Him.

16. « Norman : Putain... Tu m'as manqué ! »

Je n'ai pas résisté longtemps au charme de Norman. J'ai jamais su lui résister, pour tout vous dire. Il avait ce dont... De faire ce qu'il voulait de moi... Et moi j'avais ce dont d'aimer ça. 

Nous nous sommes dirigés vers l'hôtel dans le plus grand calme, mais avec la même énorme envie. J'avais chaud et ma respiration ne cessait de s'accélérer au fur et à mesure qu'on s'approchait de la chambre.

Norman passe délicatement la carte avant d'ouvrir la porte. Je le regarde quelques secondes et entre en première. Norman me suit et me plaque contre le mur une fois qu'il ait bien fermé la porte. Je pousse un cri de plaisir sans m'en rendre compte et enroule mes jambes autour de la taille de Norman lorsqu'il entreprend de me soulever. Nous nous sommes dévoré du regard avant de nous embrasser sensuellement. Je ne pouvais m'empêcher de lâcher des gémissements tant j'avais envie de lui. Il m'avait manqué, tout m'avait manqué avec lui. Nos journées d'amoureux, nos soirées en tête à tête... Et surtout nos soirées au lit. Tout, je vous dis.

Norman se déplace jusqu'au lit pour m'y déposer. Je le regarde sensuellement, du moins j'essaye, ce n'est pas donné à tous le monde.... Mais contrairement à ce que je pensais, ça a l'air de faire son effet. Norman retire son t-shirt et déboutonne son pantalon avant de s'occuper de mon t-shirt.. Qui rejoint très vite le sien sur le sol. Je souris en remarquant sa maladresse tant l'envie était présente et pressante.

Il fait glisser son pantalon le long de ses jambes et je me dépêche de me débarrasser du mien. Norman me sourit légèrement avant de m'ordonner de m'allonger sur le lit et d'écarter légèrement mes jambes. Je soupire de plaisir en sentant ses mains me toucher les cuisses... Mon Dieu, que j'aimais ses caresses !

Il dépose un doux baisé sur mon bas ventre avant de retirer le seul bout de tissu qui le séparait de ma féminité.
J'avais déjà fait ça avec lui avant... Mais ça fait des années et j'ai encore ce stress qui monte en moi.. Comme si je revivais ma première fois. Ce n'est pas désagréable, bien au contraire, surtout si la première fois était parfaite et inoubliable, mais... Ça me stress.

Pour mon plus grand bonheur, Norman fait comme si il ne remarquait pas mon stress. J'aurais été gênée de lui dire que j'étais stressée.. Enfin bref ! Norman est descendu sur ma partie intime pour y faire jouer sa langue... Ce qui m'arrache quelques gémissements, et rien de discret.. Lorsqu'il remonte jusqu'à mon visage, je décide de prendre les rênes. Je me glisse à mon tour jusqu'à sa partie intime et la prend dans ma main, commençant de lent vas et viens.