•REMONTAGE DE BRETELLE•
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Du point de vue de Wendy
__Bon aller jme' casse j'ai rendez-vous !
Je fronce les sourcils en sa direction, un sourire au lèvres. Sacha me lance un clin d'œil avant de mimer le prénom d'Athénaïs. Wait, j'ai raté un épisode ou bien ?
Aussi loin que je m'en souviennent, ces deux la se faisait clairement la gueule.
Je n'ai pas le temps de l'interrogé qu'il est déjà partis comme l'on fait Liam, Horatio, Yona et Andrew. En effet, nous composons tout les cinq le petit groupe représentant notre classe pour le concours principal auxquelles nous participons.
La prochaine étape est-celle des trios mixte et des petit groupes, c'est donc avec gentillesse que mes coéquipiers ont gentiment accepté de venir s'entraîner ce soir avec moi pour que je rattrape mon retard.
Entre Yona et moi, une tensions était toujours présente est cela commencer sérieusement à m'opreser. Les souvenirs me hante à chacun de ses regards et je dois le dire, j'en est plus qu'assez de cette situation.
Il était vingt-deux heure passé et toute les salles de danse était maintenant déserte, je me retrouver seul dans le bâtiment réservé au danseurs.
Après être rentré cette après-midi, j'étais aller voir Ana, cette dernière était plutôt remonté contre moi et me l'avais fait savoir.
__Tu n'est plus assez impliqué Wendy, tu rate des entraînements, tu arrive souvent en retard et du stacgne. En début d'année tu progresser à chaque cours mais depuis un moment tu en es toujours au même point. Si tu veux battre un jours Iliana et remporter le concours ce n'est pas comme cela que tu y arrivera. Écoute moi, tu es là meilleure de toute les premières années et même des deuxième, tu es une danseuse et une danseuse doit ce concentré exclusivement sur ses entraînements. Si tu ne donne pas à fond dans ce que tu fait, tu n'a rien à faire dans la classe élite.
__Tu ne dois en aucun cas te laissé distraire. Je veux que tu redouble d'effort, la danse doit passer en premier plan dans l'ordre de tes priorité, les amourettes ou même tes problème privé ne doivent en aucun cas empatirs sur tes performances. J'ai rassembler mes six meilleurs danseurs pour le petit groupe et tu en fait partis, cette manche va être plus dure que les autres alors je compte sur toi pour te reprendre. Tous les autres de ta classe voudrais prendre ta place alors ne gâche pas ton talent.
En clair, je mettais salement fait remonté les bretelles et le moins que je puisse dire était que le message était clairement passé.
Je soupirais en allumant le poste, une fois avoir choisis une musique en adéquation avec l'entraînement que je m'apprêtais à faire, j'augmenta le volume extrêmement fort à en faire trembler les murs.
J'avais besoins de me dépensé, de faire une séance physiquement dure pour me remettre dans l'action.
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__Mademoiselle Fiorlie, c'est à vous.
J'ouvre subitement les yeux sous l'entente de mon nom, tout les regards de mes camarades violoniste ainsi que celui de Madame Milénia me scrute de haut en bas. Shit.
__Je vous dérange peut être ?
Son air aigrie me donne envie de lui lancer mon violon en pleine tête, je l'aurais bien fait seulement, je tiens trop à lui pour faire sa. Il est au alentours de huit heures du matin et on va dire que ma nuit à été courte, ce matin sa à été extrêmement difficile de sortir du lit.
C'est donc d'un pas pas du tout assuré que je m'avance sur l'estrade. Aujourd'hui est le jours où l'on lui montre où on en est au niveau de notre composition pour le devoir de fin d'année. Autant dire que sa va être rapide avec moi.
__Eh bien qu'attendez vous ? Je vous écoute.
Je me retiens de lever les yeux au ciel et me contente de les fermer, ma joue posé sur le plat-bord du violon, je me lance dans ma compo.
La veille fronce les sourcils puis me lance un regard insistante.
__C'est tout ?
Je hoche la tête, quelque peut embarrassé. Il est vraie que je n'ai pas eu spécialement le temps de continuer. Ce n'est que le début et puis, je n'ai pas encore rajouter un autre instrument comme le stipule la consigne. Tout comte fait, je me rend compte que je suis clairement dans la merde.
__Vous me decevez fortement mademoiselle. C'est puéril de votre part de ne pas vous impliqué dans votre travail. Je tiens quand même à dire que ce que m'avais produits, bien que cela soit court, est excellent. Seulement, si vous vous pointer avec ça le jours de l'examen, ce sera un zéro. J'espère sincèrement que vous arriverais à finir tout sa à temps. Surtout que j'ai cru entendre que vous étiez plutôt bien classer en danse, tachez de faire de même dans mon cours.
Non mais qu'es-qu'il ont tous en ce moment ? J'en ai ras la casquette de me faire autant réprimendais. Je donne tout ce que j'ai mais non, personne est content dans cette foutu école.
Je ne suis pas un rebot ! Comment voulez vous que je m'en sorte bien dans mes deux options si toute les deux me demande une implication entière.
J'ai l'habitude de tout réussir et d'être toujours complimenté sur mes exploits physique et sur mon engagement alors oui, tout sa me déplais fortement.
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Je m'assois sans retenue sur ma chaises, faisant tombé mon sac au sol et provoquant un certain boucan. Plusieurs élèves se retourne vers moi et je les igniores royalement.
Edden assis à ma droite car Horatio n'est pas la aujourd'hui m'observe, un sourire narquoi coller au lèvres.
__On est énervé à ce que je vois.
Je lui lance un regard de travers avant de croisé les bras. Primo, je déteste l'histoire et il se trouve qu'en ce moment même, je me trouve dans l'amphithéâtre aceuillant justement cette matière et Deuzio, je suis en rogne pour la même raison que ce matin.
__Tu me fait chier Edden.
Mon voisin de pallier fronce les sourcils, puis, pour mon plus grand énervement, son sourire s'agrandit.
__Tu sais ce que c'est ton problème ?
Je ne lui répond pas, trop occupé à griboullier sur mon cahier.
__C'est que tu n'accepte pas les critiques. Tu ne supporte pas que l'on te reproche quelque chose.
C'est totalement faut..Je les acceptes. C'est juste que je n'aime pas sa.
__C'est pas vrai. Et puis, pourquoi tu dit sa, je ne t'ai rien dit à ce que je sache.
__Faut croire que tu as tendance à parler seul quand tu es énervé. Je te rappel que le mur qui sépare nos chambre est très fin.
Il me fait un clin d'oeil avant de sourire encore une fois.
__J'ai raison mais tu ne veut pas l'avouer. Tu es une petite princesse qui déteste les reproches. Tu n'a toujours pas compris que tu ne peut pas avancée toute seul et que même si tu ne le veux pas, tu as besoins d'aide.
__Je ne suis pas une princesse ! Je m'énerve.
__Si tu l'est.
Je grogne avant de me lever, sac sur le dos, je sort de la salle sous le regard curieux de tout les élèves. Allez vous faire voire tien !
Si il y a bien une chose que je ne suis pas, c'est une princesse.
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Le soir même, une fois avoir pris une bonne douche pour enlever toute trace de crasse après un entraînement extrêmement épuisant au côté de mes deux partenaires de trio, me voilà debout, face à la porte d'Edden.
Je frappe même si au fond, sa ne sert à rien puisque je pénètre dans son habitat sans même avoir entendu sa permissions. Je souris en l'apercevant assis sur son lit, les sourcils froncé et un stylo dans la bouche les yeux fixé sur son cahier.
Je mentirais si je disais qu'il était moche. Parce-que je peux vous assuré que la, tout de suite, il est diablement canon.
Enfin bref, ce n'est pas le sujet.
Je me racle la gorge pour attiré son attentions, lorsqu'il relève enfin la tête, son air désintéressé me fait déjà regretté ce que je vais dire.
__Tu veux quoi ?
Je souris de toute mes dents avant de lui montré mon violon et mon archet jusqu'à présent caché derrière mon dos.
__Tu as dit qu'il fallait que je prenne conscience que j'ai besoin qu'on m'aide.
__Oui mais j'ai pas dit que je devais t'aider.
Connard.
__Si-te-plaît ! C'est vraiment important et j'ai besoins de ton avis.
Il soupire avant de déposé ses outils de travail sur le côté.
__En quoi consiste ton truc la.
Je souris encore plus avant de prendre la parole.
__Je dois composé une partitions entière avec comme instrument principal le violon tout en y ajoutant un seul et unique instruments de mon choix.
Sous sa demande, je lui montre ce que j'ai déjà, je n'ai d'ailleurs pas plus avancé que ce matin. Une fois fini, je réouvre mes yeux et je le surprend en plein observations de mon visage.
Lorsque je joue, je suis obligé de fermer les yeux, c'est une sorte de tique absolument chiant. Je ne serais expliqué pourquoi, mais en tout cas, cela m'empêche souvent d'observer ce que pense les gens de ma prestation. C'est assez frustrant.
Sous son silence de plomb je m'impasciente, je n'aime pas le silence.
__Alors ?
Après un long instant, il se décide enfin à ouvrir sa belle bouche.
__C'est chiant.
Je le dévisage quelque instant, il se fou de moi ? C'est chiant ?!
__C'est toi qui est chiant oui !
__Tu vois. Tu n'accepte pas les critiques.
Je me contrôle pour ne pas lui balancer mon poing dans sa figure, non, à la place je lui lance mon plus faut sourire.
__Très bien, alors dit moi en quoi ma musique est chiante.
Ses lèvres s'élargisse et, sans la moindre délicatesse, il me prend la partitions des mains.
__C'est trop mou, trop..calme ! Il faudrait que sa bouge. Pour commencer, il faudrait ajouté un deuxième violon histoire que ce ne soit pas trop plat.
Malgré tout, j'écoute avec attentions ses instructions, si il y a bien une chose que j'ai appris sur lui, c'est que quand il parle, c'est qu'il sait parfaitement ce qu'il dit.
__Oui mais tu oublie une chose Einstein, je ne peut pas jouer en même temps de deux violons.
Il roule des yeux avant d'attraper son mini ordinateur.
__La technologie tu connais ? Il suffit juste d'enregistrer le violon qui jouera le fond sonore et toi tu fera le principal en direct.
C'est qu'il est pas con le p'tit.
Après une dizaine de minutes, j'ai fini de composé le fond sonore et je l'ai enregistrer avec l'aide d'Edden.
__Pour l'instrument je propose une percussions.
Je relève la tête de mes partitions soudainement sortis de ma concentration. Mais il a une case en moin lui. À quel moment il est possible que le violon s'accorde avec un instrument à percussions ? Sérieusement ?
__Occupe toi de faire le refrain, jvais' te montrer que j'ai raison.
Sans me laisser le temps de donner mon accord, il se poste sur son petit écran et commence son montage.
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__J'AI FINI !
Je cris en levant les bras en l'air, il relève la tête de son orreiler et d'un air lasse il me répond.
__Eh bah c'est pas trop tôt.
Je lui tend amicalement mon majeur avant de lui remettre la feuille. C'est pas de ma faute si sa fait trois heure qu'il a fini.
Je choppe une chips pendant qu'il s'occupe de faire coller le son qu'il a choisi provenant d'un tambour, à ma composition. Je suis plutôt fière du refrain que j'ai pondu, en même temps, ce n'est pas comme si j'avais gaspiller une dizaine de feuille, toute entassés dans la pauvre poubelle d'Edden.
__Tu es prête ?
Je hoche la tête une fois armé de mon violon et, sous son signal je commence à jouer la partie que je viens de crée. Il lance en même temps la bande son qu'il à fait avec le tambour et le deuxième violon.
Whaou. Je dois bien l'avouer, c'est clairement géniale cet arangement.
Je pose mon violon sur son bureau avant de me jeter sur lui, je le serre de toute mes forces car, avec le temps, j'ai appris qu'il n'était pas du genre à aimer les gestes d'affection. Et, il faut le dire, j'adore le faire chier.
À ma plus grand surprise, il ris doucement avant de finalement m'attaquer à coup de chatouille.
Je ris tellement fort que je n'arrive plus à m'arrêter, et, c'est en tentent de me détacher de son emprise que je tombe sur son lit l'emportent dans ma chute.
Je m'arrête de rire lorsque je me rend compte de la situation. Edden est au dessus de moi, les mains de chaque coter de ma tête l'empéchant de m'ecraser de tout son corps. Et, je ne serais dire pourquoi mais mes yeux ne cesse de fixer ses lèvres irrésistiblement charnue.
Cela fait plus d'une fois que nous nous retrouvons dans cette situation et la première chose dont je me rappelle est le contacte de sa bouche contre la mienne. La, maintenant, j'ai désespérément envie qu'il rompre le miniscule espace qui me séparre de ce doux sentiments de satisfaction.
A moins que ma vision ne me fasse défaut, ses lèvres se rapprocher lentement des miennes mais au moment où j'allais enfin pouvoir goûter au sienne une sonnerie le fit se reculer instantanément.
Il se releva de sur moi et avec une certaine once d'agacement coller au visage, il déccrocha son téléphone.
__Tu veux quoi Laurine.