Un événement plutôt particulier [Assassination Classroom Karma × Nagisa]

Chapitre 15

Le blabla de l'auteur : Hellow hellow my little cactus (＾∇＾)ﾉ♪ voici la suite d'un événement plutôt particulier ! Oui, ENFIN! J'espère qu'elle vous plaira! (◕ᴗ◕✿)
Merci pour vos commentaires sur les derniers chapitres qui m'ont fortement motivé pour continuer ce chapitre  (◍•ᴗ•◍) Bref trève de bavardages !! Je vous laisse profiter après un si grands délai d'attente ಥ‿ಥ

Sur ce, bonne lecture ! (ﾉ◕ヮ◕)ﾉ*.✧

Nagisa, malgré tout, continua à lui parler comme si de rien n'était.
L'homme prit alors la parole:

- .....Shiyo, m'aimes tu ? lui demanda t-il d'une voix rauque et tremblante.

Le jeune assassin resta perplexe face à cette question.
L'inconnu répéta alors cette fois ci plus fort et d'un ton autoritaire tout en serrant d'avantage l'épaule du bleu :

- M'AIMES TU !?

Nagisa, malgré la douleur, posa alors délicatement sa main sur celle de l'intrus, simulant un semblant de tendresse et lui répondit doucement :

- Bien sûr.

L'inconnu sembla alors se calmer et reprit d'un ton feignant le calme :

- Alors rend le moi...

Encore une fois l'élève fut pris de court.

- De quoi parlez...parles tu?

- DE MON ARGENT SALOPE! RENDS LE MOI!

Tout en disant cela il enlaça ses mains sur le cou de Nagisa et commença à exercer une pression devenant étouffante. Les yeux de l'inconnu traduisait de la folie et étaient particulièrement vitreux.

Nagisa ne paniqua pas et répondit, bien qu'un peu inaudiblement:

- D'a-d'accord, je vais...te rem..bourser..

L'homme sembla sourire de toutes ses dents, enfin celles n'étant pas ronger par des carries ou déchaussées, puis relâcha notre androgyne.

Le bleu en profita pour se  lever précipitamment puis d'un coup sec et vif il lui asséna un coup de genoux en plein visage ainsi qu'un coup de pied dans le ventre. L'homme s'écrasa par terre. Le choc du corps sur le sol réveilla les trois loires de la chambre qui furent surpris de trouver Nagisa ligotant un homme à l'aide de la corde servant, à l'origine, à tirer les stores.
Le cinquantenaire fut rendu à la police, il s'agissait d'un homme dont la femme avait dépensé toute la fortune dans des casinos avant de s'enfuir avec son amant. Il a alors perdu la tête et s'était donné comme objectif de la retrouver et de récupérer son argent quoi qu'il en coûtait. Il était très probable qu'il ne s'en serait pas arrêté là. Sa femme était apparemment petite et avait teint ses cheveux en bleu d'où l'erreur commise. Finalement tout le monde regagna sa chambre bien qu'un peu secoué.

- Piouf ! Quelle histoire ! s'exclama Maehara en s'étalant sur son matelas tel Patrick l'étoile de mer.

- En effet ! Heureusement qu'il n'y a pas eus plus de dégâts... répondit le délégué, tout va bien Nagisa ? Il ne t'as pas blessé ?

- Mis à part une sensation désagréable autour de mon coup, tout semble aller pour le mieux ! Si je n'étais pas capable d'immobiliser  un simple humain par la force, je n'aurais aucunes chances face à notre extraterrestre de professeur ! déclara t-il d'un ton se voulant léger.

Tous reprirent alors leur tendre nuit là où elle s'en était arrêtée. Quant à
Nagisa, il ne se recoucha pas tout de suite. L'adrénaline coulait toujours dans ses veines et le sang battait dans ses tempes. Le jeune assassin s'était réinstallé à son bureau et sentait que le sommeil ne viendrait pas toqué chez lui avant un bon bout de temps. Il sentit soudainement quelque chose le frôler et l'étreindre légèrement, mais ce contact n'avait rien à voir avec celui qu'il avait pu avoir précédemment. Il était réconfortant et le faisait se sentir en sécurité. Il reconnut alors le doux parfum de son ami à la chevelure ardente ce qui accéléra légèrement son pou. Habituellement, le bleu aurait rejeté son camarade tout en lui conseillant fortement d'arrêter de le taquiner, mais ce soir là, Nagisa accueillit cette embrassade avec plaisir. La fatigue accumulée et le choc ressenti quelques minutes auparavant l'avait attendri telle de la bonne viande d'agneau pétri avec force par un boucher musclé et viril. Il répondit donc à ce mouvement de tendresse que même le premier de la classe ne pouvait prévoir. Ce dernier, étant venu à l'origine charier son camarade sur sa carrure féminine qui fut un des facteurs du malentendu, fut pris au dépourvu par cet élan de tendresse si peu courant. Lui ! Le grand Karma Akabane ! Perdant aussi facilement ses moyens ! C'était impensable ! Et pourtant ! Le voilà tout rougissant et paniqué face à ce petit gringalet !