Chapitre 38 : La sérénade mortelle des sirènes

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Sonya : Allez, les filles ! Détruisez tout !!

Ouaiiiiiiis !

Gardes : Que...?

G : Elles n'ont plus de chaînes !

G2 : Vite, neutralisez-les !!

Puis, les filles se jettent sur les hommes, toutes en furie

Sonya : Schéhérazade ! Lianna ! Allez trouver le maître ! Nous on s'occupe d'eux !

Li : D'accord !

S : Merde... Il y a plusieurs bateaux...

Li : Évidemment... Ils ont mis tous les esclaves dans un seul bateau, et les autres, ce sont des bateaux avec de la vraie marchandise.

S : Comment on va savoir où il est, alors ?

Li : On va interroger les gardes postés sur ce bateau. Retournons voir Sonya !

S : Ok !

Ils retournent voir les autres esclaves, puis constatent qu'elles ont fait prisonnier les soldats.

Li : Ouah, c'était rapide !

S : Eh, toi, le soldat. Où est Shiratori ?

Soldat : Vous croyez que je vais vous le dire ??

Li : Il se trouve sur le bateau de la "sirène".

Soldat : ?!

S : Le bateau de la sirène ?

Li : Oui, c'est là où il y a une sirène sur.. Le devant du bateau.

S : Une sirène, hein ? Ha ! Quelle ironie. Y-a-t-il des sirènes parmi vous ?

Sonya : Oui. Nous sommes 15 sirènes.

S : Bien. Alors que dites-vous d'un petit plongeon pour séduire ces hommes ?

Sonya : Cela me va.

S : Quels idiots. Ils nous ont amené sur le terrain de jeu des sirènes. Allez, allons-y.

Li : Et moi, je fais quoi...?

S : Euh... Occupe-toi des blessés !

Li : Hein ?

Puis, les sirènes se mettent à plonger dans l'eau. Ensuite, elles vont vers les navires et se mettent à chanter.

Homme : Ouah, vous entendez ? Quel son mélodieux !

Soldat : C'est vrai ! Quel chant magnifique ! Attendez-moi, j'arrive vous rejoindre !

Puis, un premier soldat se jette à la mer, suivi de près par plein d'autres hommes.

Shiratori : Merde ! Elles utilisent leurs chants pour essayer de nous noyer ! Il faut résister !

Homme : Maître, nous n'avons plus le temps. Tous nos hommes se jettent à l'eau en entendant leurs chants.

Shiratori : Dans ce cas, nous n'avons plus le choix ! Il faut partir ! Viens avec moi, prenons une barque de secours ! Mettez de la cire dans vos oreilles, je vais en faire de même !

Homme : Bien !

Puis, ils montent dans la barque et commencent à s'éloigner du bateau. L'homme rame aussi vite qu'il le peut, puis, ils voient une personne, qui vient mettre ses bras croisés sur la barque, et qui les regarde avec un sourire provocateur. C'était Schéhérazade.

La rose sanguinaire IIWhere stories live. Discover now