chapitre 50

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À dos contre la porte de la salle de bain , Je réfléchissais à ce qui s'était passé et à ce qui se passerait si je me lave trop rapidement , je préférais alors attendre les autres garçons qui empêcherait Raito d'assouvir on va dire ses désirs sur moi . Je m'assieds donc par terre , dos au mur . Raito est toujours dans ma chambre , je l'entends rigoler et de me dire de me dépêcher de sortir , qu'il a hâte que je me sois laver . Je m'enfouis la tête dans les genoux mais je ne pleures pas . J'essaie de garder mon calme . Dans cette maison , j'aurais toujours des misères , mieux vaut m'y adapter et arrêter de pleurnicher pour un soucis , les pleurs ne résoudront rien et Raito aura toujours la même envie de moi .

Moi: Patiente , encore un peu , ils reviendront .

Raito se calme enfin , et après être rester au moins 1h je me décide d'aller me laver . Je fais couler de l'eau chaude , retire mes vêtements mais hésite à retirer mes sous- vêtements . Je regarde la porte comme si elle allait me donner l'autorisation puis je me glisse dans l'eau avec . C'est un peu bizarre mais je serai un peu plus sereine quand les autres seront arrivés. Alors que je me glisse dans l'eau je me perds dans mes pensées . Je me souviens à quelle point ma mère me disait qu'elle voudrait toujours me protéger , mon père aller faire de la pêche avec moi. À mes anniversaires , ils me répétaient à quel point ils m'aimaient . Je me souviens de l'intonation de leur voix et cela me parait impossible . Mes parents m'auront-ils vraiment vendu ? Puis à leur voix surprise ,vu la voix qu'ils avaient , ils ne pensaient pas n'ont plus à me revoir . Je suis partagé entre la tristesse et la colère . Je ne peux m'empêcher de verser quelques larmes bourré de ces sentiments . Soudainement , j'entends Raito hurler et rire :

Raito : Mais c'est pas possible .

Je ne peux m'empêcher de regarder encore une fois la porte comme pour lui demander c'est quoi son problème.

Raito : Chérie , tu ne m'avais jamais dit ça .

Je l'entends il appuie son corps contre ma porte.

Moi : De quoi .

Il force la porte cette fois . Je saute hors de la baignoire, m'essuie rapidement et enfile le short d'ayato . Je n'ai pas le temps de mettre le haut car Raito est déjà entrer .

Raito : Tu n'es pas qu'une brebis égaré qui se dit n'appartenir à personne , tu nous appartiens , tu m'appartiens .

Il passe un bras autour de ma taille , me rapproche de lui jusqu'à me coller à son torse et brandit un papier devant mon visage . Je reconnais tout de suite le papier , celui qui confirme que je suis le bien des Sakamaki .

Moi(les larmes aux yeux): Tu n'avais pas le droit de fouiller dans mes affaires .

Raito( son sourire grandissant): Tu n'avais pas qu'à partir .

Il me tira jusqu'à mon lit et me força à m'étendre dessus . Je sentais les draps s'imprégner de l'eau de mon corps , de mes cheveux et mes larmes.

Raito: Je reprends ce que je n'avais pas fini puis je te tue , dit-il en souriant.

Moi(pleurant) : S'il te plait . Tue moi avant .

Raito(prenant mon visage) : Continue de pleurer , c'est tellement bon , presque jouissif mas il faut que ton visage soit encore plus déformé . J'ai une solution . (il baisse mon short) ça ne sera pas trop difficile de te déshabiller vu ta tenue.

Moi : Je t'en supplie arrête .

Il n'y avait rien pour me défendre , même pour mettre fin à mes jours , rien . J'étais honteuse de mourir sans même mettre défendu . Je ne pouvais retenir mes larmes , c'etait la seule chose que j'avais le droit de faire .

Diabolik lovers : un sang nouveauWhere stories live. Discover now