Chapitre 18

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ATTENTION ! Ce chapitre contient une scène de sexe détaillée.

Nikolaï

Putain, mais qu'est-ce qu'elle foutait. Je savais qu'elle jouait, qu'elle avait une idée derrière la tête. Sa main, qui était posée sur ma cuisse et qui remontait lentement vers mon entre-jambes en était la preuve. Elle voulait me torturer, et j'allais jouer avec elle également. On était assis autour d'une table avec une vingtaine d'autres associé et leur femme. Lucia était assise sur le siège à ma droite, elle écoutait distraitement ce que la conversation des autres et elle avait une main sous la table. Et cette foutue main était en train de me toucher. Comment pouvait-elle avoir un visage aussi neutre alors que j'avais du mal à me contenir et à afficher un visage sans émotion. Tout ce que j'avais envie de faire, c'était de la soulever et de l'allonger sur cette table afin de lui faire tout ce qui me passait par la tête. Cependant, je devais me contrôler, au moins jusqu'à ce que l'on soit sur le chemin vers mon appartement.

Je posais ma main droite sur sa cuisse et elle sursauta légèrement. Un sourire en coin apparut sur mes lèvres qui disparut immédiatement. Ma main remonta doucement vers son entrejambe, tout en caressant l'intérieur de ses cuisses. Elle les serra pour m'empêcher d'aller plus loin, je forçai sauf qu'elle m'attrapa la main et la posa sur ma cuisse. Sa chaise grinça, elle se leva, réajusta sa robe et s'excusa auprès des autres, prétendant avoir besoin d'aller aux toilettes. Je la regardais s'éloigner d'un pas précipité. Elle cherchait à me fuir, sauf qu'elle ne pouvait pas. Elle n'allait pas passer toute la soirée aux toilettes, les autres s'en rendraient compte. Je me levais à mon tour tout en m'excusant. Heureusement que cette réception avait lieu chez un de mes associés et que les toilettes se trouvaient à l'écart. Je toquai en attendant une réponse de sa part.

— Qui est-ce ?

— Ton époux.

Il eut un moment de silence avec que la porte ne s'ouvre et que je sois entraîné à l'intérieur de la pièce. Elle referma la porte derrière moi avant de me plaquer sur le mur derrière moi. Je n'eus même pas le temps de réaliser ce qu'il se passait que sa bouche était déjà sur la mienne. Un grognement de surprise m'échappa, remplacé par un gémissement. Instinctivement, mes mains se posèrent sur ses hanches que j'attrapais fermement en intensifiant le baiser. Ce n'était pas un baiser doux et passionné. Elle se déchaînait sur ma bouche, s'agrippant à mon cou comme si j'étais quelque chose qui lui était vital. Je ne me plaignais pas, savourer la saveur de ses lèvres après tout ce temps était la chose la plus belle qui ait pu m'arriver aujourd'hui. Mes mains descendirent jusqu'à ses fesses parfaitement moulées dans cette robe avant de les serrer avec force. Un gémissement s'échappa de sa bouche et elle colla son corps au mien en frottant sa cuisse contre mon érection croissante. Je grognai avant de la retourner et de la plaquer sur le mur où j'étais il y a quelques secondes. 

Nos gestes sont rapides et non réfléchis. J'oubliais le fait que nous étions dans les toilettes de la maison d'un de mes associés. Cependant, je n'en avais rien à faire, je ne contais pas nous laisser sortir d'ici autant frustré. Tout en continuant à nous embrasser, elle retira ma veste qu'elle laissa tomber à nos pieds. J'en profitai pour retirer les bretelles de sa robe qui tombèrent sur ses épaules. Mes baisers tracèrent un chemin de sa bouche jusqu'à son cou, je m'attardais sur cet endroit qui la faisait gémir un peu plus fort avant de descendre en apportant avec moi le haut de sa robe. Ses seins s'exposent à moi et un gémissement plaintif sortit de sa bouche. J'attrapai ses mains, l'incitant à mettre ses bras sur sa tête. Avec ma main gauche, j'attrapai ses poignets pour qu'elle ne bouge pas. De cette manière, elle était totalement offerte à moi et je pouvais m'occuper d'elle. Mon regard se posa sur son visage, la regardant avec admiration. Ses pupilles étaient dilatées, ses lèvres entrouvertes et ses joues légèrement rosées. Je posai un baiser sur ses lèvres avant de descendre pour me retrouver face à ses seins. Ses mamelons étaient durs et dressés vers moi, je ne résistais pas à la tentation. 

Ma bouche se posa sur son sein gauche et ma langue s'enroula autour de son mamelon. Le gémissement étouffé qui s'échappa de la bouche de Lucia me prouva que ce que je faisais lui plaisait. Une fois que j'eus fini, je m'attaquai à l'autre sein, lui réservant le même sort. Je le léchais, le mordais et le suçais. Je commençais à embrasser son ventre en descendant vers son intimité tout en entraînant sa robe et en lâchant ses poignets. Une fois que je fus arrivé au niveau de ses cuisses, elle m'aida à retirer sa robe en soulevant les jambes pour faire passer le tissu sous ses pieds. Je le jetai à l'autre bout de la pièce et un bruit sourd retentit. À l'unisson, nous nous tournions vers la provenance de ce bruit. La robe avait atterri sur un meuble avec plusieurs rouleaux de papier toilette les faisant tomber. Un petit rire s'échappa de la bouche de Lucia avant d'être rapidement remplacé par un gémissement de plaisir lorsque mon doigt effleura son intimité. Elle était presque nue, seulement vêtue d'une culotte alors que j'étais totalement habillé. Les mains de Lucia se baladaient sur mon corps me procurant des frissons. 

Elle commença à déboutonner ma chemise qu'elle retira en un rien de temps avant de s'attarder sur la ceinture de mon pantalon. Elle prit un malin plaisir à m'effleurer et à prendre son temps avant de baisser mon pantalon. Nous étions maintenant dans le même état, presque nus et excités. Je bondis sur sa bouche la dévorant à nouveau, je me collais à elle et elle en profita pour se frotter à mon érection. Je glissais une main dans sa culotte et commençais à la caresser. Elle bascula la tête en arrière en poussant un long soupir. Mon pouce frottait son clitoris et j'insérais deux doigts en elle. Nous gémissions à l'unisson.

— Putain. Tu es tellement mouillée, grogna-t-il.

— La ferme !

Autoritaire comme la première fois. Contrairement à ce qu'elle pouvait penser, je n'avais pas oublié notre première rencontre et ce que nous avions fait. Je n'avais rien oublié de tout cela, ces images tournaient dans ma tête en boucle et ses gémissements résonnaient dans mes oreilles.

Je revins rapidement à la réalité lorsque sa main se faufila dans mon boxer et attrapa ma queue. Elle commença à faire des allers-retours sur celle-ci. Je gémissais tout en continuant de bouger mes doigts en elle. J'accélérais la cadence, provoquant ses gémissements de plus en plus bruyants. Quelques secondes, plus tard, elle explosa sur mes doigts, sa tête était posée sur mon épaule tandis qu'elle se laissait aller.

— Wow, lâcha-t-elle entre un rire.

— Wow.

La pièce retomba dans un silence que je finis par briser.

— Je peux te faire l'amour ?

— Euh..Oui.

Je commençai à l'embrasser à nouveau plus passionné que jamais.

— Il y a quelqu'un ? questionna une voix

Immédiatement, Lucia s'éloigna de moi en me faisant un petit sourire.

— Tes plans seront reportés pour plus tard, susurra-t-elle.


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Hello !! J'espère que vous allez bien ?

Alors je tenais à vous informer que ce sera difficile de poster des chapitres de mes deux histoires en cours car je suis dans un autre pays aveec 6 heure de décalage !

J'espère que ce chapitre vous a plu, n'hésitez pas à me faire des retours.

A bientôt !

Prenez soin de vous.

Don't break meWhere stories live. Discover now