit de la chambre inoccupé à regarder d'un œil distrait la télévision. On toqua à la porte et Brenda fit son apparition dans la chambre. Le brun l'accueillit avec un sourire amical qu'elle lui rendit immédiatement.

- Contente de te revoir, Thomas !

- Moi aussi !

Elle jeta un regard inquiet au lit à côté de lui.

- Il ne s'est toujours pas réveillé ?

Thomas haussa un sourcil.

- Il devrait ?

- On lui a donné des médicaments forts ce matin, et je crois bien que ça l'a un peu perturbé... Il n'arrêtait pas de dire qu'il n'était pas une crevette avant de s'endormir comme une masse. Je crois qu'il a parlé de toi aussi.

Thomas ne put s'empêcher de rire. Alors comme ça, Newt n'était pas vraiment conscient de ce qu'il avait dit au téléphone ? Le brun se ferait une joie de lui rappeler. Mais quelque chose interpella le jeune homme.

- Pourquoi lui avoir donné des médicaments plus forts ?

Brenda tiqua.

- Ben tu sais... Newt est en fin de vie et je ne te cache pas que cela peut être très douloureux sans chimio, contrairement à ce que l'on pense. Il nous a fait une petite crise hier, rien de bien alarmant ne t'en fais pas ! Se précipita-t-elle de dire alors que Thomas sentait la panique l'envahir.

C'est juste qu'il était faible ce matin, et Jorge lui a donné une dose plus forte pour qu'il puisse récupérer tranquillement.

Le brun acquiesça, en se pinçant les lèvres. Les crises de Newt devraient bientôt devenir un quotidien, et Thomas se devait d'être fort, pour lui, et pour Newt.

Heureusement pour lui, Thomas avait également de quoi s'occuper l'esprit pour ne pas retomber dans ses pensées qui le mettait inévitablement à songer à la santé de Newt. Il avait bientôt les sélections d'athlétisme qu'il comptait réussir, travaillant avec acharnement. Cela lui vidait la tête, et c'était addictif. Vraiment bien. Lorsqu'il fuyait son foyer, son père ou sa mère, il courrait. Il extériorisait tout ce qu'il ne pouvait pas dire à Minho et à Newt. Comment évoquer avec Minho sa relation avec un garçon sans qu'il y ai de gêne ? Comment parler en compagnie de Newt de son avenir, alors que le sien était compté ? Comment ne pas faire de gaffes ou de blagues déplacées avec lui ? Cette question, il tentait de l'effacer. Newt le surprenait à chaque fois avec sa répartie mais il savait que le moindre faux pas pouvait pousser le blond à se torturer l'esprit. Le problème, c'était que Thomas n'avait pas le droit à l'erreur, tout comme Newt. S'il voulait que ça fonctionne, à leur risques et périls, il fallait être parfait, que ce soit dans la relation ou la façon de prendre les choses. Et ni l'un ni l'autre ne l'était. Cela engendrait donc des possibilités tellement multiples que Thomas se demanda si ce n'était tout simplement pas la définition de la vie...

Le lit d'à côté (Newtmas)Where stories live. Discover now