chapitre 39

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Mais ou est passé le piano ? Sans lui je ne peux pas relâcher la pression , sans lui j'ai l'impression que je ne suis rien . Je demande à Shuu , une boule à la gorge :

Moi : Ou... ou est passée le piano ?

Shuu(regardant le plafond) : Je ne sais pas , ils ont dû le jeter , ils étaient vieux .

Je tombe par terre .

Shuu(se relevant) : Bref , tu n'as plus aucun prétexte pour revenir ici , si tu reviens je prendrai ça comme un accord pour prendre ton sang .

Je commence à pleurer, en plus d'avoir perdu mon piano , je perds, un de mes endroits préféré pour me relaxer .Shuu me regarde :

Shuu : Qu'est ce que c'est chiant .

Il s'assoit derrière mon dos et m'enlace de ses bras , ses jambes dépassait alors que les miens étaient sous ses fesses . N'ayant que ma fine chemise blanche , déboutonnée, je sentait que tout le torse et les mains de Shuu étaient glacés .

Shuu : Tu es si chaude et réconfortante .

En ce moment, c'était plutôt lui qui était réconfortant mais je n'y prêtait aucune attention.

Shuu : J'entends ton coeur battre  .

Alors que j'avais le hoquet que nous donnent les pleurs , je me demandais si le parfum de mon sang ne l'enivrai pas , s'il allait me mordre mais rien de ce genre , Shuu était collés à moi et profitait de la chaleur que donnait mon corps .

Moi : Ce n'est pas plus mal, me disais-je lorsque la cloche de la fin des cours sonna .

 Shuu se leva et m'aida à me lever, d'un revers de main , j'essuyai mes larmes et le suivit . Mon nez était un peu rouge et je tremblai . 

Shuu(soupir): Tiens .

Il me tendit la veste qui avait sur ses épaules , celle de l'uniforme .

Moi( un peu rouge ) : merci .

Il me prit la main et nous marchâmes jusqu'à la voiture .

Diabolik lovers : un sang nouveauWhere stories live. Discover now