Save me [Jimin]

Chapter twelve ~ His home

Bonjour les amis ! Je suis trop contente de vous poster un chapitre, chapitre que j'ai particulièrement aimé écrire. J'espère aussi que vous l'apprécierez...Bonne lecture💜.

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Mais elle n'eut le temps de dire quoi que ce soit que Jimin s'avança rapidement vers elle.

Elle poussa un cri étouffé au moment au Jimin bloqua son corps contre la porte à l'aide du sien, une main sur sa bouche pour empêcher tous cris.

En un clic, il éteignit son micro.

« Shht », dit-il en pressant son corps un peu plus, la jeune femme ne pouvant plus faire aucun geste, car la deuxième main de Jimin maintenait les siennes derrière son dos.

Ses yeux étaient grands ouverts alors qu'elle le regardait, une larme coulant jusqu'à la main de Jimin. Elle respirait rapidement, son ventre se soulevait et s'abaissait avec force.

Elle ne pouvait pas parler.

Elle ne pouvait pas bouger.

Elle était piégée et à la merci de Jimin.

Elle avait peur.

« Je ne vais pas vous faire du mal, en aucun cas », s'exprima-t-il dans une voix douce. « C'est moi, c'est votre Jimin », il déposa un baiser appuyé sur son front, qui leur firent fermer les yeux, pour la rassurer.

Sa voix était remplie de sincérité, une voix douce et chaleureuse que pour elle.

Ils se fixaient longuement ensuite.

C'est votre Jimin.

Il évoquait une certaine appartenance, non, une claire appartenance envers elle. Il lui disait implicitement de ne pas avoir peur, car il ne lui ferait jamais de mal.

Pourtant, malgré la confiance qui s'était installée entre eux, elle n'était pas en mesure de se donner complétement à lui, au point d'avoir la sensation d'une certaine sécurité, car il y en avait pas pour elle.

Néanmoins, elle respirait un peu plus calmement malgré la position de domination qu'il arborait. Il était tellement plus grand qu'elle, plus fort alors qu'il l'étouffait par sa position.

Mais il renvoyait un sentiment de bien-être, ses yeux étaient doux et son pouce caressait sa pommette tandis que l'autre caressait ses poignets.

« C'est ça, calmez vous », souffla-t-il en souriant d'une manière rassurante. « Je vais retirer ma main sur votre bouche et sur vos poignets, mais il faut me promettre de ne pas crier », expliqua le blond.

Il était étrangement calme, pas du tout paniqué par l'idée de la situation.

Elle hocha la tête doucement.

Ses mouvements étaient lents et, comme il lui avait expliqué, il la laissa libre.

Son corps était toujours aussi proche, de quelques centimètres environ.

Ils se détaillèrent alors qu'une certaine tension prenait place dans cet espace si étroit.

Sa respiration s'entendait toujours, mais peu à peu, elle redevenait normale. Son visage lui renvoyait soudainement une certaine tranquillité, une assurance, une intimité, comme si ce n'était absolument pas un tueur.

D'un geste doux, il vint essuyer ses larmes grâce à son pouce. Elle sursauta partiellement et baissa les yeux.

« Tout va bien, hein ? Je ne vais pas vous faire du mal », il parla, son corps se rapprochant soudainement d'elle au point de le coller au sien.