la Pleine Lune

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il est terrifiant.

vadim : j.. JE... JE sais pas ce que vous voulez mes je n'est rien à vous donnez alors vous pouvez me laisser par_(coupe la parole)

l'homme au cicatrice s'avança et mi ça grande main sur ma bouche.

Cicatrice : chuuuuuuuuutttt chuuuuut chuuuuut. ne gaspille pas ta salive petit tsarevish .

ça fait depuis des années que on m'a pas appelé comme ça, la dernière fois que j'ai entendu ce surnom c'était quand j'avais 5 ans je ne comprends rien à ce qui ce passe.

cicatrice : si j'enlève m'a main tu me promet que tu ne coupera pas la parole ?

je fit oui de la tête.

cicatrice : bien.

Il l'enleva sa main et s'assit sur une chaise que un homme venait de placer juste derrière lui. Comme si il le servait. Il doit être super dangereux.

cicatrice : sait tu pourquoi tu et la ?

vadim : non.

cicatrice : très bien alors on va essayer autre chose. Sait tu qui tu et ?

vadim : vadim t/n.

cicatrice : aa elle a fait fort ta mère, Faut Tu t'appelle vadim Alexandre lev junior Solntsevskaïa première héritiers de la famille Solntsevskaï.

vadim : c'est le nom de mon père ça. Je sais qu'il et puissant mes si vous voulez de l'argent alors envoyez lui une rançon et qu'on en finisse à la fin.

cicatrice : HHAHAHAHAHAHA un héritiers qui ne sais même pas ce qui ce passe. Tu fait honte à la mafia de notre nation petit.

vadim : qu.. Quoi ?

cicatrice : tu fait partie de la famille Solntsevskaïa cette famille et en quelques sortes le chef de la mafia de ce pays. Et quand ton père moura tu prendra ça place. Mes ça. Ça ne dépendra que de ton père. Car vois tu on a l'intention d'éliminer ton père et peut être toi après.

vadim : pourquoi ?

cicatrice : il est temps que le Solntsevskaïa s'éteigne. Et laisse place au petrov.

vadim : mes pourquoi vous me dites tout ça ?

cicatrice : pour que tu sache pourquoi tu et ici !

vadim : ça ne m'aide pas du tout je ne sais toujours pas pourquoi vous avez besoin de moi.

cicatrice :et bien vois tu. Ton père le Tsar et sortie de prison il y a un mois. Et il a mis 3 semaines à te retrouver toi et ta mère.

vadim : pourquoi il voudrait nous retrouver alors que ma mère communique avec lui tout le temps.

cicatrice : qui t'a raconté ça ?

vadim : ma mère.

cicatrice : on dirait bien que ta mère t'a élevé dans des mensonges mon grand. Remarque elle en cache une belle autre moitié cette salope.

vadim : JE T'INTERDIS D'INSULTER MA MÈRE SALE FILS DE PUTE.

il fronça les sil, s'approcha de moi et me cogna au visage. Ô mon dieux sa fait trop mal. Sa fait super mal. Ça brûle. On dirait qu'il a mis toute sa force. Il me pris la mâchoire et m'obliga à le regarder dans les yeux.

cicatrice : tu me manque de respect encore une fois et je peux te promettre que je t'offrirai le spectacle de regarder ta famille ce faire fusillé devant tes yeux.

je lâcha des larmes qui roula sur mes joues, la douleur de c'est mots et de ma joue me toucha au plus profond de moi. La peur de c'est cicatrice ce fit ressentir en moi. Comme la peste qui envahie un corps. D'abord sa prend du temps. Et d'un coup on ressent les effets que le virus inflige a notre corps.

cicatrice : tu tien vraiment de ta mère toi. Tu et magnifique quand tu pleure.

homme : eu chef. Le bosse vous attend pour votre rapport.

cicatrice : ta mère et toi avait la particularité de changer de couleur d'œils quand vous pleurer. C'est un spectacle magnifique.

Il caressa ma cuisse avant de passer sa main sous mon this short. Putain mes qu'est ce qu'il fou ? Mon dieux c'est un pédophile. Je me débattra et serra mes dents.

cicatrice : hahaha on dirait que tu et timide.

Il plonga son visage dans mon coue et me morda la chaire. Pour me défendre je lui morda de toute mes forces son oreille pour le forcer à me lâcher. Il cria de douleur.

cicatrice : HAAAAA PUTAIN DE MERDE.

il recula un peut et me gifla avant de m'attraper les chevaux et de me les tirer. Il sorta un couteau de ça poche et me coupa une mèche. Puis il partie avec c'est homme et ferma la porte à clé.

vadim : (souffle très fort.)

il faut que je sorte d'ici à tout pris.
j'ai peur. Tellement peur. Papa maman s'il vous plaît sauver moi.

PDV t/p :

je me réveilla dans un fauteuil avec une ceinture. Je ne me sens pas dans mon état normal. Pas du tout. J'ai la tête qui tourne. J'ai horreur d'avoir la tête qui tourne. J'ouvra les yeux et vue césar assis en fasse de moi avec fallon dans c'est bras qui dor.

t/p : on est où ? Ou est vadim ?

césar : on et sur le chemin du retour.

T/p : on va ou  ?

césar : dans mon empire.

Il parle de la russie ? non non non j'ai prie tellement de temps et de sueur pour lui échapper. Pourquoi.... Pourquoi.

césar : arrête de pleurer. Ce serait plutôt à moi de de le faire. Tu a vue dans quelle état tu a mis mon majordome ? Maintenant tu ne peux plus dire que tu es une sainte.

t/p : c'était de la légitime défense.

césar : n'essaie pas de trouvé des excuses. les putin n'ont pas le droit à des excuses.

t/p : ne me traite pas comme ça.

césar : comme quoi ? Comme la putin que tu est ? tu t'es joué de moi. Et tu crois que tu a le droit à du respect ? Hohoho m'a belle mes tu a quitté la réalité la ! attend toi à vivre un enfer noir de chez noir.

t/p :.......

c'est parole me font peur. Ô oui j'ai peur j'ai des frissons. Il a un regard totalement différent de celui de la dernière fois.

t/p : j... J........... Ou.... Ou est vadim ?

césar : ne me pose plus de question je suis fatigué.

t/p : je... JE veux juste s_(s'arrête)

il me lança un regard meurtrie qui voulait dire si tu parle encore une fois tu te retrouve dans un endroit vide et noir avec tout mes plus grand cauchemar qui me rangeron jusqu'à l'éternité.

Il tenais fallon comme si il avait fait toute sa vie. Et l'expression que fallon a elle a l'aire d'être dans le cocon familial. Elle ne sait même pas que c'est son père mes pourtant elle a l'aire heureuse. et moi qui voulait la protéger de ce malade. J'ai plutôt l'impression que c'est moi qui voulait me protéger de lui. Il n'aurait jamais été violent avec c'est enfants.

a suivre

Le Tsar de la mafia (en Réécriture) Место, где живут истории. Откройте их для себя