- Oui !

Violetta fut ravie de l'article d'Angie et donna son autorisation pour qu'il sorte le lendemain matin. Durant le reste de la journée, Violetta s'entraîna sur "Vulcain" tranquillement afin de ne pas trop le fatiguer. L'entraînement ne dura qu'une vingtaine de minutes puis elle le pansa et lui cura les sabots. León avait également lu l'article et le trouva parfait aussi. Angie les remercia puis s'en alla au siège du journal pour le faire lire à son rédacteur en chef.

Il déposa l'article sur son bureau, et encore si on pouvait appeler ça un bureau, car des piles de papiers et de dossiers recouvraient le bureau sur lequel était posée une tasse de café qui devait certainement être froid.

Germán Victorio promit de lire l'article dès la fin de sa réunion qui allait avoir lieu dans quelques minutes et où il était en retard comme d'habitude.

Angie quitta le journal pour rentrer chez Pablo. Elle arriva quarante-cinq minutes plus tard, embrassa Pablo puis alla se changer pour dîner. Elle descendit les escaliers dix minutes après.

Ils dînèrent puis discutèrent de leur vie ensemble.

Au haras de Violetta et de León, ils purent enfin dormir ensemble dans leur lit après que Violetta ait passé trois nuits dans la grange à surveiller son cheval qui est aussi son ami. León se fit très tendre avec son épouse. Ils firent de longs câlins qui aboutirent à ce qu'ils fassent l'amour. Il était toujours doux dans ses gestes, ils se caressèrent mutuellement, s'embrassèrent passionnément, et s'endormirent dans les bras l'un de l'autre, Violetta avait sa tête dans le creux d'épaule de León.

Le lendemain matin, León alla préparer le café pendant que Violetta continuait de dormir. Elle avait des heures à rattraper. Elle se réveilla à huit heures et demie mais paniqua un peu car elle devait aller s'occuper des chevaux et plus particulièrement, de "Vulcain".

León arriva dans la chambre avec le plateau et vit son épouse en train de s'habiller en quatrième vitesse.

- León, tu aurais pu me réveiller ! dit-elle sur un ton autoritaire.

- Je n'ai pas voulu car tu dormais tellement bien et puis, reconnais-le, ça t'a fait du bien ? lui demanda-t-il en posant le plateau sur un meuble.

Puis, il s'approcha de Violetta, la prit par la taille, la tira vers lui et l'embrassa passionnément et langoureusement.

- León... je te remercie... mais je n'ai... pas le... temps, je dois m'occuper... de "Vulcain"... et des autres... chevaux, dit-elle entre les bisous de León.

Il n'en fit qu'à sa tête et serra un peu plus Violetta afin qu'elle ne s'échappe pas. Il continuait à faire courir ses lèvres un peu partout sur son épouse : le cou, les joues, les lèvres, encore le cou. Il la déshabilla tendrement, déposa des bisous sur ses épaules puis fit tomber le t-shirt et deux minutes plus tard, le pantalon. Violetta était nue ou plutôt en sous-vêtements devant León. Elle fut assez émoustillée par conséquent, fit de même à León. En moins de temps qu'il ne le fallait, ils se retrouvèrent entièrement nus l'un contre l'autre et León l'amena jusqu'à leur lit, la renversa puis se coucha sur elle. Il l'embrassa partout. Ils firent l'amour une nouvelle fois tout en prenant leur temps.

Après ce délicieux moment de plaisir, León insista auprès de Violetta afin qu'elle mange un peu. Donc, elle s'assit sur le lit, León posa le plateau sur ses jambes et ils prirent leur petit déjeuner au lit. Après avoir mangé quelques tartines, bu leur café et un verre de jus de fruits frais, chacun prit une douche, s'habilla puis vaqua à ses occupations.

Deux heures s'étaient écoulées et le livreur de journaux lança le journal que León ramassa deux minutes plus tard. Il rentra tout en dépliant son journal pour lire l'article d'Angie. Il le chercha puis tomba dessus et commença à le lire :

Un amour interdit *Finie*Where stories live. Discover now