Chapitre 51...*

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Deux mois plus tard.

* PDV de Alessandro *
Deux mois sont passés depuis l'arrestation de mon père et tout le bordel qui s'est passé, la vie commence à reprendre un rythme normal après le déferlement médiatique qu'a subi notre famille. Entre le procès de mon père qui a été relié à ma femme, la pseudo aventure qu'elle a avec son frère que la presse s'est empressé de placardé dans toute l'Italie, les fiançailles de ma sœur et l'arrivée de ma belle-mère.

Ça a été un peu chaotique dans notre vie dernièrement.

J'ai cru qu'Iris allait nous faire une version chaotique de Jet Li sur les journalistes quand ils lui ont attribué le nom de femme frivole qui fait son mari cocu par un gigolo. Je n'ai jamais autant ri que ce jour-là quand elle a annoncé à la presse qu'il s'agissait de son frère, ils avaient l'air tellement déçu que ça ne soit pas une nouvelle idylle qui pourrait leur rapporter gros que s'en était risible.

Dire que tout ça à commencer par un baiser sur la joue pris d'un mauvais angle...

Mais bon qu'est-ce que ne ferait pas un journaliste sans aucun scrupule pour un gros titre surtout avec le scandale de mon père en ce moment. Il a clamé son innocence malgré les faits qu'il l'inculpe et souhaite que l'on aille jusqu'au procès pour qu'il soit libérer, mon avocat m'a assuré qu'il ne s'en sortira pas même avec un procès. Une heure après que mon avocat m'ait dit ça ma sœur a fait convoqué toute notre famille pour nous annoncer que Diego l'avait demandé en mariage et qu'elle avait accepté.

Ma femme a sauté de joie, moi je suis tombé de mon siège...

Une fois que l'on était sorti du commissariat ses trois frères sont restés qu'une semaine supplémentaire avec nous avant que je ne leur prête un de mes appartements proche du centre-ville. Diego a emménagé avec ma sœur même si je n'étais pas pour et Angelo avec Fabrizio ont pris l'appartement. Alors un mois et demi plus tard elle m'annonce qu'ils vont se marié a été trop pour moi

Bien entendu le fils a prévenu sa mère qui a décidé elle aussi de venir ici ne supportant plus son mari qui lui remet toute faute sur elle. Iris a voulu aller voir son père pour lui remettre les idées en place mais sa mère l'en a empêcher lui disant qu'il se rendra compte de ses erreurs seul. Elle a donc pris quartier dans une autre partie de la villa voulant rattraper un peu le temps avec sa fille et son petit-fils.

Donc comment dire que tout ça en moins de trois semaines a été dur à accepter...

Bon certes depuis nous avons trouvé un certain équilibre qui nous permet aussi de nous retrouver en tant que mari et femme en laissant Ilario a sa grand-mère ou à ses oncles qui l'adorent. Je savais qu'un procès allait être dur moralement pour Iris mais elle se débrouille mieux que je ne l'aurai cru.

- Alessandro tu m'écoutes ?!

Je redresse la tête pour voir ma femme devant moi les mains sur les hanches. Dilemme lui dire la vérité ou mentir ?!

- C'est que...
- Ce n'est pas vraiment un question mais plus une affirmation car tu ne m'écoutais pas.
- Désolé je pensais à autre chose.
- Alors tu peux te concentrer sur moi s'il te plait.
- Bien sûr qu'est-ce que tu disais ??
- Que l'avocat a appeler, le procès commence la semaine prochaine.
- Très bien nous y serons sans faute.
- Il y a autre chose, Marcus et Juan ont avoués quelque chose pour avoir une remise de peine.

Je me redresse sachant que cela peut être la réponse aux questions que l'on nous pose le plus souvent. À qui appartiennent les colliers et où sons ces femmes ??

- Ils ont avoués que les quinze autre femmes sont décédés, hormis moi elles ont toutes périt de la main de ton père. Ils ne savent pas où sont les corps car il s'en chargeait seul à chaque fois mais elles sont toutes dans sa maison cachés quelque part. Il ne voulait pas se charger de moi en Italie car tu aurais pu le retrouver trop vite donc il m'a fait quitté le pays avec ses gardes du corps pour qu'il ne soit pas soupçonné.
- Tu es sûr qu'elles sont mortes ??
- C'est ce qu'ils ont dit, je n'en sais rien moi mais malgré qu'ils n'aient jamais vu de corps ils n'ont jamais revu ces femmes.
- Alors ils supposent.
- Oui, la police va mener une enquête aujourd'hui pour essayer de trouver quelque chose.
- Très bien.

Un oubli imprévuWhere stories live. Discover now