PENSÉE D'UN ÉTRANGER

chaputre 9 : NOUVELLE ETHIQUE DE L'HUMAIN

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Par opposition à la vie qui est effort et épuisement, la mort est un réceptacle dans l'optique d'une purification réparatrice de l'âme.
Si la vie est un épuisement de l'être, la mort n'en est que le repos partiel.

C'est par obligation que nous vivons, et nécessité que nous existons. Par réflexion profonde, on doit comprendre que le monde tel qu'on le connaît tend à son extinction, mais qu'est-ce que nous faisons pour ne pas s'éteindre avec lui ?
Rien, vraiment rien. Mais tel est la vie et ses événements, on ouvrira les yeux certainement.
Ma prière, c'est que c'est que se réveille ne soit pas trop tardif pour l'humanité.

Pour vivre pleinement, on doit connaître notre éthique personnelle. Par cela, peut-être que l'éveil de notre être sera rapide.
L'humanité dort encore, car elle assimile sa pensée aux désirs pulsionnels ou instinctifs . L'humain à trop été durant longtemps plus animal qu'un chien, car l'animal possède une éthique, mais celle-ci est contrôlée par ses pulsions instinctives.
Mais pour l'humain, il faut qu'ille suive le chemin contraire visant à posséder une éthique basé sur ces pulsions instinctive contrôlé par la pensée.

En soi on doit vivre en tant qu'être de pensée que vivre en tant qu'être de pulsions.
Car nos pulsions, nos instincts sont à la base de nos malheurs et de nos méfaits, mais la pensée est la base fondamentale qui érige l'éthique que nous suivons et suivrons.
Notre éthique est basée sur notre manière de penser ou de concevoir les choses.

En soi, l'éthique est pensée de bonne conduite qui crée en nos habitudes de belle valeurs morale à suivre pour être heureux et être en tant qu'être de pensée.
Nos pulsions ont aussi une éthique basée sur nos trains d'existence instinctive qui se définit par la jouissance de l'être en tant qu'être " humain d'animalité ".

L'humain est ce qu'est un singe pour l'homo sapiens.
Et que dire par rapport au surhomme ? si ce n'est que l'homo sapiens est ce qu'est un singe pour l'homo sapiens sapiens.
L'humanité est trop restée animale par nature et il faut qu'ille s'améliore et élève son éthique pour devenir plus qu'homme, mais plutôt surhomme.

Par objectivité de la pensée dans l'optique de parler de la mentalité ancienne de l'homme, l'homme tend à devenir par résultante plus que ce qu'il est actuellement.
L'humain à trop été humain de nature animale et il faut qu'il tende à devenir humain de nature, seulement humain de nature.

L'éthique nouvelle tend à vouloir rendre l'homme meilleur qu'ille était auparavant. De sorte qu'ille abandonne son animalité humaine pour sa nouvelle humanité.
Elle veut que l'homme voit mieux, plus mieux encore, qu'il commence à percevoir derrière sa vision et perception primitive
Car les choses de la perception sont meilleures que les choses de la vision, qui me dira que cela est faux ?
Sauf quelqu'un qui perdure sa mentalité à l'animalité humaine.

En soit notre vision de la vie deviendra plus intense, intense comme ce que voit un bébé. En soit l'humain tend à devenir
" un enfant" , car l'enfant est heureux que par la perception des choses qui voit et ressent.

Ne remarquer vous pas que la femme nous à devancé ?

Elle, la femme vit par la perception du sublime tendant vers l'utopie.

La femme n'a pas besoin de beaucoup de choses pour être heureuse et vivre pleinement.

Elle se contente de ce qu'elle possède et en le peu de choses qu'elle possède, elle y trouve beaucoup de plaisirs qu'en l'accumulation de nombreux biens qui finiront par perdre de la valeurs a ses yeux. En soit la femme est le chemin éclairé de l'humanité vers une nouvelle existence sublime.

Voici la phrase représentant entièrement l'éthique que suivent les femmes : 《 il en faut peu pour être heureux, car en peu de choses, on y trouve beaucoup plus de bonheur 》.
Si notre éthique était penchée sur les choses de la pensée perceptible au détriment de l'éthique des pulsions, le monde se porterait mieux, il n'y aurait ni malheurs, ni méfaits sur cette terre.
Chacun vivra heureux sans se faire du mal ni du mal aux autres.

《 il en faut vraiment peu pour être vraiment heureux car en soit, le peu de choses représente beaucoup pour le bonheur de l'être 》.
Voilà l'éthique véritable et bonne à suivre.