LivaïxOc : Presque tout.

By celiep

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Haydee à presque tout perdu. Les souvenirs la hantent, la mort la guette de loin. Les cauchemars grignottent... More

Chapitre 1. "-Qu'il s'en aille. Alors."
Chapitre 2. "-Tu es tellement désagréable"
Chapitre 3. "-Assez pour te faire rester ici."
Chapitre 4. "-Vos yeux.. Ils sont vraiment beaux."
Chapitre 5. -" Casse toi ! T'es qui toi... d'abord.."
Chapitre 6. "-Je n'aime pas voir le Caporal comme ça."
Chapitre 7. "- T'as pas intérêt à nous ralentir."
Chapitre 8. "- MAMAN..!"
Chapitre 9. "-Elle ne sentira rien..."
Chapitre 10. "- Fait gaffe à c'que tu dis. "
Chapitre 11. "-Devons nous parler de ça dans un couloir ?"
Chapitre 12. "-Pourquoi vous faites ça ?"
Chapitre 13. "- Ramasse ce bordel. "
Chapitre 14. "- Tu saignes du nez"
Chapitre 15. -" Haydée Honor..."
Chapitre 16. "- Tu as envie de pleurer ?"
Chapitre 17. "-Tu es vraiment intéressante."
Chapitre 18. "-Il ta vraiment demander ça ? "
F.A.Q Fermer.
Chapitre 19. "-Odile Stone n'est pas là ?"
Réponse FAQ part 1
Réponse FAQ part 2
Chapitre 20. "- Je t'avais prévenue non ?"
Chapitre 21. "- Moi qui quoi ?"
Chapitre 22. "- Je suis sérieux Haydee."
Chapitre 23. "-Oh mon dieu ! "
Chapitre 24. "-Et ou tu vas "
Chapitre 25. "-Vous ne venez pas ? "
Chapitre 26. "- On s'arrache."
Chapitre 27. "-Tu dois dormir."
Chapitre 29. "-- Je dois la prévenir."
Chapitre 30. "-Quelque de chose de grave se passe en ville"
Chapitre 31. "- Caporal-Chef..."
Chapitre 32. « - On doit parler toi et moi »
Chapitre 33 « -Sale vie de merde. »

Chapitre 28. " - Merci"

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By celiep

"Rien n'est plus sur que la mort,
Rien n'est moins sûr que son heure."

15 juin 850.
05:23 am.

Forêt Estrunia.

C'est le ronflement insupportable de Petra qui me sortit de mon sommeil. Mes yeux se sont ouverts très difficilement, je gémis en me redressant sur ma couchette. J'avais terriblement mal au dos.. Et horriblement froid. Sans chercher à comprendre j'enfilais le premier pull que je trouvais sous ma main: si il était là c'était que le propriétaire ne s'en servait pas après tout. Après l'avoir mis je sortis de la tente, il faisait vraiment froid pour un matin de juin. L'air frais vint carresser mes joues et je rentrais mes mains dans les manches trop longue pour moi. Je marchais un peut sur le camps: la vaisselle de la veille avait été faites et le feux crépitait encore doucement. Toutes les tentes étaient fermés, le soleil était à peine lève. Quel heure était il ? Je me demande qui est de garde à cette heure ci ?

Sans aucune motivation je m'éloignais un peut du camps afin de me dégourdir un peu les jambes. J'avais l'impression d'être horriblement molle, on est souvent comme ça quand on a mal dormi. La gorge pâteuse et la tête complètement embrouillé. Je m'assis contre un arbre et plissa les yeux pour essayer d'apercevoir le ciel, mais les arbres le cachaient. Mes paupières se fermaient toutes seules et j'aurais presque pu m'endormir là.

- Haydee ?

Je lève les yeux vers la silhouette qui s'approche au loin. Quand je reconnais Hanji je me lève un peu chancelante.

- On reprend l'excursion dans quelques...

Une autre voix bien plus grave que le sienne vient la couper.

- Dépêché toi de rappliquer la mome !

Je pousse un soupir d'exaperation en me rendant compte que c'est Auruo. J'avance vers eux, il me tape dans le dos, juste entre les deux omoplates et je faillis presque m'étaler au sol. Après lui avoir jeté un regard qui voulait tout dire je cours préparer ma selle. Une fois que ma monture est prête je la monte. Ensuite je rejoins l'escouade de Livai à laquelle je suis toujours affecté. Nous reprenons l'expédition dans un silence plutôt agréable, le ciel est bleu et dépourvu de nuage du coup le paysage est magnifique. Je me surprends à regarder l'horizon perdue dans mes pensées je me demande où es ce que nous allons. Bien sûr ni Erwin, ni Livai n'a une l'intelligence de m'expliquer un peut la situation. Pourtant tout le monde semble être au courant de quelques choses. Et puis bien sur, la seule question que je me pose depuis hier soir revient bien vite s'ancrer dans mon esprit.

Comment Livai est-il au courant de ma petite vie sous terre ?

J'ai beau remuer tout mes souvenirs, j'ai beau chercher au plus profond de moi même. Je suis sur, sur et certaine de ne jamais l'avoir vu avant. Même si je ne me souviens pas, même si je n'ai presque plus aucun souvenir des bas fond.

Je n'aurais pas pu oublier une personne tel que Livai.

Je souffle désespérée. Ça se trouve c'est juste Erwin qui a fait de l'oeil à Zakley, pour avoir ce genre d'information et il l'a répété à son sous fiffre.

Une secousse me fait brusquement revenir sur terre, j'entends le cris de Petra et je vois nettement la tête de ce titan à quelques mètres de moi. J'ai a peine le temps de reprendre mes esprits que je suis propulsée au sol. Je m'écrase lamentablement sur le sol caillouteux et je crois bien rouler sur plusieurs mètres. Mon souffle se coupe quand je finis ma course à plat ventre. Je serre mes mains parce que mes douleurs au côtés se sont réveillés. J'essaye de me relever mais ma tête tourne et je comprends que si je me relève tout de suite je ferais un malaise. Je jette difficilement un regard sur le côté et ce que je vois me pétrifie.

Ce titan à bouffé mon cheval.
...
Le titan à bouffé mon cheval !

Je me relève et tousse beaucoup trop fort à cause de la poussière que j'ai dû avalé. J'inspire difficilement car chaque respiration est comme un nouveau coup dans mes cotes brisées. Je place un bras sur celle ci comme si ça pouvait les soutenir un peut. Puis je regarde impuissante le meme titan avaler le cheval d'Erd, avant que ce dernier ne l'abatte. Le monstre s'écrase dans la poussière et je sens même le souffle arriver jusqu'à moi. Erd monte sur le cheval d'Auruo. Et j'essaye d'avancer tant bien que mal jusque vers eux. Le caporal se met à galoper devançant les autres. Il s'arrête juste devant moi me regardant comme si j'étais une petite petite petite crotte.

Pourquoi ce genre de regard me tue ?

- Grimpe.

Je serre les dents parce qu'il a l'air énervé, et ça m'énerve encore plus. Je m'approche en boitant presque vers la selle, et même si j'essaye de le cacher, la douleur est insupportable je ne peux empêcher un grognement de douleur quand j'essaye de me hisser sur la selle. Je soupire longuement, la respiration tremblante parce que pour le coup l'effort que Livai me demande de fournir est trop important. Je ferme les yeux deux secondes en posant mon front sur le pelage si doux de cet étalon, puis je resserre mes doigts sur les sangles de la selle pétrifiée.

Merde.
Merde.
Merde.

La selle bouge, puis je sens les deux mains de Livai s'accrocher à ma taille. Je sursaute quand je sens sa respiration claquer contre ma nuque.

- Serre les dents.

Quoi ? Je n'ai pas le temps de réfléchir que je gémis douloureusement quand il me soulève sans effort. Ok j'ai compris. Je serre les dents pour me hisser correctement sur la selle. Livai me demande de reculer un peut puis il monte à son tour se plaçant devant moi. Je jette un coup d'oeil aux carcasses de cheveaux et je suis encore toute retournée. Livai rejoint le reste de son escouade, nous rentrons dans la forêt de nouveau, le caporal semblait extrêmement sur les nerfs ce qui était vraiment étonnant puisqu'il était habituellement le plus calme de tous. La tension était palpable et je sentais que personne n'osait rien dire.

Nous venions de perdre deux cheveaux, ce qui était complément incompréhensible. Je n'avais jamais vu ni entendu parler de titan amateurs de chair animal ! De plus, les étalons étaient, en grande partie, ce qui nous permettait de nous battre et de sauver nos vies. Et même si ils étaient assez costaud pour porter deux hommes, ils n'étaient pas fait pour ça et bientôt ils seront trop épuisés pour continuer. Plus je pensais et plus la douleur des mes côtes tapaient fort. Je respirais bruyamment comme si j'étais au deux doigts de faire un malaise alors que c'était juste parce que je n'arrivais pas respirer normalement.

Comme si ça ne suffisait pas, un titan venait de faire son apparition quelques mètres derrières nous. Sans avoir besoin d'un quelconques autres tout le monde avait essayer d'accélérer la cadence pour le semer. Je sentais les muscles de Livai se contracter à chaque fois que le titan se rapprocher. Je ne savais plus ou j'étais, de temps en temps des points noirs assombrissaient ma vision puis s'en aller aussitôt.

La panique gagna l'Escouade très vite, je n'avais jamais vu ça. Petra c'était mise à demander des ordres au caporal complètement terrorisée demandant sans cesses ce qu'ils devraient faire, si ils devaient le tuer ou non. Erd appuyait ces propos et Auruo se contentait de dire qu'il avait tout les atouts pour aller lui trancher la nuque.

- Fermez là.


La voix tranchante et glacial du Caporal fit taire le cahut instantanément. Je n'entendais plus que les bruits que faisaient les chevaux en galopant, plus que la respiration dégoûtante du monstre derrière nous. Il donna des ordres précité mais j'étais encore tellement sonnée que je n'arrivais pas à les assimiler. Ensuite, quand ils avaient réussi à tuer ce titan, nous nous étions réfugié en haut d'un grand pin. Nous avions également étaient obligé de planquer les cheveaux un peut plus loin au cas où.

Assise contre le tronc je me tenais difficilement pour ne pas tomber. Je transpirais énormément parce que je souffrais. C'était insupportable, c'est comme si je recevais des centaines de couteaux à chaque inspiration. Je vis Petra arrivait au loin, sautant de branche en branche. Je ne savais pas depuis combien de temps nous sommes ici. Le caporal s'est éloigné depuis un bon moment pour aller je ne sais où.

- Ne t'inquiète pas Haydee, le caporal chef va bientôt revenir avec des renforts !

Elle me sourit sais incrément et je ne peux m'empêcher de lever un sourcil perplexe: Essaye-t-elle de me rassurer ?

Ou de se rassurer elle même ?

Je laisse ma tête retomber lourdement contre le tronc et je ferme les yeux. Je sens la rousse s'asseoir en face de moi. Et je sais qu'elle me fixe.

- Tu... Tu avais déjà vu des titans mangeur de cheveaux ?

S

a voix retentit si faiblement à mes oreilles que je suis obligée d'ouvrir les yeux pour être sûr que c'est elle qui m'a parlé. Quand je vois qu'elle attends une réponse de ma part je souffle agacée, ce qui m'arrache une grimace de douleur. Ne voit - elle pas que faire la causette avec elle et la dernière des choses dont j'ai envie ? Ne peut - elle pas retourner voir Auruo ?

- Non... Pourquoi tu me demandes une choses pareil. Je siffle.

Ses joues rougissent vivement de honte.. Se rendant compte de sa question stupide.

Bien sûr que non je n'avais jamais vu ça, je ne savais même pas que c'était possible. Comment cela est possible ? Pourquoi ces titans n'étaient - ils même pas un temps soit peu intéressé par nous ?

- Désolé. C'est juste que.. Je pensais... Comme.. enfin comme tu...

Je froncé les sourcils en l'entendent chercher ses mots, la tête affreusement rouge. Pourquoi est - elle comme ça tout d'un coup ? C'est vraiment gênant. Je détourne les yeux en regardant l'endroit où le Caporal Chef à disparu quelque instants plus tôt.

Même si j'essaye de me perçoider qu'il va revenir.

Même si j'ai réellement envie de le voir arriver.

J'ai l'impression qu'il ne reviendra pas d'aussi tôt.

-

16 juin 850.
Heure inconnue.

Forêt Estrunia.

- On ne peut pas faire ça ! Hurla Petra complètement horrifiée.
- Que veux - tu qu'on fasse d'autre ! Elle ne peut pas faire un seul mouvement et son équipement est détruit ! Répliqua vivement Auruo en me jetant un regard mauvais, le caporal ne reviendra pas il faut partir maintenant.

Je mords l'intérieur de ma joue parce que j'ai réellement envie de pleurer. Nous avons passé la nuit à attendre le retour de Livai, Petra n'avait pas arrêté de parler (sûrement pour calmer son angoisse) du coup personne n'avaient vraiment fermé l'oeil. Et maintenant, ils étaient sur le point de partir. Et de me laisser la. Toute seule. La vérité était que les cheveaux avaient disparu et que je ne pouvais pas me déplacer.

Ils n'avaient donc pas vraiment d'autres solutions. Soit attendre le retour de caporal, qui n'arrivera peut être jamais. Soit tenter de sauver leur peaux mais de m'abandonner ici.

Et es ce que je pouvais leur reprocher de pensée comme ça ? Alors qu'il y a des années je n'aurais pas hésité un seul instant avant de me sauver ?

Petra éclate en sanglot et ça me fend le coeur. Vraiment. J'aimerais leur dire que le caporal arrivera bientôt, mais moi même je ne sais pas. J'aimerais leur dire que ça ne me dérange pas de rester ici, que quelqu'un viendra me chercher mais c'est faux. Je ne veux pas rester ici toute seule. J'ai trop peur de rester là. Mais je ne le dirais pas. Parce que c'est égoïste, et qu'il vaut mieux sauver trois vies que aucune.

Et c'est toujours comme ça que ça a fonctionné. Il faut faire des sacrifices. Et si le sacrifice c'est moi aujourd'hui alors il faudra le faire.

- C'est bon Petra, je souffle la voix faible, quand vous serez arrivez vous n'aurez cas envoyer quelqu'un. Je peux tenir encore un peut.

Elle me regarde comme si j'étais folle. Comme si elle était sur le point de prendre une décision qui aller changer sa vie. Alors que ça ne changera rien. Enfin si, soit elle vie, soit elle meurt. Et ce ne sera pas difficile de voire son choix.

Parce que qu'elle humain accepterait de mourir pour un autre ?

Certainement pas moi.

Parce que c'est comme ça que ça marche. Parce que les gens qui acceptent de se sacrifier pour les autres ne le font quand dernier recours, et parce qu'ils n'en ont jamais réellement envie.

Après un temps de réflexion qui semble durer une éternité Petra me promet qu'ils reviendront me chercher, elle me sert dans ses bras en pleurant et je n'ai même pas la force de la serrer en retour. Surtout que même si ses paroles semblent simplement être un au revoir, elle sonne affreusement comme un adieu définitif.

Plus ils s'éloignent, plus le silence prend place, et plus la boule au fond de ma gorge grossi puis quand je ne les vois plus du tout. J'éclate bruyamment en sanglot, je renifle puis je suis secouer de spasme très désagréable et je sens de nouveaux mes côtes meurtri.

Et ça fait mal.

Ça fait terriblement mal d'être abandonné.

-
Heure inconnue.
Forêt Estrunia.

Il a dut pleuvoir deux fois depuis leur départ, le soleil est déjà bas je suppose que si tout c'est bien passé ils ont déjà retrouvé les autres. Je suis trempée jusqu'au os, car ce n'était pas de toute petite inverse de rien du tout mais plutôt deux violents orages. J'avais froid et je tremblais involontairement essayant pourtant de bouger le moins possible.

J'avais faim.
J'avais soif.
J'avais peur.

J'étais toute seule, je ne savais pas où regarder, je ne savais pas si j'étais capable de dormir et je me sentais incapable de me lever. Comme coller aux branches. Le silence était affreusement angoissant, à chaque bruit je sursautais. J'attendais le Caporal chef.

Je l'attendais encore.
Et encore.
Et encore.

Comme j'avais attendu que quelqu'un vienne nous sauver.
Et que personne n'était jamais venu.

Et si j'attends encore longtemps.

Ce sera vraiment la fin.
Parce que l'espoir peut aussi nous tuer s'il n'est jamais assouvi.

-

Il faisait noir. Et j'avais mal à la tête, je m'étais endormie sans faire attention. Et puis j'ai entendu quelque choses au loin. J'ai ouvert les yeux difficilement et mon coeur s'est arrêté quand j'ai vu ce titan au bas de l'arbre. Il était assis et ne bouger pas, peut être était - il la depuis longtemps ? Mais comme le soleil c'est coucher il ne peut plus rien faire. Et pourtant le simple fait de savoir qu'un monstre n'attendait qu'une seule chose: moi, me terrorisait. Même si j'étais hors d'atteinte.

De nouveau un bruit. Je tournais difficilement la tête du côté. Essayant de voir à travers à pénombre, malgré que j'en sois incapable. Mon ventre se tordait de douleur et ma tête me lançait. Parce que j'avais tellement envie de voir apparaître quelqu'un.
Parce que c'était la seule chose que je voulais.

Mais rien.

Mon coeur se serra tellement fort et les larmes dévalerent de nouveau mes joues.

- Pourquoi personne ne vient jamais.. mumurais-je la voix secouée de sanglots.

Le vent souffla.

- J'ai pris du temps. Erwin n'a pas arrêté de m'envoyer à droit à gauche.

La voix froide. Sans aucune once de culpabilité. Quand il s'est approché de moi, qu'il s'est accroupi à ma hauteur les sourcils froncé d'incompréhension, je me suis sentie si soulager.

- Ou sont les autres ?

Et je me suis jetée à son cou. Ignorant la douleur, ignorant le fait que j'allais me faire sermonner. Ignorant qu'il soit le caporal. Ignorant tout. Je ne pouvais que pleurer encore et encore, imbibant sa chemise de mes larmes, et répéter inlassablement :

- Merci.

--------------

coucou. .. (se fait toute petite mdr)

Bref j'ai pas d'excuse pour l'absence cette fois ci donc vous avez parfaitement le droit de m'en vouloir xD

J'espère que vous êtes toujours la
; ___ ;

Je vous aimes ♡
Bisouss.

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