fifth // you have five second for run

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Je vis Newt et Minho me tenir par les épaules, je regardai autour de moi nous n'étions plus qu'une petite dizaine dans la pièce, tout les autres s'étaient jetés sur la porte pour chercher leur chambre.

« - Par rapport à notre tatouage ? Je ne comprend pas, fis-je sans vraiment trouver le sens.

- Groupe A, Sujet A5, La Colle, dit simplement Minho tirant sur le col du t-shirt de Newt.

- Groupe A, Sujet A7, Le Chef. Bien que je ne pense pas que cela soit très important, fit Newt avant de s'avancer vers moi et me retourner. Pousse tes cheveux Lou que je puisse lire. »

Je m'exécutai et ramenai mes cheveux châtain devant moi, m'arrivant approximativement sur ma poitrine. Lorsque je sentis une pression sur mon épaule, je tournis la tête et vis Minho s'approcher et dire à voix haute. :

« - Groupe A, Sujet A9, La mère, déclara Minho. Quand j'y repense, ils ont vraiment bien choisit ton tatouage ! Fit-il avec un clin d'œil.

- Écrase Minho tu veux. Sur le tien ils auraient du mettre ; macho, ronfleur, sarcastique et enfin immature ! m'exclamais-je en rigolant. »

Je n'eus pas le temps de comprendre, que Mihno me pris par les hanches et me lançai par dessus son épaule. Je m'agrippai en entourant mes bras autour de sa taille en me tortillant dans tout les sens. Mon mal de tête refis son apparition pour mon plus grand bonheur.

« - Hé ! M'exclamais-je. Mais qu'est ce que tu fous tocard ! Repose moi de suite ! Aboyais-je.

- Pour ça tu dois me dire, réfléchi-t-il, « Minho c'est toi le plus grand, le plus fort, le plus beau et le plus doué de tout les chefs. Jamais je ne te désobéirais, je te suis soumise. », rigola-t-il à plein poumons.

- Non mais même pas en rêve, femme soumise c'est pas ici tocard ! Fis-je en lui pinçant les fesses. Pose moi maintenant ! M'énervais-je. Aide moi Newt au lieu de rigoler, lui ordonnais-je.

- Bon je vais dans ma chambre moi, on se rejoint où ? Déclara-t-il naturellement.

-Dans ma chambre, déclara le désigné. Avant je m'occupe d'elle et on se revoit après.»

Je tapais violemment contre le dos de Minho, quand je fus stoppée par une claque au niveau du bas de mon dos. J'entendais rire à gorge déployé, l'imbécile et immature personne qui nous servait de chef. Ce dernier me laissait tomber au sol, se préparant à courir.

«- Tu as cinq secondes pour courir en pleurant ta mère. Un, deux... hurlais-je le regard noir. Trois, Quatre, Cinq ! »

Je m'élançai à sa poursuite, m'engouffrant dans l'ouverture de la porte et vit un long couloir avec des portes de chaque côté. Une pointe de côté me signalai qu'il valait mieux que je ralentisse. J'avançai prudemment tout en regardant les panneaux accrocher à côté de chaque porte s'offrant, de part et d'autre, à moi. Au tout début du couloir il y avait essentiellement les chambres des filles du groupes B avec la chambre d'Aris, démarcation entre le Groupe A et B. Je m'attardais sur chaque porte. Il n'y avait même pas une chambre vide, destinée à Thomas ou aux autres.

Cela me fit un petit pincement au cœur, quand je m'arrêtai devant une porte avec comme panneau :

Groupe A, Sujet A9, La mère.

J'entrai donc, et découvris une chambre de taille raisonnable. Ce qui m'étonnai le plus c'est que la chambre n'était pas complètement blanche ; elle avait certain mur qui était couleur crème. La seule piqûre de rappelle fût les meubles tous blanc hors mis les draps du lit qui était gris. Elle contenait directement après la porte d'entrée à droite une autre porte qui devait être la salle de bain. A gauche de la porte d'entrée se trouvait une commode , à côté de celle ci se trouvait un porte manteau qui touchait le mur. Ensuite on avait un lit, peut-être pas deux places mais assez grand pour y dormir dans toutes les positions possibles et inimaginables. Il y avais une petite table ou plutôt un tabouret qui faisait office de table de nuit sur lequel était posé une lampe. Le lit se trouvait en face d'un bureau.

A côté du lit se trouvait une immense bais vitrée, donnant sur un semblant de balcon. Je m'approchai, l'ouvrant un peu et vis que le dit balcon reliée toutes les chambres de part et d'autre. Je levai la tête pour admirer le ciel, savoir à quel moment de la journée se passait tout cela, pour y voir un plafond blanc. Je fronçai les sourcils. Devant moi, en dessous du balcon, une immense salle blanche pour ne pas sortir de l'ordinaire, qui ressemblait à une sorte de cantine avec des tables partout dans la pièce.

Je m'éloignai alors de la fenêtre et m'engouffrai dans la dite salle de bain. Celle ci était blanche, légèrement rosé. Elle contenait une douche dans un coin de la pièce en diagonale à la porte avec deux serviette blanche posé sur la porte de douche, un lavabo de ce qu'il y a de plus banale et un miroir le surplombant. Je m'avançai de ce dernier pour admirer avec horreur mes cheveux en bataille, couvert de poussière, sale. Mon visage parsemée de petites égratignures, de sang séché et de terre. Mes pansements était submergés de sang. Je décidai de les enlever.

Je découvris sur le lavabo quelques accessoires pour les cheveux, du déodorant, une brosse à dent et du dentifrice et un savon. Je me lavai aussitôt les mains et le visage avec. En me retournant je pus voir une chaise avec des vêtements propres dessus ; un short blanc et un large t-shirt noir ainsi que des sous vêtements noirs. A côté de cette chaise se trouvait les toilettes. Ni une, ni deux, je me déshabillai et jetais-je mes vêtement sale par terre et m'engouffrais-je dans la douche, j'y vis du shampoing ainsi que du gel douche.

Bonheur, enfin je pouvais me débarrasser de toute cette crasse. Je me lavai le corps, ou plutôt me décaper la peau. L'eau chaude qui dégoulinai le long de mon corps était terreux, noirâtre pour ensuite devenir transparente. Je passai ma tête sous l'eau et enlevai tout le sang séché de mon visage, j'en profitai aussi pour me rincer les cheveux.

Au bout de, pour moi je dirais trois heures, j'attrapai la serviette qui pendait à la porte et m'enroulai dedans. Je pris la seconde et enroulai mes cheveux dedans. Je parti au lavabo pour me laver les dents. Après cela je pris les bandelettes qui étaient dans ma poche de mon jean, que Clint m'avait donné avant d'arriver ici, et les mise.

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Chapitre peut-être un peu long mais bon ! J'espère qu'il vous a plu et encore merci pour les 257 vues omg je vous aimes !

#Pâquerette ❀


The Maze Runner | L'Épreuve 3Where stories live. Discover now