LIFE : Survivre (tome 1)

By Masi-rodzina

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Cassandra, 27 ans, a la vie idyllique dont toutes les femmes rêvent. Un mari aimant et attentionné, deux enfa... More

Préface
1) Une journée chez les Briali
2) Week-end tragique
3) Les ténèbres
4) Regrets
5) Docteur Laurens
6) La vie continue...
7) Possibilité
8) Décision
9) Départ
10) Installation
11) Désillusions
12) Anniversaire
Remerciements
13) Mauvaises rencontres
14) Accrochage
15) Rapprochement
16) Surprenante coalition
17) Appréhension
18) Improbable
19) Bonne entente
21) Moments inoubliables
22) La peur au ventre
23) Rechute
24) A cœur ouvert
25) Ébauche
26) Tentative
27) Panique
Remerciements
Pour nos fans
Wattpad Awards (concours terminé)

20) Sans artifices

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By Masi-rodzina

J'ouvre la porte d'entrée du hall et constate que Josh n'est pas encore arrivé. Parfait ! Je vais pouvoir commencer mes étirements. Je suis tellement fatiguée que je ne sais pas si je pourrai aligner un pas devant l'autre. Le sommeil m'a abandonnée depuis plusieurs jours, entre cauchemars et angoisse, je ne sais plus où j'en suis. Doc me conseille de ne pas avoir peur, que je n'oublierai jamais ma famille et qu'il faut que je profite de la vie sans regrets. C'est si facile à faire ! J'ai d'ailleurs failli annuler notre footing de ce matin. Mais je dois admettre, à contre cœur, que Josh m'a manquée. Pas lui réellement, plutôt sa présence, son humour, ses taquineries. Enfin, pas lui quoi, juste ce qu'il est.

Je termine de faire quelques arrondissements de bassin quand je remarque des rideaux bouger depuis l'appartement de Shelton. Est-il en train de m'observer ? Je ne veux pas le savoir et pars en trottinant au bout de la rue. La circulation commence à se faire dense, entre les voitures et les transports en commun, contrairement aux trottoirs quasiment déserts. Je regarde à droite puis à gauche et toujours pas de Josh. Comment va-t-il arriver ? A pied, en taxi, en voiture ? Je viens de me rendre compte que je ne sais même pas où il habite, est-ce loin de chez moi ? Je continue à sauter sur place en attendant la réponse. Le soleil matinal de juin n'est pas suffisant pour me réchauffer, j'aurais dû un peu plus m'habiller. Mon cycliste noir et mon petit pull rouge ne suffisent pas contre la brise fraîche.

Me résignant à l'attendre, je rebrousse chemin. Il a certainement mieux à faire ou il a tout simplement oublié. Déçue, je commence à monter les marches de mon immeuble quand un énorme 4X4 noir klaxonne et se gare. Josh en descend du côté passager et claque la porte avant que la voiture ne reparte en trombe. Finalement, je ne suis pas aussi ridicule que je le pensais. Nous sommes presque habillés pareil, sauf qu'il porte un tee-shirt turquoise, qui fait indéniablement ressortir ses yeux noisette, et un sac à dos.

Je l'attends fermement, les poings sur les hanches. Il n'avait pas à être en retard !

— T'es tombé du lit ? me demande-t-il amusé.

Je le dévisage sourcils froncés.

— Hé beauté, il n'est même pas encore six heures !

Ah bon ? A quelle heure suis-je descendue ? Je secoue la tête d'énervement, je suis vraiment à côté de la plaque ! Il s'approche et me dépose un rapide baiser sur la joue. Son parfum me monte au nez, il sent délicieusement bon. Je secoue légèrement la tête et me force à ne pas y penser.

— Ça a été ton week-end ? reprend-il.

Génial ! Boulot, cauchemars, doutes, solitude... J'inspire un grand coup et souris pour masquer ma tristesse.

— Super et toi ?

Il hausse les épaules et soupire sans me quitter des yeux.

— Oui, ça aurait pu être mieux.

Sa voix est terne, pas comme d'habitude. Bizarre !

— Alors, tu veux qu'on aille jusqu'où ? Habituellement, je fais le tour du pâté de maisons. Je ne connais pas réellement la ville donc...

— Central Parc, ça te dit ?

Je serre les dents. Ça fait un sacré bout de chemin, j'espère réussir à tenir la distance avec ma cicatrice qui me lance à chaque effort trop intense.

— Pourquoi pas ?

— Tu y es déjà allée ?

— Non, pas encore...

A part la Statue de la Liberté, je n'ai pas vu grand-chose de New York et mes footings quotidiens plongés dans mes pensées ne m'ont pas aidée à en découvrir plus.

— Je suis honoré de te le faire découvrir.

Il fait une brève révérence et pose son sac à terre. Il en sort une casquette des Lakers et une énorme paire de lunettes noires.

— J'espère que comme ça, on ne sera pas trop dérangé.

Je pouffe de rire, il est si ridicule !

— Ben quoi ?

Il hausse les épaules, regarde son reflet dans une fenêtre et finit par rire tout autant que moi.

— Je ne me reconnais pas moi-même, nous devrions être tranquille, dit-il en me glissant un clin d'œil. Je peux déposer mon sac chez toi ? Je n'ai pas envie de le traîner sur mon dos toute la matinée.

Je me fige, mal à l'aise. Je le lui prends rapidement des mains, fonce le mettre dans mon appartement en lui décrochant un rapide « je reviens » et redescends à la vitesse de la lumière.

— Prête ? me demande-t-il en sautillant d'un pied sur l'autre.

Je hoche la tête et lui emboîte le pas. Il se décale pour me laisser prendre place à ses côtés. Même avec ses gigantesques lunettes, je remarque qu'il m'observe à plusieurs reprises du coin de l'œil.

— Alors t'as fait quoi de beau ce week-end ? me demande-t-il.

Je préfère éviter le sujet et pourtant j'aimerais pourvoir lui retourner la question.

— Désolée, quand je cours je ne parle pas sinon je perds mon souffle.

Il lève les sourcils, confus, mais n'insiste pas. Tant mieux !

Au coin de la rue, il prend un chemin qui m'est totalement inconnu et après quelques kilomètres nous débouchons sur une artère principale de la ville. Les trottoirs commencent à se remplir de badauds et à deux reprises, je manque de bousculer un passant. Je prends donc place derrière lui. Je suis forcée d'avouer qu'il est très sexy, même de dos ! A chaque foulée, son maillot laisse entrevoir le bas de son dos musclé et son cycliste moule à la perfection son derrière, sans conteste des plus fermes. Non mais ça va pas Cassandra ! Je secoue la tête et me concentre plutôt sur ses pieds.

Je ne sais pas depuis combien de temps nous courons mais je n'en peux plus. Mes jambes me tirent et mes poumons me brûlent. Tout le trajet, nous sommes restés silencieux et j'ai tout fait pour éviter son regard ou autre chose... Je prends une grande inspiration avant d'accélérer pour lui taper sur l'épaule. Il se retourne surpris.

— Stop. Je ne peux plus avancer...

Je m'arrête net et pose mes mains sur mes genoux en tentant de reprendre ma respiration. Mon cœur est littéralement en train d'exploser dans ma poitrine. Comment fait-il ? A le regarder, on ne croirait pas qu'il a couru autant de kilomètres. Son teint est frais et il ne transpire même pas. Alors que moi, je colle de partout et je suis certaine que mon visage écarlate montre mon peu d'entraînement. Il se penche vers moi et dépose sa main sur mon dos.

— Ça va ? Si tu veux on peut continuer en marchant, nous sommes tout près.

Sa voix est douce et chaleureuse. Je reprends doucement une respiration normale et acquiesce. Je scrute les alentours avant de continuer notre chemin. Tout le monde court autour de nous mais personne ne semble reconnaître Joshua. En fin de compte, ses lunettes ne sont pas une si mauvaise idée.

Plus nous marchons, plus ce silence persistant commence à me mettre mal à l'aise. Je décide d'entamer la conversation.

— J'ai dit quelque chose de mal ?

Il me fixe, désorienté.

— Tu m'as fait comprendre tout à l'heure que tu ne voulais pas parler. Je ne veux en aucun cas te pousser.

Mince ! Ai-je été trop cinglante ?

— Je... Ce week-end n'était pas formidable pour être honnête. Je ne voulais pas être impolie, désolée...

— Ne t'inquiète pas, je comprends.

Il s'immobilise et sourit, les sourcils relevés.

— Nous y voilà.

Je trépigne d'impatience. J'ai hâte de pouvoir admirer ce magnifique lieu que je n'ai vu qu'à la télévision. Je grimpe sur la pointe des pieds pour l'entrevoir à travers les passants. Nous nous frayons un chemin jusqu'à l'orée du bois. Merde alors ! Il y a de quoi en avoir le souffle coupé. Une immense forêt en plein cœur de Manhattan, une gigantesque oasis au milieu du chaos. C'est incroyable ! J'aurais dû venir ici bien plus tôt ! Je tourne la tête en tous sens en m'engouffrant lentement dans ce monstrueux parc. Je distingue les immeubles à travers les arbres, la différence entre le béton et la verdure est saisissante. Plus j'avance, plus le bruit de la circulation automobile s'efface. Malgré bon nombre de coureurs et de cyclistes, je me laisse totalement envahir par le calme. Je prends de grandes inspirations et profite à pleins poumons de cet air pur. Cette odeur de pin me rappelle nos nombreux dimanches à cueillir des champignons dans les bois. Maël et Louna couraient partout avec leurs petits paniers en osier et leurs bottes en caoutchouc. La plupart du temps, ils se bagarraient pour savoir qui en avait ramassé le plus. Mais arrivés à la maison, Nathan leur apprenait les différentes espèces qu'ils avaient cueillies. Les enfants ne disaient plus un mot et absorbaient chaque parole de leur père. Il faisait ensuite le tri de ce qui était comestible pour que je les cuisine. Nous terminions généralement la soirée autour d'un bon risotto.

Une larme me sort de ma léthargie. Je la balaie d'un revers de main, je ne veux pas gâcher cette sortie avec Josh. Subitement, je remarque qu'il n'est plus à côté de moi. Où est-il ? Je me retourne rapidement. Il se trouve quelques mètres derrière moi, bras croisés. Il m'observe à travers ses verres noirs, tout sourire.

— Alors ? T'en penses quoi ?

— Deux questions d'un coup Monsieur Bennett... Vous êtes gourmand !

Je le taquine mais ça ne fait pas mouche.

— Et si pour aujourd'hui, on laissait de côté notre petit jeu...

Le ton de sa voix me semble sincère. Je ne peux que m'en réjouir. Pas de questions dérangeantes, pas de réponses perturbantes.

Je sautille sur place avant de répondre.

— Cet endroit est magnifique ! Si j'avais su, je serais venue avant.

Je lui donne un léger coup de coude.

— Merci de m'avoir amenée ici.

Il me gratifie d'un sourire et nous dirige vers un grand jardin constitué d'un terrain de basket. Je me sens comme une gamine dans un magasin de friandises, à chaque pas, j'examine tout dans les moindres détails. Les différents arbres fleuris, les grands espaces de pelouse déjà occupés, les majestueuses fontaines. Je ne veux rien manquer. Josh marche à la même cadence que moi mais reste toujours aussi discret, c'est assez surprenant.

— Au fait, tu as bien fait de porter ces lunettes, c'est agréable de profiter du calme sans être en permanence harcelés par tes fans.

Il soupire tête baissée.

— Tu sais, la célébrité n'est pas toujours facile à vivre.

Cet aveu me laisse pantoise. À chaque fois que nous nous sommes vus, il semblait parfaitement à l'aise dans le rôle de la star qu'on admire et complimente. Je tente de lui demander pourquoi mais il continue sans me laisser le temps d'ouvrir la bouche.

— Par exemple, toutes mes maisons sont dotées d'une sortie annexe, uniquement connue de mon personnel, pour pouvoir sortir anonymement. Sinon, tu es assailli et poursuivi par des paparazzis, des personnes te sautent dessus dans la rue pour avoir des autographes et sans parler des harcèlements. Crois-moi, ça a du bon d'être « ordinaire ». Parfois, j'aimerais être Monsieur tout le monde.

Et ben ! Sa vie est loin d'être aussi rose que je ne l'avais imaginée. J'ai du mal à le suivre, il est tellement différent de l'image qu'il laisse entrevoir de lui.

— Ça ne te plaît pas cette popularité ?

— Au début, bien sûr que oui. Tout le monde te vénère et t'idolâtre, c'est gratifiant d'être un artiste reconnu. Mais avec le temps, tu te poses des questions sur le véritable attachement que te portent les autres.

— Tu n'as pas d'amis sûrs vers qui te tourner ?

— La seule, c'est Inès et elle est restée à L.A. Pour les autres, ce sont des acteurs rencontrés sur des tournages ou des plateaux télés. On n'a pas mal de choses en commun mais, dans ce milieu, il est très difficile de se créer une véritable amitié.

Il se tait et hésite un moment avant de reprendre d'une voix affectée.

— On ne sait jamais s'ils sont vraiment sincères et après ce qui m'est arrivé avec Beverly, je dois dire que j'ai perdu un peu confiance en moi.

Pardon ? Je le vois depuis le début comme l'homme le plus confiant de la terre. Je commence tout doucement à comprendre. Son arrogance et son narcissisme sont une façade comme le sourire peut masquer la tristesse. Mais comment arrive-t-il à se cacher aussi facilement derrière un mur alors qu'on peut lire en moi comme dans un livre ouvert ?

— C'est pour ça qu'aujourd'hui je voulais te voir ! dit-il en me pinçant la joue.

Le voilà redevenu lui, il passe de la mélancolie à la gaieté en un quart de seconde ! C'en est complètement déroutant.

Je lui souris timidement, suis-je réellement une véritable amie pour lui ? Nous ne nous connaissons que depuis quelques semaines.

— Pourquoi me dis-tu tout ça ?

C'est plus fort que moi, il faut que je lui pose la question. Il hausse les épaules et shoote dans un caillou.

— Avec toi, je ne saurais dire pourquoi, j'ai l'impression que je peux être moi. Pas besoin de me cacher derrière des faux-semblants.

Sa confession me touche et le feu me monte aux joues mais je ne sais pas quoi lui répondre. Un peu de légèreté dans notre conversation s'impose.

— Tu sais, je crois que je me suis faite à Monsieur l'arrogant, il est bien plus marrant maintenant que je le connais.

Il lève les sourcils et se gratte le menton en souriant.

— Finalement, peut-être que je devrais retirer cette horreur qui me défigure. Ça me manque de ne pas avoir été adulé aujourd'hui !

Je secoue la tête en fermant les yeux, devant l'incohérence de ses propos mais finis par exploser de rire. Il est incorrigible !

— Quoi ? reprend-il en haussant les épaules. Ah, je sais ! Tu préfères que je les garde car je suis irrésistible avec. Ou mieux, t'es jalouse ! Tu veux me garder pour toi toute seule.

Nos regards se croisent et nous nous esclaffons de rire. Lèvres serrées, je lui donne une claque sur l'épaule. Non mais !

Arrivés au bord d'un lac, nous nous asseyons d'instinct à l'écart des badauds. Moi, en tailleur et lui, les bras tendus en arrière, jambes repliées sous lui. La vue est splendide. On ne se croirait absolument pas au cœur d'une telle métropole. Je sens les délicieuses caresses du soleil sur moi. La chaleur qui s'en dégage me réchauffe. Je remonte les manches de mon pull et profite, le visage vers le haut et les yeux fermés, du bienfait de ses rayons lumineux.

Un petit rire discret me ramène au moment présent. Je regarde Josh, le soleil illumine son visage de manière exceptionnelle. Il brille tel Edouard dans « twilight », un pur bonheur pour les yeux. Mais qu'est ce que je raconte ? Je referme les yeux un instant en secouant la tête pour reprendre mes esprits.

— Combien y a-t-il de points d'eau dans le parc ?

Celui-ci est immense. Sur une pancarte au loin, je vois qu'il est d'une superficie de 43 hectares et se nomme « Le réservoir ».

— Il y en a sept mais les autres sont principalement des étangs. Rien que pour faire le tour du parc, il nous faudrait la journée complète. Après, tu peux aussi visiter le château du Belvédère, le Mémorial Strawberry Fields ou encore le zoo. L'été, il y a des films projetés en plein air et l'hiver, deux patinoires.

Il semble tellement passionné par ce qu'il raconte.

— Ben dis donc, t'es calé sur le sujet ! C'est un hobby ?

— Comme je te l'ai déjà dit, je viens à New-York pour décompresser et cet endroit est plus qu'idéal ! A force d'y venir, j'ai pu tout explorer. C'est plus de la curiosité qu'un hobby. Et toi ? C'est quoi tes passions ?

— Je n'en ai plus depuis longtemps...

Ma voix n'est plus qu'un gémissement. Il fronce les sourcils, décontenancé. Forcément, il ne peut pas comprendre ! Je reprends sans trop savoir quoi dire.

— Avant, j'adorais... faire du shopping et aller au cinéma.

Je ne peux lui révéler mes vraies passions. Mon travail, l'éducation de mes enfants, nos sorties en famille, nos moments privilégiés avec Nathan...

— On pourrait éventuellement faire les boutiques à l'occasion.

J'acquiesce sans grande conviction. Lui et moi faire du lèche-vitrines ? Non impossible ! Je sens toujours son regard sur moi et le malaise me gagne. Je fixe mon attention sur l'herbe à mes pieds et en cueille quelques brins machinalement. Du coin de l'œil, je me rends compte que Josh m'examine toujours. Il me parcourt des yeux et je les vois glisser sur mes bras. Je suis son regard jusqu'à mes mains et je retiens avec peine un hoquet d'horreur. En remontant mes manches je n'ai pas pensé à mal, ma cicatrice au poignet fait partie de moi à présent. Pourtant, je ne veux pas la partager et encore moins m'expliquer sur le sujet. Je tire alternativement sur mes manches et joue anxieusement avec, sans jamais le regarder.

Au bout d'un moment, il regarde sa montre et se lève d'un bond.

— Désolé princesse mais il est plus de dix heures...

Quoi ? Le temps de rentrer et de prendre ma douche, je ne serai pas à l'heure, une fois de plus, pour mon service. Je me relève précipitamment et m'agrippe à Josh pour ne pas tomber à cause de mes jambes engourdies. Il plonge son regard dans le mien tandis qu'il me tient toujours. Son toucher m'apaise autant qu'il me perturbe. Je me recule sèchement, gênée. Il semble ne rien avoir remarqué et commence à partir au trot.

— On fait la course jusque chez toi ?

Je souris intérieurement et pars en trombe. Il rigole quand je le double et accélère pour me suivre. C'est complètement ridicule, je ne me rappelle plus où l'on est passé !

Tout le long du trajet, je ne cesse de penser que voir Joshua m'aide bien plus que je ne veux me l'avouer. La solitude me fatigue et me rend irritable, mais je pourrais courir des heures à ses côtés, le sourire aux lèvres.



Pour ce chapitre, nous avons dû faire de nombreuses recherches pour vous faire découvrir Central Park, étant donné que nous n'y sommes jamais allées... 

Nous espérons avoir retranscrit, au mieux, ce magnifique endroit !

N'hésitez pas à nous donner vos impressions sur le déroulement de l'histoire...

Et encore merci, de nombreuses vues ce week-end nous ont ravies, c'est grâce à vous!!!

On vous kiff ;)


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