chapitre 16: AMOUR OU AFFECTION

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En vrai, je parlerai sans état d'âme en disant ce qu'elle représente et ce qu'elle est dans le fond.
Car l'amour à deux facettes, une qui est merveilleuse et tend à devenir utopique et l'autre qui part d'un principe réel et naturel de survie de l'espèce face à son extinction. En vrai, ce ne sont pas ses deux aspects qui m'attire mais une autre facette se cachant en ses deux, insérant l'être et son désir d'acquisition matériel et immatériel des chose et de leurs données.

Nous ne sommes pas attiré par une chose que ce soit humaine ou matériel dans sa globalité, mais par l'essence majestueuse dissimulée en elle.
En parlant de l'être, l'humain ou plus encore, je dirais qu'il est attiré par l'intérêt qu'elle nous apporte et à bien y penser c'est ce principe même qui régit nôtre amour ou nôtre attirance pour une entité, vu sur un autre angle de perception. En vérité l'humain n'est pas attiré par l'humain mais du désir qui émane de l'humain et ce qu'elle lui apporte en contrepartie.

En laissant l'amour pour s'attaquer à la globalité des choses, nous sommes attiré par la chose qui émane d'une entité, precieuse à nôtre joie et nôtre bonheur personnel.
Par exemple, ce n'est pas le fait de posseder de l'argent, des maisons, ou voitures qui importe, ces choses sont dénudés de sens subjectif, ce qui importe c'est l'apport de cette choses à nôtre égo.
Un autre exemple, ce n'est pas le fait de posséder de beaucoup d'argent qui importe. L'argent en lui-même n'est qu'une chose gravée par des inscriptions sans valeurs, mais nous savons qu'en le possédant, il peut nous offrir de multiples biens qui concourent au bonheur de l'individu, à nôtre bonheur intérieur.
En vrai, la vie de l'ego se résulte qu'à une recherche inexorablement axé vers le bonheur.

Au fond, l'amour ce n'est qu'un réseau vraiment très complexe d'échanges de désirs et d'intérêts personnel qui a sa surface nous paraît être commun, mais ça ne l'est pas. Toute choses au cours de son existence part d'un principes égoïste et purement personnel d'acquisition de données brute et même si les elles paraissent commune, nôtre aventure est parsemée d'égoïsme dans une once d'altruisme. Alors en parlant d'amour,
Je dirais que c'est un échange de désirs et plaisirs personnel nourri dans une once de d'affection commune

Ce qui est bien avec l'amour c'est qu'elle rime avec insouciance et ignorance des choses qui la composent comme nous, l'univers et Dieu aussi.
C'est l'ignorance d'une chose qui rend celle-ci parfois utopique et merveilleuse à observer et vivre, car l'humain est scindé entre vision, perception d'une chose et leurs mixture ( en parlant de vision perceptible et perception visible, deux choses qui se ressemblent mais sont très différentes ).
En soi, c'est son meilleurs atout et son meilleurs defaut, car cela est à la base de toutes contradictions au sein de l'humanité.

L'amour en vrai, est le nerf de l'existence humaine et universelle.
Il y aura toujours de L'amour et par extension la haine ( car notons que deux contraires s'unissent par un lien de coexistence et si l'un deux devait disparaître, l'expansion inexorable de l'autre entraînera son extinction et la naissance du contraire qui avait disparu c'est un principe fondamental à l'univers ).

Finalement c'est toujours bien de voir des gens s'aimer.
Dans le fond, c'est humain et l'humain est ce qu'il est et ne peut changer.
Voir des gens se regarder dans les yeux, se tenir par la main, rire aux éclats, s'amuser faire l'amour et recueillir le fruit de cette amour, c'est toujours un plaisir.
Voir ses gens se noyer dans les désirs de l'illusion visible de L'amour, elle la grande.
Celle qui fait chavirer le coeur de ses fanatiques.

Mais le problème avec L'amour vient quand les années et le doute s'installe en nous et même si on le voulait on ne pourrait jamais faire disparaître ce mal amoureux.
Une vérité est plausible et clair quant aux premiers symptômes des maux d'amour, la valeur d'une chose perd en intensité avec le temps. Et ce mal créé de nombreux autres et le doute s'y insère et croyez-moi, ça tue l'amour a coup sûr si une solution n'est pas donné.

Moi je suis rétissant à l'amour parfois parce que parfois, ça finit toujours mal et j'ai assez souffert avant de m'éveiller partiellement et percevoir ce qu'est le monde, l'univers et la vie. Alors en attendant l'amour véritable je ne parlerai partiellement que de son leitmotiv et du superflue de sa forme et de son fond.

J'en ai eu de belle liaisons et d'autres vraiment trop malheureuse et depuis que je perçois le monde d'une autre manière, le regard que je portait à la femme à aussi changer et en soit la futilité de ce monde me fait demeurer à l'écart de l'humanité et son train de vie quotidien..

La plupart des femmes nourrissent ce même désir d'unification que je resulterai d'échange de plaisirs.
Vouloir jouir d'un plaisir en la personne de son conjoint, se plonger dans les méandres de l'insouciance du bonheur et oublier la vie et sa perpétuelle distraction. Mais qu'est-ce qu'elle distrait dans le fond ? La mort ? La dure réalité des choses ?

Dans le fond, la femme et l'homme ne sont pas si différent. L'un à appris par sa maison et son environnement à être superieur a elle, fort puis indépendant. L'autre à appris par son logis et la société à être inférieur à lui et trouver satiété en lui par passion et objectif d'unification commune.
En vrai, chacun suivait son train de vie et se plaisait à y demeurer dans l'insouciance. Tout deux sont condamnés à s'unir et subir la vie et ses contraintes ou caprices, elle la maîtresse de leurs vie et existence, la dictatrice au corps élancée, le dragon au chaînes infernales.

Étant un intrus encore non déclaré à ce destin propre à l'humain. Elle vit et vivra en partie pour la passion et les plaisirs de cette vie et lui, en partie intégrante pour la raison et la recherche des choses du bonheur.

La femme en soi est le garant de l'existence humaine et l'homme est la clé et le gardien de leurs humanité, tout deux engagé contre leurs gré à cette tâche ingrate et sans doutes dans l'optique d'une nécessité bien précise.

《 Si tu existe vraiment, je tient à te dire que c'est un sacrée merdier que tu as foutu ici-bas.
Mais qui est plus sage que lui pour l'améliorer si ce n'est lui ce qu'il a produit et érigé, du moins....Si il existe.
Et si il existait comme je m'y attendais, est-ce que l'humain comprendrait comme moi qui " il " est ? Ce que "elle"représente pour nous initialement et par dessus tout, des choses qui les composent dans sa singularité multiple ?.

Car la vérité n'est pas toujours bonne à entendre pour l'inconscient car elle lui déplait parfois. Mais quelque soit sa consistance la vérité plait toujours énormément pour le chercheur " éveillé". Pour lui, tout devient sublime et utopique car la vérité ne porte plus de voiles, elle révèle ses aspects à qui veut bien l'observer sans égoïsme.

En clair, l'amour est sublimement beau agréable à expérimenter. C'est l'une des expériences du vécu de l'homme qu'il le rend si humain.
pour l'expérimenter pleinement, il ne faut pas que nous soyons spectateurs de l'amour mais ses acteurs. Ceux qui la connaissent et qui lui voue admiration par intermittence p vous le confirmeront certes.

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