il A Grandi

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je me suis mise à la peinture c'est dernier temps et je peux dire que en faitent je me débrouille bien. Je peint des portraits de Annie, de Beth et rubi. elle me manque tellement. Je n'arriverait jamais à oublier le mâle qu'il m'a fait. J'ai même des envie de meurtre qui remonte. J'ai envie de les vengé. De lui infliger tout se qu'il m'a fait.de le faire souffrir. mes je ne sais pas si j'ai le droit il m'a fait des choses horrible mes il n'a rien fait à mes enfants. Ils vont peut-être me détesté. Comme avec Vadim. Le séparé de son père pendant 5 ans a amené des conflits entre nous. comment sa sera avec Fallon ? Qu'est-ce que je doit faire. Le faire pour moi ? Ou pour mes enfants ?

toc toc toc

je sur sautas et me retourna d'un coup sec. dans l'entre de la porte Vadim était la avec un cahier à la main.

t/p : oui mon chéri ?

Vadim : maman je n'arrive pas à faire cette exercice de maths.

t/p : a montre moi.

Il s'approcha et me montra son cahier.

Vadim : maman c'est qui c'est personne que tu peint tout le temps ?

t/p : c'est ta tante et mes amis.

Vadim : ce que papa a tuer ?

T/p :............. Oui..... Oui mon chéri.

je commence à avoir la gorge noué et les yeux humide. Vadim s'assit sur mes genoux et je lui fit un câlin.

Vadim : pourquoi ils et a tuer ?

t/p : je ne sais pas.

Vadim : et encore aujourd'hui il te fait du mal ?

t/p : non non ne t'inquiète pas.

Vadim : tu ne dit pas à pour me rassurer hien?

t/p : non mon chéri ou tu va chercher des trucs pareil enfin.

Vadim : maman.

t/p : oui mon chéri ?

Vadim : est ce que papa et une mauvaise personne ?

oui totalement mes je ne sais pas comment te le dire.

t/p : je...... Je ne sais pas. Je ne peux pas te répondre il faut que tu le découvre par toi même.

Vadim : d'accord......... a vrai dire maman j'en est marre d'étudier toute la journée je n'en est pas besoin.

t/p : c'est vrai que tu ne fait que sa depuis que nous sommes revenus. Je vais en parler à ton père.

Vadim : moi je lui est dit que j'en avais marre mes depuis qu'il snif son truc blanc il m'écoute plus.

T/p : attend quoi ?

Vadim : un ami à lui est venue lui rendre visite et je les est vue sniffer un truc qui ressemble à du sucre. Tu crois que c'est de la drogue ?

t/p : oui et il ne va pas s'en sortir comme sa.

je me leva et me pressa dans son bureau remplie de papier.

t/p : tu te fou de moi tu prend d ela drogue devant Vadim ?

césar : alors déjà bonjour madame et ensuite c'est pour m'aider à tenir le rythme de cette paperasse.

t/p : je m'en fou tu peux faire se que tj veux baisers ou fumer ce que tu veux mes pas devant les enfants c'est compris ?

césar : tu me donne mal à la tête arrête de crier s'il te plaît.

t/p : mes tu te rend compte de ce que et en train de faire ?

il bondissas de son siège et me plaqua au mûr d'un coup.

césar : chuuuut s'il te plaît ferme la. Ton rôle dans cette maison c'est de t'occuper de nos enfants et de m'accompagner au soirée officiel mes pas de venir me faire la leçon. La dernière fois pendant la Fusillade j'ai u peur que tu meurt à cause des enfants, et quand je te câliné c'est parce que je recherche de l'affection que tu peux me procurer tout de suite maintenant. Alors arrête de te faire des idées et redescend de ton pied dèstale ici c'est moi qui commande et tu ne me fera pas non plus changer d'avis sur l'éducation de Vadim. (regard noir)

t/p : son éducation c'est à moi de m'en occuper et je ne me suis jamais fait d'idée. Jamais je ne pourrai aimer une ordure de ton espèce maintenant lâche moi. (se débat)

césar : C'EST MOI QUI COMMANDE ICI. IL GARDERA C'EST LEÇON QUE SA LUI PLAISE OU NON.

il se décolla de moi et sortie une boîte de la poche de son costard noire corbeau. Il ouvra et snifa une partie de son contenu avant de mettre sa tête en arrière.

césar : ahhhhhahaha c'est tellement bon.

t/p : t'es un malade.

Je sorta de son bureau avac des marques sur mon coup. Vite la salle de bain il faut que je les caches.

Je partie dans ma salle de bain pour cacher les marques. Mes la porte s'ouvra sur césar.

césar : ou tu va comme sa toi je t'es pas dit de partir.

il est drogué.

t/p : va t'en c'est ma salle de bain ici.

césar : cette demeure m'appartient donc la salle de bain ou tu et aussi m'appartient d'ailleurs toi aussi tu m'appartient.

t/p : dégage de la.

Il n'est pas dans son état normal. Du tout.

Cesar : osé encore une fois me dire sa et je te fou a la cage.

t/p : tu doit vraiment te faire soigner.

césar : d'en ce cas tu sera mon docteur tu veux pas jouer avec moi.

il s'avança avec un regard de pervers. Non non stop je n'en peux plus stop.
Pas sa.

T/p : ne m'approche pas.

césar : chuuuut.

j'attrapa un vase en verre derrière moi et lui lança sur la tête. Il éclata en mille morceaux.

césar : tu a osé ?

non laisse moi ne me touche pas.
J'ai encore la gorge nouée et des larmes sorte toute seule. Pourquoi il est comme sa pourquoi ma vie et comme sa. Qu'est-ce que j'ai pu faire ? Dite moi je veux savoir REPONDER MOI BORDEL DE MERDE

Il m'attrapa les cheveux m'entraîna dans le petit salon et me jetta par terre violament.

césar : QU'EST-CE QUE JE T'AVAIS DIT HIEN ?

il comma a me roué de coup de pied partout sur mon corps. S'en épargné mon visage. Je pleura et le supplia d'arrêté. Oui je me suis trompé je pensais pouvoir transformer ma tristesse et ma peur en haine contre lui mes j'ai toujours trop peur de lui je ne fait pas du tout le poie.

césar :t'es qu'une merde tu me sert plus à rien j'aurai du choisir une des autres filles avant de les tuer.

Je cracha du sang, pleura et cria de douleur pour qu'il arrête. Il attrapa une bar un fer pré de la cheminée prêt à me faire encore plus mal.

mes au lieu d'une autre douleur sur mon ventre j'entends une détonation forte dans la pièce. Je regarda césar qui ne bouga plus mes resta debout. Sa chemise se tacha de rouge sang,il s'effondra sur le sole il a pris une balle. Une balle en plein cœur. Il ne respire plus et ne bouge plus. Il et mort ? Je me tourna vers l'entre d ela porte et vue Vadim avec une arme à la main. C'est lui qui a tiré. Je me précipita vers lui et lui pris l'arme avant de la jetter à l'autre bout de la pièce.

Vadim : maman maman tu va bien ? (larme au yeux)

t/p : mon chéri vien dans mes bras ne regarde pas.

Vadim : je suis désolé maman. Pardon mes je les vue il t'a fait du mal beaucoup de mal je suis désolé. C'est une mauvaise personne. (pleure)

t/p : tout va bien mon chéri. Chuuuut calme toi tout va bien.

A suivre

Le Tsar de la mafia (en Réécriture) Unde poveștirile trăiesc. Descoperă acum