Epilogue.

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-Zayn ! T'es prêt ?! Cria le plus vieux, du salon.

-Ouais deux secondes c'est bon, roh...

-Non, on va être en retard, comme d'hab' quoi !

-Oh, commence pas sinon t'y vas tout seul.  Ma cravate est bien mise ?

-Mais on s'en fou de ta cravate ! Oui t'es très beau, le plus beau, le plus parfait, c'est pour ça que je t'aime.

-Je sais que tu m'aimes ! Sourit fièrement le métisse.

Les deux jeunes hommes se dirigèrent vers la voiture du Pakistanais. Louis le regardait avec ses yeux qui brillaient. Il était heureux comme jamais il ne l'avait été. Il ouvrit la fenêtre de la voiture, ferma les yeux et respira un grand coup l'air frais qui fouettait son visage d'ange.

-Hé, Lou, t'endors pas...

-Je m'endors pas, je profite de ce moment...

-Oh... Sourit-il. J'suis heureux...

-Moi aussi, plus que jamais.

-Tout ira bien, et sache que je te laisserais jamais.

-Je le sais, moi pareil...

-Ew, on est niais, c'est abusé...

-C'est mes hormones ! Je suis trop excité, faut que je me calme...

-Ouais, j'ai pas envie que tu me sautes dessus pendant que je conduis parce que tu peux plus contrôler tes pulsions animales hein !

-Ta gueule abruti ! Ria le plus vieux.

La voiture s'arrêta sur le parking, juste derrière le vieux bâtiment. Les deux jeunes hommes descendirent, Louis remit sa chemise correctement, et passa sa main dans ses cheveux légèrement relevés avec du gel. Zayn souriait en le voyant, il ne pouvait pas être plus fier de son Louis que maintenant.

-J'ai peur...

-Hé, Lou, je suis là... Tout ira bien, t'es baisable, pas autant que moi, mais ça passe, puis y'aura ta famille, nos amis... Oh, allons-y !

Zayn prit Louis par la main et l'entraina à l'intérieur. Celle de Louis était moite, tant le stress s'extériorisé.

-Ah enfin ! S'écria Johannah. C'est pas trop tôt !
-C'est Zayn - C'est Louis. S'écrièrent les garçons en même temps.

-Bien sûr, vous êtes pas croyable tous les deux, pire que des gosses !

-Tout est prêt ?...

-Oui, Lou, c'est l'heure...

Zayn s'éloigna, Johannah glissa son bras dans celui de Louis qui souffla un grand coup. Elle lui embrassa tendrement la temps avant d'avancer doucement dans l'allée centrale.

-Non ! Non je peux pas !

-Quoi tu peux pas ! Louis bordel...

-Non et si-...

-Et si rien ! Tout va bien se passer, il t'aime, tu l'aimes...

-Il m'aime, je l'aime...

-Allons-y mon cœur...

Louis reprit le chemin, accompagné de sa maman, de l'allée centrale. Il aperçu tout au bout celui qui était devenu sa raison de vivre depuis déjà 6 ans. 6 longues années d'amour bien sûr, mais aussi de disputes, de tendresses, de cris, de pleurs, d'insultes, de mise à l'écart, de peur, de doutes, de sexe, de passion, de romantisme et de bonheur... 6 ans que le bleu avait plongé dans le vert et que le vert s'était perdu dans le bleu. 6 ans que Louis était tombé dans le tourbillon de l'amour, 6 ans qu'Harry avait chaviré dans cet océan qu'est l'amour. 6 ans de Louis et Harry et d'Harry et Louis.

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