𝙤𝙢𝙣𝙞𝙨𝙘𝙞𝙚𝙣𝙩𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟬𝟱
Un regroupement se créait au fond de la cours de récréation. Les cris résonnaient tout autour de cet attroupement et très bientôt tous les élèves du lycée allaient rejoindre le fond de l'école pour observer la scène.
Au milieu, une petite brune était assise par terre, un air nonchalant sur le visage alors que deux grands caïds crachaient des paroles qu'elle ne comprenait même pas à son sujet. Elle s'en foutait presque de ce qui était en train de se passer.
Au loin, un grand brun observait la scène. C'est intrigué qu'il s'approchait du monde attroupé. C'était habituel que dans ce lycée il y ait des bagarres, mais cette fois ci il ne voyait qu'aucun coup n'était porté. Il ne voyait même personne en face des deux mecs qu'il n'appréciait pas et ça l'intriguait.
Il se faufila dans l'attroupement et il finit par se poster derrière les deux gars qui s'excitaient sur une pauvre fille.
— Salle grosse, lève toi un peu, va courir faut que t'élimines toutes les pâtes que t'as mangé dans ton pays.
Sans attendre, Nabil attrapait la capuche du blondinet devant lui pour le retourner et saisir le col de son sweat. Lorsque les iris noirs de colère du jeune algérien rencontrait les yeux bleus de l'harceleur, il pris peur. Nabil Andrieu. Ce nom qui refroidissait automatiquement les gens du lycée.
Nabil était un gentil jeune homme, peut être même trop gentil avec les gens qu'il aimait mais il avait une réputation de dur à cuire, son père étant le gangster du coin il n'était pas épargné de cette étiquette lui aussi. Et au fond, ça ne le dérangeait pas, il aimait être comme papa.
— Tu joues à quoi sale merde ?
La voix dure du brun retentit et automatiquement les cris d'encouragements s'arrêtaient.
Le blond avait perdu la grande gueule qu'il avait devant l'italienne et maintenant il baissait même la tête.
— OH ! Le cri de Nabil fit relever la tête du blondinet alors que le grand brun plaquait le corps frêle de son adversaire contre le mur derrière lui. Tu veux jouer au grand hein ? Tu veux t'attaquer à une meuf sans défense, il haussait le ton, bah ouais, il rit amèrement, tu sais faire que ça.
D'un geste brusque il claqua le dos du blondinet contre le bâtiment alors qu'il geignait de douleur. Puis Nabil se retourna pour s'approcher du deuxième mec qui se croyait tout permis.
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𝗶𝗻𝗱𝗶𝘀𝘀𝗼𝗹𝘂𝗯𝗶𝗹𝗲 | 𝗻.𝗼.𝘀
Fanfiction𝗟𝗲𝘀 𝗮𝗺𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀𝘀𝗲𝘀 𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗺𝗲̂𝗹𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀. 𝗗𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲 𝗺𝗲́𝗹𝗮𝗻𝗴𝗲𝗻𝘁, 𝗗𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗶𝗻𝗰𝗼𝗺𝗽𝗿𝗲́𝗵𝗲𝗻𝘀𝗶𝗯𝗹...