chapitre 6: LES ÊTRES QUE NOUS SOMMES 👬😌

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C'est fantastique d'observer les êtres que nous sommes dans ce qu'illes ont de mieux à faire.
Il sont là à vivre puis mourir et remplir leurs vies d'humanité renouvelé mais qui ne se démarque que partiellement de l'ancienne.
Ce qui change, ce sont les humains, sinon l'humanité reste la même.

En vrai les êtres que nous sommes agissent tout au long de leurs vie par un mécanisme d'autosuffisance à leurs race. Ce mécanisme voudrait qu'il subsiste d'eux-mêmes et survive aux temps.
Illes naissent, grandissent, mûrissent, se reproduisent, vieillissent et meurent inéluctablement, et tout cela pourquoi ? Pour la gloire de la survie de l'espèce.

Les êtres que nous sommes sont marrants à observer.
Ils ont les mêmes ambitions toutes dissimulées en de diverses formes de pensée lointaine. Mais au bout du compte, ce sont les mêmes ambitions qu'ils poursuivent dans leurs devenirs et tout cela pourquoi ?
La gloire de l'humanité bien sûre.

Les êtres que nous sommes sont scindés entre le bien et le mal. Parfois, ils aiment faire le bien et par nécessité le mal. Soit ils aiment faire le bien par le mal, soit le mal par le bien, mais dans tous les cas, cela part d'une cause bien claire et d'une conséquence bien connue.
Pour la gloire de l'humanité, les êtres que nous sommes se sont adonnés à des pratiques pour les moins douteuses et bienfaitrices.

Pour la gloire de l'humanité, l'humain a fait le bien aidant les autres pour s'aider lui-même ou s'aider lui-même en aidant les autres. Parfois, il a fait l'inverse en créant des hécatombes meurtrière et génocidaire et soulage sa conscience en se disant que cela venait d'un ordre divin, d'un ordre royal ou politique. Mais dans le fond, c'était dans l'optique de créer un climat de paix.
Alors comme l'a dit un penseur : 《 si tu veux la paix, alors prépare la guerre 》.

L'humain ne cessera d'étonner depuis des lustres.
L'humain qui a peur du changement et qui refoule toute nouvelle choses. Ce qui étonne encore, c'est que l'homme a peur de lui-même, car il est lui-même une évolution comme le reste des choses existant sur cette terre. Mais l'homme aime être l'homme d'un seul agissement perpétuel, illes aime faire ce qu'il sait faire de mieux si ce n'est être homme du passé et de présent constant, et objectivement, fuyard de l'avenir, à venir.

Les êtres que nous sommes vénèrent l'avenir, mais la craignent objectivement.
illes se disent que demain, j'aurai et quand demain arrive et qu'ils ont, ils ne sont pas satisfaits, alors l'avenir s'approche d'eux et leur proposent une autre alternative inéluctable et plus profitable à leurs existences.
Mais à l'approche de cet avenir, ils fuient par crainte de tout perdre en possédant cette alternative et pourquoi ?
Pour la gloire de l'humanité bien entendu.

Si l'humanité ne détenait point la gloire, alors l'humain fera tout pour la gloire de l'animalité
Mais dans le fond, l'humanité (existence consciente) et l'animalité (vécue de conscience inconsciente) sont les deux dieux palpables en l'homme qu'il vénère en tout temps et en tout lieu, pour la gloire de l'existence, une autre divinité plus puissante que ceux-ci divisés, en ces deux états de l'être, car si tu ne te morfonds pas dans l'animalité alors tu te figes en l'humanité.
Mais dans tous les cas, c'est pour le bonheur et la gloire de l'existence de l'être que ces deux états sont érigé, et il y a plus grand que lui.

On ne peut nier les êtres que nous sommes, car c'est une empreinte indélébile de l'être dans l'existence.
L'humain dans ses débuts était de nature animale et pour lui, arracher la vie d'un être était normal et le monde se construisait, lui, ses règles, sa morale et sa génération sur ce fait et cette idée est à l'apparence sauvage et préjudiciable.
Mais maintenant, le monde lui, sa morale, ses règles et sa génération ont changé et ce qui était avant n'est plus, mais est encore en des niveaux de pratique plus faibles qu'auparavant. C'est à croire que le monde change peu à peu et l'humain lui aussi, car il commence à délaisser son ancienne nature animale pour une nature propre à l'existence de ce qu'il doit être, un être d'humanité, nettement d'animalité.

PENSÉE D'UN ÉTRANGER Where stories live. Discover now