Paulo Dybala
On rentre de l'entraînement. Je suis complètement claqué. Je me laisse tomber dans le canapé, dramatiquement, faisant rire Antonella qui est assit dans un fauteuil.
Antonella : Ah la jeunesse ! C'est plus ce que c'était !
Paulo : Parle pas comme une vieille, s'te plaît ! Ca te va pas !
Elle se met à rire et je me relève. Je m'assois comme il faut alors que les petits arrivent. Ils sautent dans le canapé et me prennent dans leur bras. Leo arrive, un plateau entre les mains. Il le pose et le vide. Il a prit des boissons et des gâteaux pour qu'on reprenne des forces.
Je sors de la salle de bain, frottant, énergiquement, mes cheveux pour les sécher. Leo est là, souriant. Je lance la serviette dans un coin et m'approche de lui, des gouttes se promenant dans ma nuque. Je m'assois à califourchon sur lui et l'embrasse, le faisant s'allonger. Il ne porte qu'un boxer et ça m'arrange bien. Ses mains se posent sur mes hances et les miennes me maintiennent au dessu de son corps.
Leo Messi
Lendemain
On se promène en ville. Je lance un regard à Paulo qui s'est arrêté devant une boutique, regardant la vitrine. Je sais qu'il est tenté d'y entrer.
Leo : Amor ? On peut entrer si tu veux.
Il hoche la tête, souriant. Une lueur de joie rempli son regard. On entre dans la boutique où il essaye tout un tas de fringues. C'est pire qu'une fille, ce gosse. Quand, au bout d'une heure, il a fait son choix, on ressort. Main dans la main, on est juste bien, protégé par six gardes du corps.
Paulo Dybala
Je saute sur le dos de mon petit ami qui se met à rire. Juan, mon garde du corps principal, rit aussi. Les mains de Leo passent sous mes cuisses pour me maintenir sur son dos et il avance. Juan attrape les sacs que l'homme de ma vie tenait entre ses mains auparavant. Leo s'arrête devant une bijouterie. Il me lâche et je saute au sol.
Paulo : Qu'est-ce qu'il y a ?
Leo : Viens, on entre, tu choisis la bague que tu veux et ... Et on se fiance. J'en ai vraiment envie, tu sais ? Y a pas très longtemps que nous sommes ensemble mais je t'aime sincèrement. Je t'aime comme je n'ai jamais aimé avant. Et entre Ronaldo et ton taré de père, je crois que je te l'ai prouvé. Je resterai à tes côtés jusqu'au bout, je le sais, alors voilà, je te le demande : accepterai-tu qu'on se marie ?
Paulo : Je... Mais... Euh... Ouais, non mais bien sûr que oui ! T'es complètement con ! On s'en fout de la bague ! C'est pas important. On choisira, directement, les alliances !
Je saute dans ses bras et l'embrasse, encore. Toujours.
??? : Eh ! Dybala !
Je n'ai le temps que de me retourner avant d'entendre un coup de feu.
J'ai été naïf de croire que nous serions tranquille