LIFE : Survivre (tome 1)

By Masi-rodzina

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Cassandra, 27 ans, a la vie idyllique dont toutes les femmes rêvent. Un mari aimant et attentionné, deux enfa... More

Préface
1) Une journée chez les Briali
2) Week-end tragique
3) Les ténèbres
4) Regrets
5) Docteur Laurens
6) La vie continue...
7) Possibilité
8) Décision
9) Départ
10) Installation
11) Désillusions
12) Anniversaire
Remerciements
13) Mauvaises rencontres
14) Accrochage
15) Rapprochement
16) Surprenante coalition
17) Appréhension
19) Bonne entente
20) Sans artifices
21) Moments inoubliables
22) La peur au ventre
23) Rechute
24) A cœur ouvert
25) Ébauche
26) Tentative
27) Panique
Remerciements
Pour nos fans
Wattpad Awards (concours terminé)

18) Improbable

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By Masi-rodzina

Je l'aperçois enfin. Joshua est assis et me paraît anxieux. Son regard croise le mien à mon approche et son sourire s'illumine. Il inspecte ma tenue mais ne dit rien. Je me redresse et avance avec plus d'assurance. Il se lève et je remarque qu'il porte un costume de la même couleur que la robe qu'il m'a fait envoyer, les paillettes en moins !

— Votre table Madame.

Le maître d'hôtel passe derrière moi et tire la chaise en attendant que je prenne place.

— Je m'en charge Alfred.

Une fois assise, Joshua, en gentleman, rapproche ma chaise de la table. Elle est joliment dressée. Toute simple avec sa nappe ivoire et ses bougies flottantes dans des ramequins en verre. Un petit vase contenant une rose rouge est placé en son centre. Le tout rend cette décoration très raffinée.

Joshua s'installe en face de moi. Il sourit, il a l'air intimidé, ce n'est pas son style du tout. C'est plutôt moi qui devrais être impressionnée. Je suis dans un restaurant réputé et avec une star mondiale de surcroît.

— Je pensais que tu ne viendrais pas. En général, c'est moi qui me fais attendre.

C'est donc ça, Monsieur est blessé dans son amour propre par mon retard. J'en suis ravie ! Il pose les coudes sur la table et entame la conversation.

— Je préfère t'informer tout de suite. Si nous sommes dans un petit salon, c'est surtout pour éviter les paparazzis et autres emmerdeurs susceptibles de nous déranger. Je sais que tu tiens à ton anonymat.

Je lui souris timidement, honteuse. Je l'ai mal jugé.

— La robe ne t'a pas plu ?

Nous y voilà ! Je penche ma tête sur le côté, un léger sourire aux lèvres avec un regard charmeur. Son sourire s'agrandit et il rit à gorge déployée. Je suis si décontenancée que j'en perds ma répartie. C'est lui qui prend la parole en premier.

— C'est bon, j'ai compris. Tu n'as pas voulu la mettre vu que c'est moi qui te l'ai offerte. Mais pour info, si je l'ai fait c'est parce que tes tenues ne seraient pas de bon goût ici.

Ça c'est la classe ! Dire que je m'habille comme un sac reviendrait au même. Mon visage doit refléter mon opinion désapprobatrice. Ses sourcils se lèvent et il continue dans sa lancée.

— Non pas que ta tenue soit inappropriée, loin de là ! Mais je me doutais bien que tu n'avais pas de robe du soir dans tes valises.

Il toussote, visiblement mal à l'aise, car il se dandine sur sa chaise. Mais, comme souvent lors de ses changements de comportements furtifs, il se reprend très vite.

— Je suis bien content que tu ne m'aies pas écouté en fin de compte. La vue est inégalable.

Don Juan est de retour, il ne peut pas s'en empêcher. Cela me gêne moins, maintenant que les choses sont claires entre nous.

— Ravie que ça te plaise.

Il me lance un sourire ravageur avant de lire la carte. Je fais de même. Hum, des escargots. Et si... oh oui !

Notre choix est fait quand le serveur vient prendre notre commande. Je ris intérieurement en voyant sa prestance. Je ferais tâche chez Joey en me tenant de la sorte.

Je choisis mon entrée et un filet de lotte sauce champagne. Quant à Joshua, il prend une assiette de jambon de pays et une entrecôte saignante. Notre serveur repart avant de nous rapporter deux coupes de champagne. Je regarde Joshua qui me sourit et nous trinquons.

Une fois seuls, je ne sais absolument pas quoi lui dire. Je suis trop déroutée par le cadre qui nous entoure. Et je sens les regards curieux des clients alentours. Enfin, c'est surtout Joshua qu'ils admirent. N'empêche que cette insistance me déstabilise. Il finit par rompre le silence.

— Alors ? Tu ne m'as toujours pas dit ce qu'une petite française est venue faire toute seule dans la grosse pomme ?

Je me fige. Mon regard se pose sur un coin de la table. Mes doigts s'entortillent, ils font machinalement rouler mon alliance. Ma vue se brouille. J'inspire profondément afin de tenter de me ressaisir. Je compte chacune de mes expirations. C'est une pratique que doc m'avait conseillé afin de m'inciter au calme.

— Excuse-moi Cass. Qu'est ce que j'ai dit de mal ? Dis-moi ?

Il pose sa main sur la mienne par-dessus la table. Son regard me cherche. Je prends une grande inspiration.

— Je..., le reste de la phrase se coince dans ma gorge.

— Tu veux en parler ?

Je secoue énergiquement la tête. Mes larmes s'échappent. Je m'en débarrasse d'un revers de la main avant de triturer le précieux pendentif que Nathan m'a offert et qui trône sur ma chaîne.

— Tu sais, si j'ai organisé ce dîner c'est pour apprendre à te connaître. Je n'avais pas prévu de te faire pleurer !

Je le regarde me sourire. Je ne perçois aucune pitié. Je me redresse en lui souriant pudiquement à mon tour.

— Et si on mettait en place une sorte de « mot code » ?

Je le fixe sans comprendre.

— Plutôt que de te fermer comme une huître, tu me dis le mot que tu as choisi et moi je change de sujet. D'accord ?

Il attend ma réponse. Je ne sais que penser. Après tout, l'idée ne me semble pas si mauvaise. Pas d'explications, pas de justificatifs, un simple mot et la conversation est close. Il me coupe dans mes réflexions. Il a l'air peiné.

— Tu sais c'est dur pour moi d'essayer de te comprendre sans te connaître et sans savoir quelles questions je peux te poser.

Dur pour lui ? Et pour moi, ce n'est pas dur peut-être ? Je ne vais pas lui dire que ma présence ici découle d'une thérapie. Je ne veux pas qu'il sache que je suis la rescapée d'un terrible accident qui m'a arraché ma famille. Je ne peux pas lui expliquer la douleur ressentie face à la perte d'êtres chers. C'est trop dur, oui c'est le mot. Quand je lève les yeux sur lui, il me fixe. Ah oui c'est vrai, le mot code ! Et pourquoi pas le plus explicatif ?

— Ok pour ton code. Je choisis le mot « dur ».

Il recrache sa gorgée de champagne et s'étrangle. Qu'est ce qu'il a ? Je lui souris, étonnée qu'un acteur si connu se comporte ainsi en public. Il me fixe, ses beaux yeux noisette écarquillés au maximum. Le coin de ses lèvres tressaute, comme s'il retenait un fou rire.

— Ne le prends pas mal surtout mais, je croyais que tu voulais qu'on ne soit que des amis.

Je n'arrive pas toujours à suivre ses réflexions. Et là, je suis complètement perdue.

— Eh bien oui, si tu continues à me regarder comme ça, je risque de vite devenir dur.

A mon tour de cracher sans distinction. J'ai bien entendu ? Il me fait des propositions là ? Je serre les dents. Je le vois changer de couleur et s'empresser de répondre.

— Hé doucement ma belle, je plaisantais. Je t'assure. C'est juste que je n'ai pas pu m'en empêcher.

Et là, il rit de bon cœur. Son rire est puissant et rauque. Super ! Le voilà qui se fout de ma gueule et je ne sais même pas le pourquoi du comment.

— Non mais t'as pas fait gaffe ? tente-t-il de m'expliquer. Ton code...

Et bien quoi mon code ? Il est très approprié à ma situation. Dur explique parfaitement mon... Ah d'accord ! Mes yeux s'agrandissent quand je comprends enfin la signification qu'il a interprété.

— Heu, c'est pas à ça que je pensais en fait. Pas du tout !

Je suis mal à l'aise de la tournure que prend la discussion.

— Relax, j'ai compris t'inquiète. Je ne suis pas que le boulet que tu imagines. Mais franchement, je n'ai vraiment pas pu résister.

Le serveur arrive avec nos entrées à point nommé, ce qui me sauve de l'embarras.

Joshua inspecte mon assiette avec dégoût.

— Tu ne vas pas manger ça quand même ? Me demande-t-il.

— C'est excellent s'ils sont bien cuisinés.

J'en sors un de sa coquille et passe mon bras au-dessus de la table, au niveau de sa bouche. Il me regarde étonné et se braque.

— Hors de question que je goûte à ça. C'est dégueulasse.

— Tu en as déjà mangé au moins ?

— Non, ça ne m'inspire pas.

Je m'esclaffe devant sa moue. On dirait un gamin de trois ans qui rechigne devant ses épinards.

— Ça ne m'inspirait pas non plus de passer la soirée avec toi. Et pourtant je suis là !

Ses yeux quittent ma petite fourchette et viennent plonger dans les miens. Je le vois réfléchir à mes derniers mots. Il inspire profondément et se penche lentement en s'humectant les lèvres. Il les écarte, ferme les yeux et engloutit enfin mon escargot avec une grimace.

Il n'a plus rien du Joshua Bennett que s'arrachent ses admiratrices. Je me retiens de lui rire une fois de plus au visage. Pourtant, son expression est à se plier en deux. Ses yeux sont comme exorbités. Il peine à mâcher. Même si c'est extrêmement drôle, je mets fin à son calvaire. D'une main, je sors mon téléphone de ma poche tandis que de l'autre, je lui glisse subtilement une serviette. Je me concentre sur l'écran et le vois du coin de l'œil faire mine de tousser dans sa serviette. Je ris discrètement.

— Ça t'amuse hein ?

Il me regarde, faussement énervé. Je ne tiens plus. Mon rire résonne dans la salle. Des têtes se retournent sur nous mais je ne peux pas m'arrêter, d'ailleurs Joshua se joint à moi.

— C'est bon de t'entendre rire.

Finalement, je pense que je vais passer une excellente soirée.

Nous dégustons notre entrée entre deux éclats de rire, Josh reprend son sérieux avec un sourire en coin.

— Alors ce mot code ? Tu restes sur ton premier choix ?

Ah oui c'est vrai ! L'épisode des escargots avait éclipsé la conversation précédente. Non, je ne vais pas choisir « dur » maintenant que je sais ce qu'il représente pour lui. Mais je ne veux pas un mot trop solennel non plus. Je le regarde bien fixement en me retenant de rire.

— Escargot...

— Non c'est bon. J'en ai goûté un, tu ne m'auras plus.

Je m'esclaffe de sa naïveté. En temps normal, c'est moi qui interprète mal ses propos.

— « Escargot » est mon nouveau mot code.

— Ah d'accord, pour te moquer de moi à chaque fois que tu l'emploieras c'est ça ?

Je lui fais mon plus beau sourire et il se déride.

— Et je pimente le jeu. A chaque question répondue, je répondrai à l'une des tiennes d'accord ? C'est honnête après tout !

Il m'interrompt dans la contemplation de mon assiette vide. Je hoche la tête en guise de réponse. Malgré tout, je reste sceptique. Je sais que ma curiosité va me pousser à répondre un maximum pour pouvoir à mon tour le connaître davantage. Mais en suis-je seulement capable ?

— Tu as des frères et sœurs ?

Je soupire de soulagement, La première question est d'une simplicité enfantine. J'espère juste que la discussion saura rester aussi légère jusqu'à la fin de la soirée.

— Non, je suis fille unique et toi ?

— J'ai une sœur et un frère.

— Ils ont quel âge ?

— Hé tu triches là. C'est à moi de te poser une question.

Il arbore une moue offensée.

— Comment se fait-il que tu parles si bien l'anglais ?

Cette question n'est pas compliquée, pourtant je m'interroge. Si je lui réponds, il continuera dans cette voie et Nathan fait partie intégrante de cette époque.

— J'ai une licence en anglais. Par contre, je te préviens tout de suite, c'est « escargot » pour d'autres questions sur le sujet.

Il pose un regard compréhensif sur moi. Je vois bien qu'il voudrait en savoir plus, mais comme à chaque fois que je me bloque il n'insiste pas.

— Ma sœur aînée a 30 ans et mon petit frère, 25.

Quand il me dit l'âge de son frère, je perçois de la tristesse dans sa voix. Je voudrais en savoir plus mais je sais qu'il ne me dira rien, c'est son tour.

— Je peux savoir si tu as d'autres diplômes ou c'est trop pour toi ? hésite-t-il.

Il est visiblement mal à l'aise. Il ne sait pas jusqu'où il peut aller dans ses interrogations. Je le rassure d'un sourire.

— J'ai mon BAC et un BTS « Négociation et Relation client ». Et, tu t'entends bien avec ton frère ?

Je vois son visage se fermer instantanément. Il renifle dédaigneusement avant de me lancer son regard charmeur, avec sur les lèvres un sourire espiègle.

— Escargot !

Quoi ? Mais c'est mon code, pas le sien ! La règle n'impliquait pas qu'il se défile avec.

— Par contre, je peux te dire que je suis très complice avec ma sœur. Tu restes longtemps à New York ?

Je ne réponds pas, et baisse mon regard une fois de plus sur la table.

— Un filet de lotte sauce champagne pour Madame.

Je me redresse en sursautant et souris poliment au serveur qui se tient à mes côtés. Je ne l'avais pas entendu arriver. Il a le chic pour me sortir des situations gênantes celui-là. Il dépose délicatement mon assiette en face de moi, ainsi que l'entrecôte pour Joshua, avant de quitter notre table.

Après un moment de silence prolongé, nous nous regardons. Je ne sais pas si je dois répondre à sa précédente question. Son regard doux m'invite à me détendre. Il a compris de lui-même que le sujet était tabou. Son sourire tendre me donne envie de le lui rendre. D'un signe encourageant de la tête, il m'incite à déguster mon plat.

Le poisson est succulent, cuit à point. Il fond sur ma langue, et avec la sauce, c'est une explosion gustative. Je ne pipe mot tant que mon assiette n'est pas vide. Et ce n'est pas qu'une excuse pour ne pas avoir à me dévoiler. J'apprécie sincèrement mon dîner. Depuis quand n'ai-je pas apprécié un repas de cette manière? En même temps, je n'ai jamais été aussi fine cuisinière non plus.

— Tu fais quoi quand tu n'es pas au bar ?

Je relève la tête, il m'observe attentivement, patient. Je me mordille nerveusement la lèvre. Je ne veux pas lui dire que je passe mon temps libre à regarder les photographies de mes enfants et de mon mari. Je sais que, dans le fond, sa question est innocente mais c'est trop personnel. Il m'est impossible de me livrer sur les treize dernières années de ma vie. Je m'ébroue mentalement afin de trouver une réponse adéquate.

— Je cours.

Son sourire s'élargit.

— Ça te dirait qu'on court ensemble un de ces jours ?

Je m'apprête à répondre avant de refermer la bouche à la dernière minute. Je lui souris, joueuse dans l'âme.

— Je crois que c'est à mon tour de te questionner.

Il s'esclaffe une fois de plus.

— Ok, ok, autant pour moi.

La soirée est exceptionnelle. Nous continuons nos questions réponses jusqu'au dessert où Joshua change quelque peu les règles. Chaque question recevra nos deux réponses. Et évidemment c'est lui qui commence.

— Viande ou poisson ?

— J'adore le poisson mais je...

— Nan nan.

Il secoue la tête tout sourire.

— L'un ou l'autre. Moi c'est la viande

Je souffle mais réponds avec amusement.

— Viande. Fromage ou dessert ? Moi c'est dessert.

— Dessert, me dit-il en vénérant son assiette vide du regard. Café ou thé ? Pour moi, c'est café à tous les coups.

— Pareil.

Le serveur arrive avant que je ne pose ma prochaine question.

— Ces messieurs dames prendront-ils un café ou un thé ?

Joshua et moi échangeons un regard amusé.

— Deux cafés.

Il réussit à répondre avant d'éclater de rire, j'en fais de même.


— Merci de m'avoir raccompagnée.

Je suis au pied de mon immeuble. Joshua a insisté pour me reconduire.

— C'est moi qui te remercie. J'ai kiffé le dîner.

Je suis interloquée, ma mâchoire en tomberait presque. Il a dit « J'ai kiffé », en français. Son doux accent lorsqu'il a prononcé ces mots me fait instantanément frissonner.

Son air enjoué retombe.

— Pas toi ?

Je le fixe et secoue la tête.

— Si si, mais je ne savais pas que tu parlais français.

Il lève les sourcils à plusieurs reprises, un sourire aux lèvres.

— Mais je suis un homme plein de ressources!

Je penche la tête sur le côté, bras croisés, j'attends de plus amples explications. Il soupire, toujours en souriant.

— Je suis allé au festival de Cannes, il y a un moment déjà, et crois-le ou non, j'ai beaucoup de fans dans ce pays.

Je secoue la tête en levant les yeux au ciel face à l'insistance de son regard et son léger sourire. Je sais qu'il fait référence à notre première rencontre, particulièrement à la manière dont je l'ai snobé.

— Et j'ai fait la connaissance d'une bande de jeunes très sympa. Ils employaient ce mot sans arrêt. Lorsque j'ai su ce qu'il voulait dire, j'en suis tombé amoureux. Pouvoir, grâce à un mot, englober tout un tas de faits et sentiments, c'est magique ! Donc, depuis, je l'utilise à l'occasion.

Son visage reflète la joie de vivre et c'est réconfortant.

— Et tu le dis souvent? Parce que c'est assez puéril quand même.

Le voir si insouciant, avec ce langage enfantin me donne envie de le connaître davantage.

— Uniquement quand ça en vaut la peine!

Son regard si sérieux plongé dans le mien me déstabilise. Je pose une main sur la poignée mais il m'empêche de l'actionner. Le contact de nos peaux me trouble plus encore.

— Ça te dirait un café demain dans la journée ?

Je suis hypnotisée par ses yeux marron et cette voix profonde. Il faut que je sorte de là. Je me dégage d'un léger coup d'épaule et ouvre la porte d'un grand geste. Avant de la refermer je me retourne sur lui. Je vois qu'il avale difficilement sa salive.

— Avec plaisir, je lui réponds en souriant avant de laisser enfin la porte se refermer sur un Joshua ravi.



Désormais, à la fin de chaque chapitre, vous en apprendrez un peu plus sur nous et notre manière de travailler.

Pour celui-ci, l'anecdote est assez drôle. 

À trois heures du matin, après une soirée bien arrosée, complètement épuisées mais aucune envie d'aller se coucher, bizarrement, nous avons parlé du chapitre en cours (ce qui nous arrive à peu près toutes les dix secondes). Nous cherchions le mot code mais rien ne nous venait, vous comprenez bien pourquoi ! Et l'une de nous à balancer le mot "dur" en référence à la douleur de Cass, ce qui a fait exploser de rire l'autre (celle qui a l'esprit mal placé). C'est pour cela que ce passage fait parti du chapitre. Il nous a bien fait rire et c'est pour cet raison que nous voulions vous le faire partager. Comme quoi l'alcool aide à l'inspiration, ou pas !

/!\ L'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération /!\

À jeudi, on vous kiff ! ;)

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