Le Tsar de la mafia (en Réécriture)

le Téléphone

après être sortie de la pièce je pris mon téléphone et appela yannis

césar : tu va me rendre un service

Yannis :eu ok déjà bonjour

césar : je rend leurs liberté au filles que ru m'a amené

yannis : quoi pourquoi elles ne te plaisent pas ?

césar : je n'en garde qu'une alors tu peux libéré les autres, je te laisse gérer les petits détails.

Yannis : bon OK après tout c'est toi le chef.

je racrocha sens plus de mot. J'ai respecté ma part du marché, il ne me reste plus qu'à me marier et avoir un héritier pour avoir les dernières part de l'entreprise familiale.

PDV Yannis :

Putain il me fait vraiment chié, toujours à me parler comme de la merde de chien, tu verra quand Dimitri prendra le pouvoir tu fera moin le malin fils de pute.

allé calme toi yannis, supporte la encore un peu ce sera bientôt terminé. Pour le moment je vais m'occuper personnellement de c'est jeunes filles.

PDV césar :

Après avoir gérée les affaires à l'extérieur je retourna à la résidence pour parler à mon père. Il faut quand même que je lui annonce la nouvelle.

Après le mariage mes parents partirons prendre leurs retraite en Autriche. Alors j'aurais absolument toutes les affaires familiales sur le dos.

césar : père j'ai trouvé une femme

ma voix ce fit entendre jusqu'au oreilles du vieillard plongé dans son livre, il leva les yeux vers les miens

père : c'est vrai ? Mais c'est merveilleux ! Ta mère va être ravis.

césar : j'en suis sûr oui

père : tu compte nous la présenter quand ?

césar : demain, après tout c'est ma fiancé je ne peux pas vous la cacher.

Père : je vais enfin pouvoir prendre ma retraite, tu m'en vois ravie. Comment s'appelle telle ?

Comment s'appelle telle ? Je n'en sais rien, pourquoi je ne sais pas comment elle s'appelle ? je ne lui est jamais demander ?

César : patience père, vous la verrez demain.

père : tu tien tellement à la garder secrete, tu doit la chérir haha.

césar : ô que oui père vous n'avais pas à vous en faire.

(éclipse 5 heure)

Après avoir travaillé tout le reste de l'après midi je manga un morceau et monta me coucher. En ouvrant la porte de la chambre je ne la trouva pas dans le lit. Mais où et t'elle ? Je fie le tour de la chambre sens la trouver.

Non elle n'a pas fait ça ? Haha qu'elle est stupide je me précipita vers ma commode pour prendre mon arme et remonta mes gants

puis la porte de la chambre s'ouvra sur elle, elle marché sur la pointe des pieds comme pour ne pas ce faire remarqué. Alors elle ne c' est pas enfuis, mais d'où vien telle exactement ?

Elle me remarqua et arrêta tout de suite d'être silencieuse, elle me cache quelque chose. Elle pris peur de la situation en voyant mon regard noir et sévère ainsi que mon arme à la main

César : d'où est ce que tu vien ?

daria : je.. Je suis aller prendre l'aire

je m'avança vers elle et la plaqua au dos du canapé du petit salon

césar : ne me mens surtout pas ou ta punition pourrais arriver plus vite que prévue.

daria : qu''.... Qu' ele... Qu'elle punition ?

césar : ou tu étais !!

Mon thon devenais de plus en plus menaçant.

daria : je ss.. Suis aller voir si.. Si mes amis étaient encore ici.

césar : tu me dégoûte.

je la basculant en arrière ou elle atterrissa sur le canapé, je me mis à califourchon sur elle. Pourquoi elle s'inquiète tellement pour c'est personne insignifiante ?

daria : qu'est ce que tu fait lâche moi !!

césar : t'es toi !

daria : NON

césar : tu me doit obéissance !

daria : laisse moi.

elle ce mis à giguotter dans tout les sens pour échapper à mon emprise, mes cela et peine perdu.

daria : J'AI DIT NON !

elle me gifla de toute sa force. Elle vient vraiment de relever la main sur moi ?

césar : petite salope !

je lui rendis gifle avant de plonger ma bouche dans son cou. Il faut qu'elle comprenne qu'elle m'appartient désormais, elle ne peu pas ce permettre ce genre de choses. Je lui morda le cou presque jusqu'au sang, elle hurla de douleur avant de battre des pieds.

césar : tu et a moi ! Tu doit m'obèir ! C'est compris ?

je la vie en larme détournant son regard du mien, j'ai horreur de ça
Je lui pris le manton pour l'obliger à me regarder.

César : quand je suis dans la pièce tu a interdiction de détourner ton regard du mien c'est clair ?

Elle fit oui de la tête en fermant les yeux, j'essuya c'est larmes avec mon pouce avant de l'a porter jusqu'au lit.

On s'alonga dedans, je pouvais l'entendre couiné et trembler, elle doit avoir peur de moi. D'ailleurs comment s'appelle telle ?

César : c'est quoi ton prénom ?

Daria : daria

césar : c'est jolie, ils vont aimé.

daria : qui va aimer ?

césar : mes parents.

daria : comment sa ?

césar : j'ai peut être oublié de te le dire

daria : quoi ?

césar : tu va m'épouser.

daria : quoi? Mes tu ne ma rien dit sur ça !

césar : tu ne m'a pas demandé.

daria : c'est pas ce qui était dans l'accord.

césar : l'accord est que tu fait tout ce que je te dit de faire alors si je dit que tu vas m'épouser, tu m'épouse.

Je me tourna vers l'autre côté du lit avant de plonger dans mon sommeil.

PDV daria :

Il ma fait atrocement mal, comment des gens comme lui peuvent t'ils exister. Qu'es ce que je suis censé faire m'enfuir ? C'est peine perdu, non daria n'abandonne pas.

A suivre :