𝘁𝗿𝗲𝗻𝘁𝗲

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𝙡𝙪𝙘𝙞𝙖

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𝙡𝙪𝙘𝙞𝙖




𝗺𝗮𝗶 𝟮𝟬𝟬𝟵

Je pose mes pieds dans la maison alors que je vois tous les gars partir en courant devant moi me faisant rire joyeusement de les voir comme ça.

De mon côté, je marche tranquillement jusqu'à l'étage. De toute façon je suis la seule à avoir une chambre pour moi toute seule donc peu importe, je sais que je serai bien.

On est à Biarritz pour la semaine.

C'est notre cadeau d'anniversaire à Nabil et moi.
Nos vingt ans se sont déroulés le mois dernier, et comme depuis que je suis arrivée aux Tarterêts on a fêté ça ensemble. Seulement cette année j'ai un peu forcé la main aux garçons pour qu'on fasse une soirée en petit comité, ils ont accepté et ça a été une super soirée d'anniv'. Au moment de souffler nos bougies ils nous ont tendu une enveloppe commune ou dedans ils nous annonçaient qu'on partait pour Biarritz quelques semaines plus tard. Malheureusement tout le monde n'a pas pu se libérer, c'est déjà ouf que mon frère et Tarik ont pu se être libre en même temps, on va pas en demander trop.... Mais ça reste incroyable, il y a quand même mon acolyte Lucas, Kemil, Karim, Samy et sa copine qu'on a vu quelques fois qui s'appelle Leïla. Elle est super mignonne et elle a l'air très gentille donc je pense pas qu'elle posera problème pendant ce séjour même si on la connaît pas tellement encore.

   —   Lu', viens voir !, s'exclame la voix de Nabil que je reconnais de loin.

J'accélère le pas en essayant de me guider du mieux que je peux rien qu'au son de sa voix. J'arrive devant le grand brun qui m'offre un sourire avant d'ouvrir une porte en attrapant ma valise comme si c'était un gentleman.

   —   Je t'ai réservé ta chambre, il me dit en me laissant entrer avant lui dans la pièce, moi je dors juste en face avec Tarik, il m'explique en souriant.

   —   Ah ouais, je comprends pourquoi tu m'as réservé cette chambre alors, je le taquine et je vois que ma réponse le déconcerte quelque peu me faisant sourire à mon tour. 

   —   Y a moyen que tu te réveilles pas seule des fois, j'avoue, il me répond une fois qu'il a repris contenance.

J'arrive pas m'empêcher de sourire alors que je sens mes joues se gorger de sang. J'ai l'impression de revenir au moment où on flirtait au lycée. Purée... on a bien grandi depuis, et surtout, il s'en est passé des choses depuis cette époque.

   —   Vas-y, les gars veulent qu'on aille se baigner, je t'attends en bas ou tu veux que je t'aide ?, il me demande avec un sourire qui se veut charmeur.

   —   Dégage de ma chambre gros beauf, tu me dégoûtes presque, je soupire en rigolant en même temps alors que je le pousse pour qu'il parte de ma chambre.

𝗶𝗻𝗱𝗶𝘀𝘀𝗼𝗹𝘂𝗯𝗶𝗹𝗲 | 𝗻.𝗼.𝘀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant