PENSÉE D'UN ÉTRANGER

chapitre 13: IPSÉITÉ

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" Je suis ", Voilà l'expression la plus iconique de ce que nous sommes vraiment dans le fond.
Le reste, ces titres de noblesse et attributions identitaires ne sont que des affiliations commune ou personnel de nôtre égo à une chose futile dont nous nous attachons toute au long de nôtre vie ici bas dans l'optique d'une existence utopique, insouciante et partiellement éternelle en apparence, qu'en apparence.

En vrai l'ego à une identité inintelligible que peu de conscience peuvent cerner
(je n'irai pas plus loin car ce chapitre n'est pas dédié à cela mais je reviendrai la dessus plus tard dans l'un des prochain chapitre ).

Si on me demandait vraiment qui je suis, je ne saurais répondre. Pas parce que je souffre d'amnésie ou que j'ai honte de mon identité humaine mais dans le fond, qui nous sommes pour dire qu'on est " quelque chose " en ce moment ?

Nous ne sommes rien, mais nous tendons à devenir une chose parfois belle ou macabre selon les circonstances de la vie et même DIEU, l'éternel-Dieu s'il existe était et est devenu une autre chose en restant ce qu'il était auparavant, dans son essence majestueuse( j'en parlerai plus tard ). Les seules témoins de ce qu'on devient c'est nous-mêmes. On peut dire alors qu'on est humain à l'extérieur et être à l'intérieur.

Je ne sais comment expliquer cet sentiment d'étrangeté au monde, comme si je n'étais natif d'aucunes souche terrestre.
Comme si j'étais plongé dans l'humain et l'humanité dans sa globalité sans en être partisant, ni parfois acteur.

" Différent ", serait l'un des seuls mot pouvant illustrer cet sentiment en moi.
Pour moi, rien ne m'est acquis de droit car en soit la futilité de cette vie veut, stipule et affirme véritablement que nous sommes et demeureront des squatteurs du monde et du matériel dans lequel nous plongeons nos désirs et intérêts.
À bien y regarder de plus près, qui peut démentir cette affirmation ?

Pour moi, la vie est étrange et merveilleuse.
Car j'ai pu me libérer des chaînes de l'humanité et son élan plein de fougue et d'inconscience causant son extinction, tel un chien se jetant d'une falaise, juste pousser par ses désirs inconscient .
Maintenant je vois les choses tel qu'elles se présente et se perçoivent réellement.
Car avant je voyais les choses tel que je me représentais, c'est-à-dire comme un humain et par-dessus tout, un humain inconscient des choses qui l'entoure.
Vivant pour l'égoïsme de mon identité en se faisant paraître altruiste en apparence.

Le problème avec l'humain, c'est qu'il veut comprendre une chose dans son intégralité, la posséder mais en s'imposant des obstacles qu'il a lui-même posé ou pas. Parfois il s'en défait et il s'en impose de lui-même encore une fois.
Mais comment voulons-nous comprendre ce qu'est la vie, la mort,l'univers,Dieu et ses composants quand nous refutons de nombreuses affirmations qu'on croît paraître fausse ?

Vrai qu'il existent des idées erronées, n'en demeure pas moins qu'elles sont fausses en intégralité. l'essence derrière ces idées sont vrai et fondée et c'est sur ceux-ci que nous devons nous focaliser. Car ne dit-on pas
qu' on peut véhiculer un bon message tout en étant un mauvais messager ? Alors on doit comprendre que ce qui retarde l'humanité c'est l'observation idéologique de la forme d'une chose au détriment de son fond. Personnes n'est bon ou mauvais sur cette terre au départ, mais nous le devenons avec le temps.

Je suis un partisan de la theorie du tout, de l'unicité, de l'unification de toute choses car dans mes recherches je ne tend pas à pratiquer la division des choses et les éparpillés dans le cosmos comme les
" scientifiques spécialisés" de nos jours.
Cette manière de disséquer le disséqué jusqu'à épuisement est à la base de tout les maux idéologique et conceptuel.

C'est à cause même de cela que nous ne pouvons tout comprendre car la spécialisation en une chose est cause d'ignorance partielle des autre choses au profit de sa spécialité.
Perdu dans une conception semi-parfaite des choses, de nombreuses contradictions prennent royauté dans le règne de la logique à cause premièrement de nôtre ignorance de la connaissance.

En mélangeant science, philosophie, et religion j'ai pu m'extirper de ce lot d'ignorance commune des choses et comprendre peu à peu la plupart des découvertes et la raison des mystères scientifiques ou imperceptibles, des connaissances philosophique et leurs sens objectif et le message intemporel que révèle les religions dans leurs textes sacrée mais j'aimerais mieux les nommer textes subliminale car elle cache un sens tout autre à l'aspect métaphorique ou véritable qu'elle montre initialement.

En soi finalement, je ne suis trop rien qu'un homme de science, plutôt un penseur et je dirais et ma pensée s'exprime librement mieux que d'autres et par-dessus tout sans limites car ce que je ne sais aujourd'hui, je le saurait demain en me promenant en ces trois canaux de compréhension.
Une fois l'avoir comprise, cette connaissance que j'ai acquise d'un des canaux me servira de lampe torche et émetteur pour retrouver sa trace caché dans les canaux suivant.
Ainsi j'arrive à comprendre tout et percevoir l'interceptible, car en soit science, religion et philosophie sont dans leurs formes condensé, la sagesse de Dieu et la connaissance universelle pour comprendre le monde et ses composants.

En soi je vous ai révélé un grand secret pour connaître les choses du monde.
Ne me remercier pas mais remercier l'esprit en moi qui m'inspire à écrire ses choses et me fait voir la beauté de la vie, c'est lui qui doit recevoir les éloges car j'aime rester dans l'ombre et l'ombre est ma demeure, la lumière ma raison de vivre et exister.

Voilà un peu le quart mon ipséité révélé dans ses écrits, et moins encore.
Je voulais juste par ce chapitre expliquer mais sans révélé mon identité car ce n'est pas ma forme qu'on doit voir, percevoir ou juger, mais mon fond.
Ce que j'écris est ce que j'affirme et seule dans mes yeux et en moi se révèle mon identités première et originel.
Ce corps n'est qu'une coquille, l'intérieur n'en est qu'essence véritable de mon identité.